• Plus lourd que l'air aux Editions du Petit Pavé

    Plus lourd que l’air

    1907. L’année de tous les paris pour les Plus lourd que l’air, comme les avait nommés Nadar. Les premiers fous volants s’ingénient à lancer dans le ciel ces nouvelles voies que Gasnier rêve de tracer. Solitaire, tenace et tourmenté, il prend la Loire pour une compagne complice de ses essais. Il y a urgence à conquérir les airs, urgence à inventer.

    14,00
  • Louis l'idéaliste aux Editions du Petit Pavé

    Louis l’idéaliste

    Tu n’as jamais rien fait comme les autres, Louis. Qu’on en juge : en 74 ans d’existence, tu auras été, en très résumé, enfant intelligent, jeune soldat enthousiaste, homme d’affaires raté, manifestant de l’Action française, cultivateur normand puis gentleman farmer breton, résistant convaincu, pacifiste militant et journaliste communiste. Mais, toujours, idéaliste sincère, rêveur actif, dont la vie s’est profondément enracinée dans l’histoire en train de se vivre. Presque obligé : tu avais 8 ans en 1900, 22 en 1914, 47 en 1939, 64 en 1956… Toute ta vie, tu as voulu un monde meilleur, tu l’as cherché… de droite à gauche et tu as agi pour tenter de le faire exister.

    25,00
  • Mauricette

    Mauricette, l’insoumise de la poche de Saint-Nazaire

    Jamais Mauricette ne se serait crue capable d’héroïsme. La guerre de 1939-45 la révèle à elle-même. Dans sa presqu’île guérandaise occupée, elle se découvre résistante. Vient le temps de la Poche de Saint-Nazaire – août 44 – mai 45. La France est libérée, sauf quelques forteresses (Festung, en allemand) où les occupants s’incrustent. C’est le cas de Saint-Nazaire et de ses environs (dont la presqu’île guérandaise). Neuf longs mois très difficiles. On est coupé du monde. Tout manque. L’occupant, lui-même « empoché», devient plus agressif. C’est dans ce contexte extrême que Mauricette, plus Résistante que jamais, rencontre un officier allemand très différent des autres…

    22,00
  • Le roman d'Héloïse ou une vie de libraire au Vieux Mans aux Editions du Petit Pavé

    Le roman d’Héloïse ou une vie de libraire au Vieux Mans

    S’il est des boutiques dans lesquelles beaucoup de gens se retrouvent presque tous les jours, parfois à la même heure, ce sont bien les librairies ou les marchands de journaux ou les deux à la fois, en un seul magasin. L’héroïne de ce roman a donc été, au cours de sa longue vie émaillée de petites joies et de grands tracas, le témoin dans sa librairie-bazar, d’événements dramatiques, avant, pendant et après la Seconde Guerre mondiale, participant malgré elle, mais avec sa famille, à l’évolution d’un pan de l’Histoire encore controversé de nos jours. L’auteur ayant vécu une grande partie de ces événements et bénéficiant de témoignages, confirmés mais souvent contradictoires, a construit un roman qui associe des faits avérés regroupés dans un seul lieu, le Vieux Mans.

    18,00
  • Fillette de guerre - Souvenirs d'enfance à Saumur durant l'Occupation aux Editions du Petit Pavé

    Fillette de guerre – Souvenirs d’enfance à Saumur durant l’Occupation

    Saumur a connu, à son échelle de petite ville de province, tous les drames de la deuxième Guerre Mondiale : bataille pour la défense de la Loire, bombardements, résistance, déportation, représailles, charnier. Sa célèbre Ecole Militaire ayant concentré un grand nombre de soldats allemands, la ville se sentait vraiment occupée. La Kommandantur en centre ville et son immense drapeau à croix gammée rappelaient aux habitants qu’ils n’étaient plus vraiment en France. Ce récit historique est avant tout les souvenirs de l’enfant qui regarda et écouta durant l’occupation vivre ses parents, ses grand-parents, mais aussi les rumeurs de la fameuse bataille des Cadets de Saumur résistant à l’envahisseur en 1940, l’attente de l’arrivée des américains libérateurs en 1944, ou plus grave les représailles allemandes contre les résistants, ou le départ au maquis des jeunes voulant éviter le STO.

    20,00
  • J’ai été envoyé spécial à bicyclette

    Après quatre décennies de journalisme, Jean Goblet témoigne aujourd’hui de nombreux faits divers, de quelques secrets de journalistes, ou de moments historiques vécu de l’intérieur. Dramatiques, cocasses, humoristiques, savoureuses les tranches de vie, les tranches d’Histoire ici partagées, du simple concours de boule de fort, au coulisse du monde politique angevin de Jean Monnier ou Jean Narquin, en passant par le procès d’un condamné à mort, les déplacements à bicyclette au comice de Châteaumeillant, ou au Vatican du pape Jean XXIII.

    Témoignage de 40 ans de journalisme du comice agricole de Châteaumeillant au Vatican de Jean XXIII.

    16,00
  • Méyo

    Méyo, chronique d’un village africain

    Il y a Aubin, devin-guérisseur et boy du cercle européen, Ada une adolescente victime d’une malédiction héréditaire, Jean-de-Dieu, le jeune poliomyélite qui se déplace à la force des bras, Frère François, intendant de la mission catholique, féru de mécanique et grand alcoolique devant l’éternel. Il y a les Noirs du Bwiti, le culte animiste solidement enraciné, et les Blancs du cercle européen à l’avenir incertain. Mais le personnage principal de cette ” chronique » est Méyo, un village d’Afrique équatoriale au cours des années 1970, semblable à des milliers d’autres avec ses quartiers éparpillés, son fleuve, la brousse alentour et l’empreinte tenace de la colonisation.

    20,00
  • Deux enfances à la campagne : Une en Touraine et dans le pays berrichon

    Deux enfances à la campagne : Une en Touraine et dans le pays berrichon, une dans le Perche sarthois

    Années trente à quarante, en Touraine : une enfant d’ouvrier dans un quotidien difficile qui va s’assombrir un peu plus dans la tourmente de la guerre. Par la force des choses, à vingt-trois ans, Annie Massé deviendra chef de famille.
    Elle ne peut compter que sur elle-même pour affronter toutes les corvées de la maison. Malgré tout, la solidarité des voisins existe bel et bien… Le souvenir d’une réunion de famille, d’une odeur de pomme qui mûrit, d’un bouquet de lilas qui embaume la pièce suffit à son bonheur.

    Années cinquante, le Perche sarthois, un enfant de ruralité dans un monde en pleine mutation. La campagne s’industrialisait, le ruralité devenait tributaire des banques, des subventions de la politique agricole commune.
    Le citadin se moquait, jalousait ces culs-terreux qui vivaient au grand air et bénéficiaient d’aides à tout-va. Cela ne facilitait pas les relations quand on était coincé sur la terre et qu’on enviait les camarades de la ville vivant dans le confort. Ils deviendront néanmoins des défenseurs de la nature.

    20,00
  • Un village pas si tranquille ! En Mayenne dans les années 50 aux Editions du Petit Pavé

    Un village pas si tranquille ! En Mayenne dans les années 50

    Un village mayennais en 1950. Une bande de gamins espiégles et indépendants, généreux et tendres, observe les adultes du village tout en essayant de comprendre ce qu’on refuse de leur expliquer.

    Pourquoi les Dubois martyrisent-ils leur petite Zette ? Est-ce par faiblesse, par méchanceté, par bétise ? Pourquoi certains parents enseignent-ils é leurs enfants des principes qu’ils ne s’appliquent pas é eux-mémes ? Quel peut étre le sexe de Monsieur le curé pour qu’il soit obligé de porter une longue soutane ? Les femmes sont-elles bien le sexe faible ? Est-il bien vrai qu’un mari commande un bébé en embrassant sa femme ?

    Nos garnements décident un jour de fonder l’association secréte des Pique-Choux et de partir en guerre contre les parents qui se rendent coupables d’injustices é l’encontre de leurs enfants. Espiégleries, superstitions, craintes ancestrales, drames, prennent des proportions telles que la vie apparemment sans vagues du village de fouillé en est bouleversée.

    Petit é petit, au travers d’anecdotes tour é tour dréles, tendres ou dramatiques, nous sommes invités é plonger dans la vie souterraine de ce petit village mayennais troublé uniquement par les clapotis des cancans de vieilles femmes é la langue bien affétée.

    20,00
  • Rue du Lutin

    Rue du Lutin, Souvenirs d’enfance dans une rue d’Angers

    Dans les années d’après-guerre, d’Angers à Bruxelles le chemin passait – qui l’eût cru ? – par la rue du Lutin et la rue Victor Hugo ! Rue du Lutin, demeuraient Louise et Alexandre, nos grands-parents. Rue Victor Hugo, se situait l’appartement modeste d’Hortense, notre grande tante. A Bruxelles avait vécu autrefois tante Hortense ; Louise et Alexandre y avaient fait un séjour mémorable. Les petites filles de la campagne que nous étions faisaient leurs délices des lumières de la ville d’Angers, des souvenirs enchantés de Bruxelles. Délices mêlées de mystères et de non-dits, de déchirements familiaux… émerveillements de l’enfance que briseront le temps qui passe, la mort inéluctable des grands-parents, de la grande-tante, la vente de la petite maison de la rue du Lutin… La mémoire et l’imagination font revivre personnages et époque.

    16,00
  • Souvenance aux Editions du Petit Pavé

    Souvenance

    Souvenance, une chronique familiale douce amère contée par une petite Sarthoise que l’on voit grandir au fil des pages. Dimanche 17 Juillet 1938. Constellation de l’Ecrevisse. 21e jour de la lune. Il faisait chaud, très chaud. C’était, pour les coureurs du Tour de France, l’étape de la chaleur et de la soif et, dans un petit village sarthois, l’accouchement laborieux de la boulangère, l’affaire des habitants du bourg qui l’entendaient crier de douleur et plus particulièrement des voisins les plus proches venus prêter main forte au Docteur du village qui avait mis au monde nombre de petits pays. Souvenance, véritable témoignage sur la vie mancelle et sarthoise au milieu du XXe siècle, un autre temps, pas forcément ” le bon temps », mais du moins le temps retrouvé.

    14,00
  • Graindacier aux Editions du Petit Pavé

    Graindacier

    Dans la campagne bocagère d’un département de l’Ouest, le ruralité Camille Déret, la trentaine, travaille dans la ferme de ses parents, avec le statut social d’aide familial. Le temps venu, c’est-à-dire à la fin des années soixante, peut-il espérer reprendre l’exploitation à son compte, alors que l’agriculture traditionnelle et familiale subit les assauts répétés du modèle planifié et subventionné par les décideurs ? GRAINDACIER et les six personnages principaux du roman placent sans ménagement le lecteur devant les contradictions de l’évolution impitoyable de l’agriculture des quarante dernières années. Si le public contemporain admet généralement que l’agriculture productiviste n’a guère respecté l’environnement des campagnes, souvent il ignore qu’elle a sans doute ébranlé les fondements de la conscience ruraliténe.

    18,00