• D'une l'autre

    D’une l’autre, destins de femmes

    D’UNE L’AUTRE Deux femmes de rien Deux femmes comme si de rien Deux femmes et quelques hommes, porteurs de bottes ou d’encens… Deux femmes abandonnées, déshonorées Deux femmes liées par une histoire une histoire que l’une refuse, l’autre ignore Et pourtant… Deux femmes

    15,00
  • Pardon madame aux Editions du Petit Pavé

    Pardon madame

    C’est un roman grave, cruel, sorte d’élégie de la détresse. La montée d’un climat inquiétant révèle des personnages victimes d’un destin où se côtoient folie et haine, surgies souvent d’un amour malheureux ou pitoyable. « Comme si leur âme avait désespéré de respirer », dit un théologien, ami de l’auteur. Epopée du mystère, de la dissimulation, l’histoire, se forgeant dans les circonvolutions du temps, finira par s’éclaircir avec logique.

    18,00
  • La vache qui tue aux Editions du Petit Pavé

    La vache qui tue

    Les amateurs d’Aluette, cet antique jeu de cartes familier aux vieux Nantais, Vendéens, Angevins, appré-cieront ce roman policier et humoristique.

    Yves Horeau saisit ici le prétexte du meurtre inexplicable d’un directeur d’usine rurale pour nous introduire dans l’intimité de personnages emblématiques et dréles d’un village de la France profonde, comme le gendarme ornithologue, la dame patronnesse, les syndicalistes obtus, la supérieure des Oblates du Divin Agneau Rédempteur, le libraire poéte de sous-préfecture, l’hételier qui chasse tous les gibiers é plume ou é poil, l’organiste collectionneur de sous-vétements fémininsé sans oublier un couple d’amoureux pour lequel l’auteur nourrit une secréte tendresse.
    Dans un style qui rappelle celui de Marcel Aymé, et l’humour de Michel Audiard, Yves Horeau n’épargne personne et aborde tous les genres de comique, de mots, de situation, de personnages, tout en nous guidant dans un labyrinthe insensé né des régles du jeu de Vache, autre nom de l’Aluette.

    Bref, La Vache qui tue
    mais aussi la vache qui rit, et qui fait rire?

    18,00
  • Un Rital aux carrières de Voutré - Mystère en kabylie aux Editions du Petit Pavé

    Un Rital aux carrières de Voutré – Mystère en kabylie

    Voutré, 1965. 18h50. Le train en provenance de Paris entre en gare. Parmi les quelques voyageurs qui descendent, un homme, flanqué d’un long imperméable beige, s’attarde sur le quai. Il n’a pour seuls bagages que deux valises. L’inconnu, peu loquace, fait pourtant rapidement parler de lui. D’abord à l’hôtel du village, où il prend une chambre, puis à la carrière où il est embauché comme conducteur d’engin dès le lendemain. Il faut dire que le mystère plane autour de lui. Pourquoi est-il venu se perdre dans ce coin isolé ? Que vient-il chercher ici ? Pourquoi a-t-il un pistolet sur lui ? Et comment se fait-il qu’il soit étroitement mêlé à plusieurs événements dramatiques qui viennent, curieusement, bouleverser la vie paisible des habitants de Voutré ? C’est dans le cadre grandiose des carrières de Kabylie – un site industriel dont l’histoire est si longue, si riche, qu’elle ne trouve aucun équivalent dans le département rural de la Mayenne – que se déroule cette action aux rebondissements multiples. L’occasion pour Jacques Cousin – et pour nous, lecteurs – de saluer le travail dur et périlleux des carriers, mais aussi de nous immiscer, pour quelques pages, dans leur vie de tous les jours, où solidarité et fraternité sont les maîtres mots.

    20,00
  • Les derniers tisserands du Berry au Bourbonnais

    Les derniers tisserands du Berry au Bourbonnais, résistance et agonie

    Le métier à tisser automatique fut une merveilleuse invention, en 1805, du Lyonnais Joseph Marie Jacquard. Utilisant une technique nouvelle de cartes perforées, il allait révolutionner l’artisanat textile, engendrer la prospérité des soyeux et de leurs confections prestigieuses : galons, parements d’uniformes au service des cours royales et des armées, étoles pour l’église orthodoxe, etc. Il fit le bonheur des uns… ruinant les autres, petits tisserands du Berry qui vivaient modestement de la confection de toiles communes et n’avaient aucun moyen de réaliser de coûteux investissements. C’est leur lente agonie tout au long du XIXe siècle, que Claude Ferrieux a voulu décrire : elle aboutira à des mutations d’activité et au départ de ses aïeux vers le Bourbonnais et les mines de Buxières. Cette histoire romancée, qui débute avec les campagnes napoléoniennes, repose sur une documentation précise laissée par les ascendants de l’auteur : les écrits d’Eugène Ferrieux, et les recherches réalisées pendant de nombreuses années aux Archives de Bourges par Jules Ferrieux, à propos des troubles politiques et de leur répression à l’avènement du Second Empire.

    18,00
  • Le retour de l'abbé Fournier aux Editions du Petit Pavé

    Le retour de l’abbé Fournier

    Nantes, avril 2005. Gaétan Fournier, qui vient de défroquer, est de retour dans la ville où il a entamé son sacerdoce. Après quinze ans d’absence, l’ancien vicaire de Saint-Pasquier veut retrouver cette paroissienne dont le souvenir n’a cessé de l’obséder : Marie-Laure d’Estran. Le brillant abbé, originaire de Vendée, et cette grande bourgeoise racée, se sont secrètement aimés, sans jamais fauter. Jusqu’au moment où la séparation totale s’est imposée à eux. Si l’abbé Fournier s’est résolu, la mort dans l’âme, à partir exercer son ministère sous d’autres cieux, Marie-Laure d’Estran, compromise dans une sombre histoire de mœurs, a été contrainte de ” s’exiler » à Paris. À dire vrai, son grand-père l’a chassée de l’affaire familiale, un gros cabinet immobilier dont elle assurait la gérance. Quinze ans plus tard, un beau soir de septembre 2005, Marie-Laure d’Estran et Gaétan Fournier, forçant le destin, vont à nouveau se rencontrer. Alors, pour eux, tout va devenir possible… Au-delà de la passion amoureuse, et du thème de la religion, Jean-Pierre Raison aborde dans ce roman à la fois vif et profond, des sujets sensibles comme l’urbanisme et l’immobilier. Il dresse aussi un singulier portrait culturel et social de la ville de Nantes.

    18,00
  • Mystérieuses grossesses dans un petit village de l'Anjou aux Editions du Petit Pavé

    Mystérieuses grossesses dans un petit village de l’Anjou

    le premier polar sans- morts… ce serait même plutôt l’inverse ! Mais que s’est-il donc passé d’extraordinaire dans ce petit village des années 50 qui ne compte que 300 à 400 âmes ? Comment se fait-il que toutes les femmes en âge de procréer soient enceintes en même temps, et vraisemblablement du même jour ? Voilà le mystère auquel est confronté le brave médecin Jacques Renard. N’y aurait-il pas du diable là-dessous ? C’est ce qu’il demandera au curé bien sûr, le père Basile, mais aussi au maire – une sacrée nature celui-là – et bien entendu au peu futé sergent Ducourneau, qui assure l’ordre comme il peut, ou plutôt assurait, avant qu’une sorte de folie collective ne s’empare d’un de nos plus charmants village de la France profonde. Et si ça s’était passé dans votre village ? Surtout ne cherchez pas la localisation exacte de ce petit village, que certain situe en Anjou. Tout a été transformé par l’auteur pour ne pas porter tort à un village et à des personnes ou descendants qui pourraient vivre encore. Les noms des lieux, professions, et personnes ont été modifiés. Ainsi le village de Soulmental cache bien des mystères…

    10,00
  • Mystérieuses grossesses dans un petit village de la Sarthe aux Editions du Petit Pavé

    Mystérieuses grossesses dans un petit village de la Sarthe

    Le premier polar sans- morts… ce serait même plutôt l’inverse ! Mais que s’est-il donc passé d’extraordinaire dans ce petit village des années 50 qui ne compte que 300 à 400 âmes ? Comment se fait-il que toutes les femmes en âge de procréer soient enceintes en même temps, et vraisemblablement du même jour ? Voilà le mystère auquel est confronté le brave médecin Jacques Renard. N’y aurait-il pas du diable là-dessous ? C’est ce qu’il demandera au curé bien sûr, le père Basile, mais aussi au maire – une sacrée nature celui-là – et bien entendu au peu futé sergent Ducourneau, qui assure l’ordre comme il peut, ou plutôt assurait, avant qu’une sorte de folie collective ne s’empare d’un de nos plus charmants village de la France profonde. Et si ça s’était passé dans votre village ? Surtout ne cherchez pas la localisation exacte de ce petit village, que certain situe en Sarthe. Tout a été transformé par l’auteur pour ne pas porter tort à un village et à des personnes ou descendants qui pourraient vivre encore. Les noms des lieux, professions, et personnes ont été modifiés. Ainsi le village de Soulmental cache bien des mystères…

    10,00
  • L'île aux adieux - Les trois derniers jours de l'Empereur en France

    L’île aux adieux – Les trois derniers jours de l’Empereur en France, l’Ïle d’Aux

    Bastien est un adolescent , qui, en 1812, vit paisiblement sur l’Ile d’Aix, entre parties de pêche, baignades et premiers émois amoureux. Lorsque l’Empereur débarque , il n’en croit pas ses yeux : son héros va loger à quelques mètres de chez lui ! Mais peu à peu, une autre vérité va s’imposer, qui modifiera son regard. Et si Napoléon n’était pas tel qu’il l’imaginait dans ses rêves d’enfant ? Il peut être douloureux de découvrir une réalité qui nous projette précocement dans le monde des adultes… On nous parle toujours du court séjour de Napoléon sur cette île, mais que s’est-il réellement passé ? Ces quelques heures – charnières – apparaissent peu dans l’Histoire officielle, et pourtant elles ont été à la fois passionnantes et terribles. Je souhaitais instaurer un débat sur Napoléon et sur le rôle qu’il a joué. Héros ou mégalomane ? Courageux ou sanguinaire ? Ces questions se poseront à Bastien, témoin dans mon histoire du passage de l’Empereur sur son île. Corinne Champougny

    13,00
  • Vacances au-delà du Gois aux Editions du Petit Pavé

    Vacances au-delà du Gois

    Comme chaque été, Lisa et Olivier passent les vacances dans leur maison de Noirmoutier. Mais cette année ils viennent y fêter leurs 30 ans de mariage. L’occasion d’inviter amis, enfants et petits- enfants pour partager ce moment, mais aussi la passion qu’ils vouent à cette île. Jeunes grands-parents, ils profitent de chaque moment pour parcourir l’île avec leurs petits-enfants en leur racontant la vie noirmoutrine.

    17,00
  • J'irai décrocher la Une aux Editions du Petit Pavé

    J’irai décrocher la Une

    Au printemps 1984, Thierry monte sur Paris pour vivre ses rêves dans la grande presse. Il y rencontre Bérengère, jeune et jolie journaliste au dent aussi longue que le carnet d’adresse de son papa. Au fil des scoops et des manipulations, profitant des courants politiques, il mène une carrière dans la communication. La privatisation de la Une lui permettra de trouver les chemins du succèes. Comme une fable des temps modernes, le suspense du livre permet d’aborder l’actualité du sujet avec humour. Entre fiction et réalité, le lecteur parcourt à la suite des deux jeunes héros, imaginatifs et attachants, les coulisses du monde des média de 1984.

    16,00
  • Par Humanité aux Editions du Petit Pavé

    Par Humanité

    Depuis plusieurs mois, une recrudescence des attentats terroristes a amené les démocraties à se doter de moyens radicaux pour se défendre et riposter. Des Centres de police ont été créés un peu partout, où les pratiques d’interrogatoire deviennent de plus en plus musclées. C’est à l’infirmerie de l’un de ces Centres, surnommé « La Garnison », que travaille Demarty. Jeune médecin, il parvient à s’accommoder des conditions particulières dans lesquelles il doit exercer ses fonctions. Jusqu’au jour où son destin rencontre celui de Kleber, un ancien journaliste soupçonné d’entretenir des contacts étroits avec des groupes terroristes. Ses compétences étant sollicitées pour une tâche qui contraste avec l’idée qu’il se fait de son métier, il devra faire des choix et prendre ses responsabilités. On ne peut pas rester indifférent à Par humanité, roman d’une écriture sans concession, qui nous pose quelques-unes des questions urgentes de notre temps : qu’est-ce qu’une démocratie face au terrorisme ? Contre celle des terroristes, y a-t-il une violence qu’on puisse dire ” légitime » ? Et, plus concrètement, comment se conduire devant l’humanité de l’autre homme ?

    17,00