• Les gants de velours -  Une enfance en Anjou pendant l'Occupation aux Editions du Petit Pavé

    Les gants de velours – Une enfance en Anjou pendant l’Occupation

    La campagne angevine pendant la Guerre de 1940-1945, avec ses privations et sa débrouillardise. Une enfant de quatre à six ans découvre ses sensations et le monde incompréhensible des adultes. Tandis que le sadisme et la violence se déchaînent au loin, dans ce huis clos de la famille le mal se fait insidieux sous des aspects bucoliques et trouble l’âme de l’enfant.

    20,00
  • L'ardoise en folie - dans les carrières de Chattemoue en Javron et Villepail au XIXè siècle aux Editions du Petit Pavé

    L’ardoise en folie – dans les carrières de Chattemoue en Javron et Villepail au XIXè siècle

    Chattemoue m’a paru très éloquent de ce point de vue. A la façon dont tout à coup les capitaux s’emparèrent de ces carrières centenaires, à l’orgueil de porter une dalle d’ardoise jusqu’au campanile des Etablissements de la Société des Ardoisières. A l’ambition tout à coup de devenir dans le Nord aussi puissant que dans le Sud, à la volonté tout autant de la belle résistance des locaux et de leur liberté déconcertante de construire une auberge au beau milieu, sur des déblais d’ardoise !

    A vouloir unir la Mayenne et la Sarthe dans une même aventure, à creuser une nouvelle carrière au pied du village, au ras de la grande maison, se dressant comme une forteresse, au-dessus du vide. A devenir ardoisier quant on est notaire, voyer en chef ou banquier. Voilà un échantillon de la folie de la révolution industrielle balbutiante mais redoutable ! Un site, perdu dans la campagne, qui aujourd’hui comme hier, reste exploité par deux grandes travails : il y a tout de même quelque chose d’extraordinaire et de magique dans ce lieu de Chattemoue en Javron et Villepail !

    15,00
  • T'es qui

    T’es qui, toi ? Aventures rocambolesques de vieux compères

    Ernée, septembre 1970, cette petite ville du nord-ouest de la Mayenne, vit son petit bonhomme de chemin, au rythme de ses usines de chaussures et de ses quartiers ouvriers. La vie s’y écoule paisiblement, linéaire, sans à coups apparents. Quatre retraités, liés depuis leur enfance par une solide amitié, se retrouvent chaque dimanche matin au Café du Commerce, à l’angle de la place centrale, pour la partie de belote et la dégustation d’une assiette de tripes. En dépit de leur âge, ils ont gardé une âme d’enfant et ne pensent que farces, blagues et plaisanteries. Par contre, leurs relations conjugales, fort anciennes elles aussi, sont souvent houleuses, les retours à la maison parfois sportifs. Leur vie entière semble réglée par ces deux centres d’intérêts constamment en opposition. Dans l’un et l’autre cas, les relations sont très fortes, parfois insupportables et même féroces. Au prix d’acrobaties continuelles et d’arrangements avec la vérité, ils arrivent malgré tout à maintenir un équilibre dont ils s’accommodent apparemment sans trop de dommages. Un jour cependant, un événement imprévu vient interrompre ce bel ordonnancement. Vital Moreau, l’un des quatre compères, se retrouve propulsé au centre d’un drame familial dont il ne peut arriver à se dépêtrer et dans lequel il entraîne involontairement ses amis. Un petit grain de sable qui fait tout basculer autour d’eux, déclenchant un engrenage infernal que rien ne paraît pouvoir arrêter.

    20,00
  • Dans le sein douillet de ma garenne de Vendée aux Editions du Petit Pavé

    Dans le sein douillet de ma garenne de Vendée

    Une petite lapine est élevée dans une HLM de la région parisienne. Ses propriétaires l’emmènent avec eux en vacances en Vendée. Une nuit, elle s’échappe et fuit dans les garennes où elle va faire des rencontres qui lui feront découvrir les dunes, la faune, la flore… ainsi que la bêtise humaine. Cette histoire est prétexte à raconter les dunes du littoral vendéen qui étaient il y a moins de deux siècles encore un véritable désert de sable, que bouleversait l’éolien à la moindre tempête, obligeant les autochtones à s’exiler pour survivre. Mais, en 1810, Napoléon s’émeut de la situation et ordonne que des essais soient faites pour stabiliser ce sol ingrat en y faisant des plantations. C’est un véritable succès. Cinquante ans plus tard, les gens reprendront possession des lieux, pour y faire des cultures appropriées dans les parties creuses. Pendant ce temps, les plus grosses buttes se recouvriront d’un tapis magique composé de centaines de plantes, faisant de cette garenne, comme l’appellent les indigènes, un véritable jardin d’Eden trop méconnu.

    20,00
  • Les gardiennes du feu ; le vécu d'une fermière du Maine au XXe siècle aux Editions du Petit Pavé

    Les gardiennes du feu ; le vécu d’une fermière du Maine au XXe siècle

    Laure LEVACHER-RENOULT est née dans une ferme de Teillé, dans la Sarthe, quelques mois avant la déclaration de la Premiére Guerre mondiale. Son pére est maire de la commune et l’exploitation est importante pour l’époque.
    Aprés l’école primaire elle est envoyée au Mans comme pensionnaire jusqu’au brevet supérieur et aimerait devenir journaliste ou institutrice. Mais un grave accident d’automobile cloue sa mére au lit pour de longs mois. Adieu réve, il faut revenir é la ferme pour remplacer la é patronne é.

    20,00
  • Le Grand Huit aux Editions du Petit Pavé

    Le Grand Huit

    Au coeur des années soixante et de leur contexte mouvementé, Josette essaie tant bien que mal de se construire une vie heureuse. Elle doit faire face à la fois au machisme du patronat et à ses amours brisées. Elle trouve alors refuge auprès de ses amitiés fidèles et oublie ses peines grâce à ses rencontres passionnées. Après Mon Anjou des années cinquante, nous retrouvons le personnage de Josette sous un nouveau jour, à une époque nouvelle, pleine de force et de passion. L’héroïne nous entraîne une fois de plus dans Angers et sa région. Le travail à la chaîne, la guerre d’Algérie, les syndicats, les grèves de mai 68 : rien n’est oublié dans ce véritable témoignage historique d’une société en pleine ébullition. L’auteur, Ginette Riou nous offre pour la seconde fois une tranche de vie que l’on croque à pleines dents. Ceux qui ont aimé le premier volet se plongeront avec délices dans ce nouvel épisode écrit pour raconter une jeunesse très différente d’aujourd’hui.

    14,00
  • Un Rital aux carrières de Voutré - Mystère en kabylie aux Editions du Petit Pavé

    Un Rital aux carrières de Voutré – Mystère en kabylie

    Voutré, 1965. 18h50. Le train en provenance de Paris entre en gare. Parmi les quelques voyageurs qui descendent, un homme, flanqué d’un long imperméable beige, s’attarde sur le quai. Il n’a pour seuls bagages que deux valises. L’inconnu, peu loquace, fait pourtant rapidement parler de lui. D’abord à l’hôtel du village, où il prend une chambre, puis à la carrière où il est embauché comme conducteur d’engin dès le lendemain. Il faut dire que le mystère plane autour de lui. Pourquoi est-il venu se perdre dans ce coin isolé ? Que vient-il chercher ici ? Pourquoi a-t-il un pistolet sur lui ? Et comment se fait-il qu’il soit étroitement mêlé à plusieurs événements dramatiques qui viennent, curieusement, bouleverser la vie paisible des habitants de Voutré ? C’est dans le cadre grandiose des carrières de Kabylie – un site industriel dont l’histoire est si longue, si riche, qu’elle ne trouve aucun équivalent dans le département rural de la Mayenne – que se déroule cette action aux rebondissements multiples. L’occasion pour Jacques Cousin – et pour nous, lecteurs – de saluer le travail dur et périlleux des carriers, mais aussi de nous immiscer, pour quelques pages, dans leur vie de tous les jours, où solidarité et fraternité sont les maîtres mots.

    20,00
  • Les derniers tisserands du Berry au Bourbonnais

    Les derniers tisserands du Berry au Bourbonnais, résistance et agonie

    Le métier à tisser automatique fut une merveilleuse invention, en 1805, du Lyonnais Joseph Marie Jacquard. Utilisant une technique nouvelle de cartes perforées, il allait révolutionner l’artisanat textile, engendrer la prospérité des soyeux et de leurs confections prestigieuses : galons, parements d’uniformes au service des cours royales et des armées, étoles pour l’église orthodoxe, etc. Il fit le bonheur des uns… ruinant les autres, petits tisserands du Berry qui vivaient modestement de la confection de toiles communes et n’avaient aucun moyen de réaliser de coûteux investissements. C’est leur lente agonie tout au long du XIXe siècle, que Claude Ferrieux a voulu décrire : elle aboutira à des mutations d’activité et au départ de ses aïeux vers le Bourbonnais et les mines de Buxières. Cette histoire romancée, qui débute avec les campagnes napoléoniennes, repose sur une documentation précise laissée par les ascendants de l’auteur : les écrits d’Eugène Ferrieux, et les recherches réalisées pendant de nombreuses années aux Archives de Bourges par Jules Ferrieux, à propos des troubles politiques et de leur répression à l’avènement du Second Empire.

    18,00
  • Mystérieuses grossesses dans un petit village de l'Anjou aux Editions du Petit Pavé

    Mystérieuses grossesses dans un petit village de l’Anjou

    le premier polar sans- morts… ce serait même plutôt l’inverse ! Mais que s’est-il donc passé d’extraordinaire dans ce petit village des années 50 qui ne compte que 300 à 400 âmes ? Comment se fait-il que toutes les femmes en âge de procréer soient enceintes en même temps, et vraisemblablement du même jour ? Voilà le mystère auquel est confronté le brave médecin Jacques Renard. N’y aurait-il pas du diable là-dessous ? C’est ce qu’il demandera au curé bien sûr, le père Basile, mais aussi au maire – une sacrée nature celui-là – et bien entendu au peu futé sergent Ducourneau, qui assure l’ordre comme il peut, ou plutôt assurait, avant qu’une sorte de folie collective ne s’empare d’un de nos plus charmants village de la France profonde. Et si ça s’était passé dans votre village ? Surtout ne cherchez pas la localisation exacte de ce petit village, que certain situe en Anjou. Tout a été transformé par l’auteur pour ne pas porter tort à un village et à des personnes ou descendants qui pourraient vivre encore. Les noms des lieux, professions, et personnes ont été modifiés. Ainsi le village de Soulmental cache bien des mystères…

    10,00
  • Mystérieuses grossesses dans un petit village de la Sarthe aux Editions du Petit Pavé

    Mystérieuses grossesses dans un petit village de la Sarthe

    Le premier polar sans- morts… ce serait même plutôt l’inverse ! Mais que s’est-il donc passé d’extraordinaire dans ce petit village des années 50 qui ne compte que 300 à 400 âmes ? Comment se fait-il que toutes les femmes en âge de procréer soient enceintes en même temps, et vraisemblablement du même jour ? Voilà le mystère auquel est confronté le brave médecin Jacques Renard. N’y aurait-il pas du diable là-dessous ? C’est ce qu’il demandera au curé bien sûr, le père Basile, mais aussi au maire – une sacrée nature celui-là – et bien entendu au peu futé sergent Ducourneau, qui assure l’ordre comme il peut, ou plutôt assurait, avant qu’une sorte de folie collective ne s’empare d’un de nos plus charmants village de la France profonde. Et si ça s’était passé dans votre village ? Surtout ne cherchez pas la localisation exacte de ce petit village, que certain situe en Sarthe. Tout a été transformé par l’auteur pour ne pas porter tort à un village et à des personnes ou descendants qui pourraient vivre encore. Les noms des lieux, professions, et personnes ont été modifiés. Ainsi le village de Soulmental cache bien des mystères…

    10,00
  • Coeur d'ardoise...Histoire des gens des ardoisières de la Châtellerie aux Editions du Petit Pavé

    Coeur d’ardoise…Histoire des gens des ardoisières de la Châtellerie

    L’histoire, au XIXe siécle, d’une petite société de hameau, écrite comme une chronique, se déroule dans la Sarthe, autour et dans l’ardoisiére de Saint-Georges-le-Gaultier. Elle met en scéne les familles qui y ont vécu de 1850 é 1885.
    Des habitations de carriers, de fendeurs et d’autres gens encadrent en effet les carriéres aux quatre coins de l’horizon. Cependant, c’est dans la cité que le voisinage est le plus rapproché et la vie la mieux partagée, méme si la condition et le destin de chacun soudent davantage, par moments, la petite communauté ou la séparent é d’autres.
    Mais, si la qualité du voisinage est bien lé, nourrie de la vie des uns et des autres, on entend ici l’écho des trains qui se mettent é circuler et celui des clairons de la guerre, en 1870. On connaét l’Obéissante, la fameuse voiture Bollée, au Mans, et Clorinthe Ribot fréquente les peintres de Saint-Cénéri-le-Gérei..

    15,00
  • Le carillon des temps maudits

    Le carillon des temps maudits, avoir vingt ans en 1940…

    La vie n’a pas été un ruisseau tranquille pour les jeunes qui ont eu la malchance d’avoir vingt ans pendant les années 1939-1945. Ce roman, inspiré de faits réels, a pour cadre un village vendéen. Il nous fait partager la vie de ses jeunes gens, dont beaucoup seront victimes de la déportation ouvrière ; certains y ont trouvé la mort, d’autres s’évaderont ou se cacheront. Malgré tout, l’amour saura se frayer un chemin dans ces instants douloureux.

    « C’est en pensant à cette jeunesse, envers laquelle la grande Histoire sera indifférente, que j’ai voulu conter cette histoire, à la mémoire de ceux, surtout, qui sont morts sous les bombes et dont les restes reposent peut-être encore sous les fondations de somptueux buildings qui s’élèvent, majestueux, dans le pays où ils sont morts. » André Deguil

    16,00