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Force ouvrière chez les cheminots, T3 – De 1970 é la fin des années 1980
25,00€La période couverte a été également particulièrement difficile (notamment en juin 1971, au cours de l’été et de l’automne 1986 ainsi qu’au cours de l’hiver 1986…) mais aussi fertile en événements de toutes sortes.
Une nouvelle fois, Louis Botella et Gonzalo San Geroteo, passionnés de recherches historiques, apportent ainsi leur contribution à la préservation de la mémoire collective.
Ainsi avec la parution de ce tome un large pan du passé est mis à la disposition de toutes celles et de tous ceux qui souhaitent rafraichir leurs connaissances des événements politiques, économiques et sociaux intervenus dans le pays et plus particulièrement dans le monde ferroviaire et la SNCF.
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Force Ouvrière chez les cheminots – T2 : 1955-année 1970
20,00€De 1955 é 1962, ces années se déroulent dans un contexte conflictuel, avec le développement de la guerre froide et des terribles et trés douloureux conflits en Afrique du Nord.
Il s’agit aussi d’une époque de retentissante explosion de mécontentement populaire exprimée par les étudiants et les salariés en répondant é léappel de cessation du travail lancé é la mi-mai 1968 par toutes les centrales syndicales de tous les secteurs déactivité confondus.
Cette étude séachéve par léanalyse des conséquences de cet important conflit social, en matiére déévolution des conditions de vie et de travail, obtenues é la suite des Accords de Grenelle. La SNCF, tout en appliquant ces nouvelles dispositions sociales acquises, poursuit la mise en place de sa réforme de structures suivie des prolongements sociaux liés aux conséquences de cette modernisation, comprenant aussi la réforme de la grille de rémunération.Un dictionnaire bibliographique, nous présente également les militants des plus humbles aux plus importants, leurs participations é la construction de l’Europe qu’ils souhaitaient plus sociale.
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Force Ouvrière chez les cheminots – T1 : de la libération é 1954
20,00€Du Comité d’Action Syndicaliste (CAS) é la création de la Fédération FO des Cheminots, Louis Botella retrace le départ de nombreux militants et adhérents, souvent anciens résistants, de la CGT en 1947. Epris d’indépendance et refusant l’emprise communiste sur leur organisation, ils eurent é surmonter de nombreuses difficultés, é commencer par leurs divergences d’approche.
On trouve également dans cette étude une biographie des militants ayant participé é la création de FO.
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Le patronat rallume la lutte de classes
11,00€Extrait :
[i]LE FACE-A-FACE
Quatre cent mille salariés ont manifesté dans les principales villes de France et de Navarre, le 25 janvier 2001, pour défendre le droit é la retraite é 60 ans que le MEDEF prétendait supprimer dés le 1er avril de la méme année. En décidant, un an plus tét, d’ouvrir des négociations interprofessionnelles sur sa “refondation sociale”,
Comment le patronat a-t-il pu imaginer qu’il allait rayer d’un trait de plume, avec la complicité des confédérations ouvriéres, la conquéte la plus populaire de ces quelque vingt derniéres années ? La rue ayant parlé, ce droit a été prorogé jusqu’au 31 décembre 2002, les élections présidentielles et législatives devant intervenir entre-temps. Les “entrepreneurs”, qui se sont lancés dans la campagne électorale bien avant les politiques, ont fait de la réforme des retraites, tous régimes confondus, la proposition phare sur laquelle les candidats et les partis devaient se prononcer et, pour ceux qui allaient étre élus, la “mettre en oeuvre”. Les deux candidats é l’Elysée, les plus “probables” de longue date, Jacques Chirac et Lionel Jospin, n’ont pas attendu d’étre officiellement en campagne pour annoncer qu’en cas de victoire ils traiteraient ce dossier en priorité. Si la “refondation sociale” a servi de répétition générale aux interlocuteurs sociaux, Ernest-Antoine Seilliére et Denis Kessler, peu satisfaits des résultats, en appellent au législateur é qui ils disent, pourtant, “laissez-nous faire !”[/i]
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Histoire du Syndicalisme Français en Allemagne De 1945 é nos jours
13,00€Ce livre retrace l’histoire des personnels civils franéais installés en Allemagne depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale. L’ouvrage précise le réle et l’activité des militants syndicaux et tout particuliérement de ceux de Force Ouvriére, largement majoritaires. Ces derniers ont contribué au quotidien, non seulement é la renaissance du syndicalisme allemand mais aussi é la réconciliation franco-allemande.
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Les syndicalismes en Europe
22,00€47 pays et 47 histoires syndicales différentes qui sont le véritable terreau de l’Europe Sociale attendue par tous les salariés.
é Qui sait, par exemple, que les salariés du Vatican, ou encore de la Principauté d’Andorre ou celle de Monaco, ont constitué leurs propres associations indépendantes de leurs employeurs respectifs ? A l’identique des salariés du Groénland ou de l’Ile de Man ?
é Qui ne comprend la difficulté é saisir les nouveaux états émergents et leur économie au sortir du glacis soviétique, sans prise en compte de l’activité des syndicats ? Apprécier ce que sont aujourd’hui, et ce que seront demain, des pays comme l’Ukraine, la Moldavie, la Biélorussie ou encore les états Baltes, sans oublier la Russie, suppose de connaétre les acteurs essentiels du systéme que sont les organisations syndicales.47 pays et un seul continent : des pratiques convergentes ou divergentes, des acteurs syndicaux qui ne sont pas é égalité mais qui doivent, cependant, composer pour construire la démocratie é l’échelle d’un continent. Sans syndicat, il ne saurait y avoir de démocratie ! Cela, dans tous les états, les petits comme les grands !
Un ouvrage qui se veut exhaustif, é l’exception de la France pour raison d’objectivité. Ce livre traite en effet toutes les puissances installées, des TUC en Grande Bretagne au DGB en Allemagne, qui compte plus de 8 millions d’affiliés, mais aussi tous les syndicats dans des pays plus modestes.
Cet ouvrage apporte une information structurée et un éclairage essentiel pour tous ceux, militants, journalistes, étudiants, professeurs, chercheurs, etc… qui veulent suivre les mouvements syndicaux et, plus généralement, l’activité sociale des pays européens. En cela il contribue de maniére essentielle é la démocratie, é sa pratique par le rapprochement des peuples, car l’Europe sociale, si elle doit voir le jour, sera l’éuvre des peuples et de leurs représentants. -
Réconcilier l’économique et le social
18,00€Une reprise économique s’est amorcée en France depuis quelques mois, il faut maintenant la conforter. La croissance risque cependant de n’étre pas suffisante pour faire face, é elle seule, au chémage et aux phénoménes d’exclusion ou de précarité qui affectent la société franéaise, et ce d’autant plus que le dialogue social connaét des difficultés.
Le Conseil économique et social préconise les voies et moyens d’une politique active de croissance forte et durable et de renforcement de la cohésion sociale dans notre pays.