• Elle est là - Histoires vécues ou qui pourraient l'être

    Elle est là – Histoires vécues ou qui pourraient l’être, de vie, de mort, d’amour

    L’auteur a brisé son armure dans le premier récit Elle est là, émouvant hommage à son épouse disparue il y a cinq ans.

    Le pinceau suggestif de Gérard Cherbonnier illustre chaque nouvelle, prédispose à l’entrée en lecture en apportant une subtile touche de mystère et en allant au devant des émotions qu’éprouvera le lecteur. Il offre un véritable ouvrage dans l’ouvrage.

    22,00
  • Le rocher d'Abraham aux Editions du Petit Pavé

    Le rocher d’Abraham

    « Une petite neige sur la terre gelée, quelque chose dépassant, des chaumes. On sentait la nuit dans cette crème de jour. Les montagnes, quelques bouleaux, la pierre d’une maison. L’étendue est immuable. Les gens sont passés. il n’en reste presque rien. Le monde se tient seulement à cette lumière.
    Elle venait ici pour se perdre, mais amicalement, sans histoires. Retourner les pensées dans l’autre sens, soi, comme un gant. Rejoindre le fond, l’instant. L’absolu est sans rives, sans images, sans cris. Juste ce qui est… »

    14,00
  • Chute Libre aux Editions du Petit Pavé

    Chute Libre

    Philippe Gilbert est soumis ! Il est soumis é la notoriété de son homonyme, le cycliste belge vainqueur de classiques qui n’est même pas son cousin de loin. Il est soumis é la nouvelle, genre que l’on dit moins lu en France que le roman. Mais il est surtout soumis au voyage qui a fabriqué sa rébellion et nourri sa littérature.

    Dans ce recueil de nouvelles, ce « trouvère à cœur ouvert » nous parle de tout. De ses voyages, de l’insularité, mais également de football et d’érotisme. De l’Afrique à l’Asie, de l’Ile d’Oléron à la Vendée, cet écrivain sans frontières nous entraîne dans un fabuleux voyage au pays des mots, dans un style qui lui est propre, et dont son ami Gilbert Prouteau en aime « le souffle et le ton, où l’argot étaye le classique, où la langue parlée côtoie le jeune roman américain. »

    Chute Libre et Chute de reins sont deux recueils de nouvelles qui se répondent sans cesse l’un é l’autre,

    20,00
  • Chute de reins aux Editions du Petit Pavé

    Chute de reins

    « Couvrez ce sein que je ne saurais voir », disait Tartuffe, apeuré par de mauvaises pensées. Le parti pris dans ce recueil est tout autre… Amour, sensualité, exotisme, chair, autant de mots qui se raccrochent à la littérature érotique, art sublimé par Pierre Loués et Apollinaire.
    Et pourtant, donner du plaisir avec les mots n’est pas chose aisée. Mais Philippe Gilbert y parvient ! Ses nouvelles sont lestes, franches, sensuelles, corrompues, triomphantes. Elles bannissent les tabous de la morale, analysent les frustrations, célèbrent la chair à l’air libre, et marient l’humour à la volupté.
    Sur les pas d’Anaïs Nin, d’Henry Miller et de Catherine Millet, Philippe Gilbert nous entraîne dans un véritable voyage érotique à travers le monde, randonnées parfois surréalistes au pays de la femme.

    Chute Libre et Chute de reins sont deux recueils de nouvelles qui se répondent sans cesse l’un à l’autre,

    20,00
  • L'homme du vent aux Editions du Petit Pavé

    L’homme du vent

    Dans L’homme du vent, les personnages, et surtout Onel, qui revient é plusieurs reprises, sont en proie é la violence ou aux conflits d’une société rurale.

    Il faut lire ces nouvelles pour entrer plus profondément dans l’univers de Porfirio Mamani Macedo nourri aux sources d’une culture dont les racines s’étendent jusque dans nos pays et dont les résonances nous parviennent par le biais de ce témoin privilégié et talentueux.

    12,00
  • Promenade en luttes

    Promenade en luttes, version intime, avec classes.

    « Promenade en luttes, version intime, avec classes. » n’est pas un, mais trois romans sous une même couverture. Entre autobiographie, autofiction, fiction et mémoires, ces textes racontent tous la même chose : la persistance, dans l’esprit d’un auteur, de ses vieux combats, de son esprit de contradiction, de ses luttes, passées, présentes, futures, de l’esprit de lutte, du poing toujours levé. très court résumé des histoires En théorie, après la lecture de ces textes, vous devriez en savoir un peu plus sur moi. Vous y apprendrez que je fus un jeune soixante-huitard, l’un des rares restés fidèles aux idéaux de cette époque, que je suis passablement révolté, que je suis un artiste, mais aussi une femme, aveugle, ou bien une femme de la haute, ou bien encore un fils d’industriel assez peu scrupuleux. Vous y apprendrez, finalement, que « je » est un « auteur ».

    20,00
  • Les Délaissés aux Editions du Petit Pavé

    Les Délaissés

    Huit nouvelles, à l’écriture aussi vive qu’incisive, sur les invisibles, les délaissés, les oubliés, que Catherine Malard nous appelle à découvrir, à voir, à reconnaître, à accepter…

    Le paysage est perpétuellement en mouvement. Désormais, vous allez vous attacher aussi à voir ce que vous ne voyez pas, ce qui est caché, en dessous, ce que nous, en architecture, nous appelons « les délaissés ».

    12,00
  • Petits Bonheurs aux Editions du Petit Pavé

    Petits Bonheurs

    « Ne cours pas après le bonheur, tu le portes en toi, blotti au tréfonds de ton être comme un oiseau craintif au cœur du buisson secret.
    Laisse-le prendre librement son essor afin qu’il t’emporte d’un coup d’aile radieux et t’offre un peu de vraie joie. Il n’est pas plaisir intense et fulgurant, ni extase éperdue, mais furtif ravissement »

    Ces pensées exprimées dans mon recueil « Amours, Délices et Orgues » paru en 2000 aux éditions du Petit Pavé, je les illustre dans ce livre qui est en quelque sorte un défi au doute, à la morosité et à la tristesse d’un monde de plus en plus dur et sans âme dans lequel l’appétit de pouvoir dénué de scrupules et l’argent sont rois.
    Les ? Petits Bonheurs ? dont je parle dans ce livre n’ont rien d’extraordinaire.
    Ce sont des moments sereins, pleins d’harmonie lors desquels nous nous sentons comblés par les merveilleux spectacles ou divertissements qui peuvent s’offrir à nous ou que nous pouvons partager avec ceux qui nous sont chers, parents, amis
    Il suffit d’ouvrir grand les yeux, de contempler, d’écouter, de sentir
    Il n’est pas nécessaire de courir le monde pour cela.
    Ces bonheurs simples sont souvent à notre porte et sont mon « Hymne à la joie ».

    12,00
  • Madeleines aux Editions du Petit Pavé

    Madeleines

    Des récits autour de Madeleine, la grand-mére du narrateur, qui font revivre une époque, les années 50-60, un milieu, la petite-bourgeoisie de province. Et la vie d’une femme au quotidien. Elle circule en bicyclette grise, raméne des anguilles du marché, écoute ééLe jeu des mille francs é. Les madeleines qu’elle prépare ont un goét divin, et sa confiture de méres coule dans la gorge. L’hiver, elle prend le thée avec des amies, qui s’appellent Amandine ou Georgette, mange des pommes cuites. Au printemps, elle part en cure é é Bagnole de l’or é ou reéoit les Bensimon. L’été elle péhe é pied, prend son pliant pour aller la plage. Cette femme, cette grand-mére, ce pourrait étre la vétre. Des saveurs, des odeurs, des images, il y en a plein le livre : chacun pourra y retrouver le goét de l’existence telle que la mémoire la ressuscite.

    14,00
  • Trente comme un

    Trente comme un, Trente communes

    C’est à travers leur passion de l’écriture que vingt-cinq écrivains de Loire Atlantique ont décidé d’unir leurs talents pour vous présenter un ensemble de textes sur les communes du département. L’aboutissement de ce projet se trouve aujourd’hui entre vos mains : un magnifique recueil alliant poésie et polar, humour et nostalgie, et dans lequel chaque lecteur reconnaîtra un lieu, un village ou une rue qu’il a arpenté. 25 nouvelles sur les communes de Loire-Atlantique 25 biographies d’écrivains ARTHON-EN-RETZ – Martine Monnier ; BOURGNEUF-EN-RETZ – Michel Moinier ; CARQUEFOU – Hervé Sard ; GRANDCHAMP-DES-FONTAINES – Béatrice Gédouin-Malinge ; GUéRANDE – Gaëlle Le Pavic-Ajouy ; HéRIC – Jacky Blandeau ; LE POULIGUEN – Roger Coupannec ; LES MARAIS SALANTS – Martine Lani-Bayle ; LES MOUTIERS-EN-RETZ – Joël Jaud ; NANTES – Julia Kino ; NANTES – Manuel Froger ; NANTES L’ANCIEN PORT – Zannie Voisin ; NANTES LES QUAIS – Paul de Brancion ; NANTES QUARTIER GRASLIN – Antoine George ; NANTES SAINTE-THéRèSE – Michel Chapalain ; NANTES SAINT-JOSEPH DE PORTERIE – Denis Retière; ORVAULT – Jules Peaudelapin ; PORNIC – Jean Hussegaut ; REZé TRENTEMOULT – Jean-Nicolas Konarzewski ; SAINT-PHILBERT-DE-GRAND-LIEU – Françoise Boiziau-Sorin ; SAINT-SéBASTIEN -SUR-LOIRE – Yannick Guilbaud ; THARON – Hortensia Tournemine ; TREILLIèRES – Gwenaëlle Moullec-Le Therisien ; TREILLIèRES – Pascale Dubosq ; VERTOU – Hugues d’Achon

    24,00
  • Aller Simple aux Editions du Petit Pavé

    Aller Simple

    L’homme qui part voyage seul.
    Qu’il monte dans un train ou un avion, ou méme dans un corbillard. Parfois, comme dans une de ces nouvelles, il use de moyens de transport plus étranges. Et il arrive que cela ne soit que virtuel.
    Bien sér, il est des voyages plus tragiques que d’autres. De plus désespérés. Mais humour et fraternité montrent toujours un sourire discret, méme si, chaque fois, l’histoire et la vie s’achévent en méme temps.
    De Léon, pour qui ses amis se sont donné tant de peine, en pleine canicule, jusqu’é Fernand, parti retrouver un amour de jeunesse en récitant des vers de Walt Whitman, on croise dans ces récits aussi bien un ancien cambrioleur qu’un marathonien déchu, un joueur d’orgue de Barbarie qu’un mécanicien, détestant les voitures.
    Dans ces nouvelles, le voyage est toujours un< é aller é vers l'inconnu, vers des réves souvent impossibles ou inachevés. Et il n'est pas toujours nécessaire d'aller loin. Voyager, c'est d'abord partir... Souvent, ici, sans retour. Un aller simple.

    14,00
  • Sur le Caillou

    Sur le Caillou, pérégrinations en Mélanésie

    Plusieurs années se sont écoulées depuis mon séjour sur le Caillou é nom affectueusement donné par ses habitants é la Nouvelle-Calédonie. Aux antipodes de mon quotidien, j’ai pérégriné avec joie dans ce petit coin du Pacifique, réel et imaginaire. Ce n’est pas l’exotisme au sens vulgaire qui a fait de ce séjour une expérience inoubliable, mais le déplacement de mon point de vue et, par conséquent, de mon regard.

    12,00