• S'unir avec aux Editions du Petit Pavé

    S’unir avec

    Un côté « aime-toi, le ciel t’aimera » (Claude Roy) car la vraie richesse est intérieure et un côté « citoyen du monde » (Voltaire), du quotidien à hauteur de voisinage aux joies et aux drames de la matrice Terre.
    Tout cela passe, nous remplit un temps, nous construit durablement. ça, que la poésie nous aide à dire : s’unir avec la vie qui nous atteint et nous façonne à son gré puis choisir ses bonheurs et ses combats.

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    Extrait disponible sur notre rubrique J’en Profite

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  • Borne 45 aux Editions du Petit Pavé

    Borne 45

    Le poème-titre nous dit ce qu’est ce recueil : c’est un récit de voyage (ou même un road movie, avec cette
    tonalité hasardeuse et mélancolique, initiatique, qu’on aime tant au cinéma). Si la vie est un trajet dont le but et les méandres ne nous obéissent pas souvent, on est quand même libre de s’arrêter à cette quarante-
    cinquième borne pour regarder le chemin parcouru, sur lequel se détachent […] des moments poèmes. […]
    La beauté de ces poèmes se joue dans ce paradoxe, celui de la justesse et de la vérité : ne jamais enjoliver, […] que la beauté naisse de ce regard d’intégrité, regard calme et humble sur la vie réelle […]. Mais [celle-ci] est en même temps vibrante de tout ce qui a été reçu : poésie, philosophie, musique, peinture […]. Et elle est donc aussi chatoyante, musicale, lyrique, mélodique. […] nous vivons, dans le mélange des deux fleuves : celui de la réalité qui nous emporte et nous fait vivants, celui de toutes les transmissions qui nous ont nourris et nous renforcent. Une forme de bonheur est ainsi présente, malgré tout : celle d’exister et de ne pas être seul.
    Claire Ceira, Préface (extraits)

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  • Quand viendra le renard aux Editions du Petit Pavé

    Quand viendra le renard

    Il nous conte l’infamie des temps modernes, « la mémoire des vaincus en série sur Netflix ». Chez ce faiseur de rimes, il y a aussi la tendresse de la « petite fleur de bitume », parfois de la désespérance : « voici venir rien du tout / je suis tombé dans un putain de trou ».
    Découvrez qui est le renard prédateur, peut-être alors, vous aussi, serez dans l’angoissante attente de Quand
    viendra le Renard…

    Extraits de la préface de Yannick Guilbaud

    10,00 
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  • Correspondance - octobre 2017-septembre 2018 aux Editions du Petit Pavé

    Correspondance – octobre 2017-septembre 2018

    Tour à tour bourreaux de soi-même et d’autrui, victimes d’autrui et de soi-même, Catherine Andrieu et Daniel Brochard sont deux êtres particulièrement attachants. Leur Correspondance – bien réelle, non fictive, non littéraire – livre l’image la plus fidèle qui soit, image à la fois belle et terrible, d’une amitié intranquille et intense.
    Jean Hourlier

    12,00 
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  • Anthologie poétique aux Editions du Petit Pavé

    Anthologie poétique

    Je ne suis pas tenant de l’inspiration sauvage, non maîtrisée. Ni prêt à l’autosatisfaction : l’écriture de la poésie est un travail et mes ouvrages restent longtemps sur l’établi. Je ne les abandonne que lorsque je pense leur avoir donné la forme la plus convaincante.

    Pour cette anthologie, le choix a été douloureux et salutaire : beaucoup de textes sont restés sur le bord du chemin. Au terme de ma recherche en poésie (j’ai tout testé : le classique, le vers dit libre, le verset, la prose), il me reste l’espoir d’être lu, compris, et, peut-être, d’exister, dans un futur où je ne serai plus.

    15,00 
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  • Cérès-Pauline aux Editions du Petit Pavé

    Cérès-Pauline

    Ainsi, tout s’inscrit en jalon et repère pendant les vacances d’été, jusqu’au seuil de l’adolescence, dans la ferme. La petite histoire côtoie ainsi la grande, et le lourd tombereau à betteraves et poupées de maïs qu’on entasse au silo ressemble à s’y méprendre à celui qui, en 1793… charrie des hommes en chemise vers la funeste Veuve, place du Ralliement, à Angers.

    Quand t’es arrivé chez nous tu n’ savais pas courir… dit Marraine à son filleul. Nous non plus, au début du texte ! Pourtant, la lecture achevée, comme le filleul hébergé, nous grandissons et acquérons le droit de veiller, d’écouter les cultivateurs et leurs histoires…

    Martin-André nous les raconte, ces histoires, avec maestria : il sait trouver les articulations pour décrire les situations, ainsi que les mots porteurs d’émotions. Ce sont deux  » habiletés » qui font que le texte ne stagne pas dans la dimension personnelle, mais au contraire s’élève pour nous atteindre en profondeur. C’est là, dans ce texte, que se situe précisément la marque de l’universel, du moins son approche.

    Si l’on s’accorde à croire que la vocation d’un texte réside dans sa possibilité à toucher le plus grand nombre, le présent recueil de Martin-André relève d’une incontestable réussite.

     

    François Fasula, auteur

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  • Fragments nocturnes pour une chanson d'aube aux Editions du Petit Pavé

    Fragments nocturnes pour une chanson d’aube

    À peine avais-je achevé « Lettres d’Elseneur » que je songeais à un prolongement possible. Mais, afin d’éviter au mieux redites ou paraphrases, ce serait en renonçant au mode épistolaire. J’ai d’abord, suivant mon habitude, trouvé le titre : « Fragments nocturnes pour une chanson d’aube ». Ce qui exprimait un double désir : écrire des proses brèves qui évolueraient (dans leur écriture même) comme en état de rêve – et donner à entendre, ces textes s’ajoutant aux lettres et poèmes antérieurs, la  » chanson d’aube » que si longtemps j’avais rêvé de composer. Poésie onirique ? Non pas dans la transcription de rêves mais à travers des récits dont le mouvement suivrait les impulsions spontanées qui caractérisent le rêve. Si nos imaginations nocturnes se nourrissent d’éléments quotidiens bien réels, il en va de même de l’écriture poétique quand elle s’en remet au pouvoir de l’intuition et de la libre pensée analogique. D’où une transition en douceur des « Lettres » aux « Fragments nocturnes », ceux-ci ayant pour substrat le souvenir de la même figure féminine : Ophélie, absente et présente dans les méandres de la mémoire, Ophélie qui a illuminé ma vie – Ophélie entre deux eaux, entre rêve et amour fou.
    M. P.

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  • Talmont - Les Sables 2016-2017 - L'éternel recommencement aux Editions du Petit Pavé

    Talmont – Les Sables 2016-2017 – L’éternel recommencement

    Daniel Brochard ne cherche pas à plaire. Il est libre, il est vrai. Il ne saurait être autrement, il écrit avec son sang.
    Mais c’est notre humanité inquiète, compliquée de dégoûts douloureux et de désirs timides, qui est mise en abyme dans cet éternel recommencement. éternel recommencement de la vie dans la mort, de la mort dans la vie, de la vie dans la vie…
    Daniel Brochard ne cherche pas à plaire ? Sans doute, mais n’est-ce pas pour mieux atteindre à une fondamentale fraternité ?
    J.H

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  • Ombres et lueurs de l'involuté aux Editions du Petit Pavé

    Ombres et lueurs de l’involuté

    « Ombres et lueurs de l’involuté ou le retour sur soi après un cycle de vie : tout ce qui de brume et de lumière traverse le rêveur en retirance, après le voyage du réel. Ressassement, ressac en ondes circulaires, jusqu’à rouvrir les chemins guéables de ce qui fut et boucler la boucle de l’inachevé. »

    Illustration de couverture : peinture de Teresa Rubio
    acrylique sur toile, 90×70 cm, Topografia 8, 2015

     

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  • Les lettres-poèmes de Marie aux Editions du Petit Pavé

    Les lettres-poèmes de Marie

    Une « correspondance », donc ? Mais le mot « correspondance » prend ici tout son sens de correspondance des âmes.
    Comme l’observe Jean Chatard, l’un des destinataires et le Préfacier de ce recueil de Marie Desmaretz, chacune de ces lettres-poèmes « est un élan, élan d’une artiste pour ses nombreux amis ». Un élan, d’un même mouvement don et oubli de soi, qui permet à Marie de pénétrer « dans l’intime de chacun ». Serait-ce « indélicat » ? Non ! « C’est seulement tendre », corrige le Préfacier. Et parce que, dans ces lettres-poèmes, la tendresse se répand, « le lecteur se sent plus riche, plus tolérant, plus généreux »…
    Heureux lecteur, convié par la douce Marie Desmaretz à partager la tendresse, lait et miel de la poésie, et de la vie !
    J.H.

    8,00 
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  • Déclives aux Editions du Petit Pavé

    Déclives

    Michel Santune, l’auteur de ces Déclives, serait-il un Solitaire et un grand Silencieux ? Par la méditation, une Parole pourtant vient à nous, qui porte la langue
    familière de la Nature, et dit sans cesse sa propre étrangeté.
    On devine, dans l’âpreté et les mystères de ce « chant rauque de la profondeur », et le « fardeau du sang », et la force de vivre – fût-ce en balance, entre Soi-même et l’Autre, entre Absence et Présence, entre vanité de la Quête et nécessité de l’Attente, entre pudique retenue et sollicitations de l’embrasement lyrique.
    « Quelqu’un tremblant de lèvres et de blessures » se
    décline ici, visage de feuillage, visage de pierraille, dans la langue des Hommes – ces bergers, ces gardiens de « l’essence d’étoile » – sobrement mise à nu, hautement contenue.
    J.H.

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  • Veladores aux Editions du Petit Pavé

    Veladores

    « Veiller hors les murs » semble être le propos à la source de Veladores. Corinne Lagenèbre a le don de l’ubiquité, de la projection, de l’empathie, de l’attention aux signes ténus des vies infimes, de l’abolition des frontières. Le réel absent envahit la vision intérieure en des intrusions presque fantastiques, les contours délicatement vulnérables au contact de l’extérieur se laissent compénétrer pour mieux se couler par l’imagination au champ du légendaire. Hier est aujourd’hui, ici est ailleurs, l’autre est soi-même, le pauvre est riche, et réciproquement. Un bel équilibre entre réel et imaginaire, sombre réalité et idéal lumineux se tisse par l’écriture d’une poésie simple dont les mots résonnent longuement. L’enfance aux « tresses de coquelicots blessés » pousse sur « l’arbre voyageur » son « cri de délivrance » « pour défendre les timides / les brimés les humiliés ».                                                                                                                                                                       J. H.

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