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Ecommoy au XXe siècle Invitation au voyage.
35,00€é Laquelle des deux est donc la Mairie ? é Réponse facile pour les Ecomméens, mais pour les familles des mariés du samedi qui arrivent de tous horizons, il y a hésitation.
Beaucoup de jeunes peuvent aussi s’interroger sur la différence entre deux belles bétisses d’Ecommoy : l’Hétel de Ville et la Mairie. Autant de questionséDésireux dééclairer léétat actuel des lieux ou des affaires écomméennes en 2007, les auteurs de cet ouvrage ont revisité les principaux bétiments, retracé l’essentiel de l’histoire
politique locale, scolaire, sociale et religieuse, et présenté l’éventail de l’activité économique, sportive et culturelle déEcommoy au XXe siécle.Ce voyage dans léhistoire, séappuie, outre les recherches, sur de multiples rencontres, et témoignages écrits. Ainsi les retranscriptions et enregistrements mettront le lecteur et auditeur en contact plus direct avec léEcommoy du XXe siécle, et le placeront, tel est le but de ce livre, au plus juste devant sa perception écomméenne du XXIe siécle.
CD Audio inclus dans ce livre.
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Il était une fois les commerces à Longué-Jumelles, tome 2
25,00€[i]Voilé un deuxiéme tome trés attendu. Il faut dire que ce nouveau livre de Raymonde Deniau et André Riette sur l’activité économique d’hier et d’aujourd’hui dans notre Commune de Longué-Jumelles, est particuliérement bienvenu. Dans le premier tome, nos auteurs avaient su peindre l’évolution des commerces avec force photos et souvenirs piquants, sur un ton empreint de vivacité, d’humanité et d’humour. Avec 1200 exemplaires vendus, le succés a été au rendez-vous.[/i]
E. Alphandéry
Maire de Longué-JumellesCe nouvel ouvrage retrace lui léhistoire des commerces, de léartisanat, et de léindustrie é Longué, mais aussi é Jumelles, village associé. La balade débute dans le Vieux Bourg et le Champ de foire de Longué (ci-contre léHétel Poirier), pour séouvrir ensuite sur Jumelles (ci-contre la quincaillerie Coynai).
On y retrouve léhistoire des lieux et des hommes qui ont fait vivre pendant plus déun siécle ces deux bourgs ; mais également celle des industries, sources de richesses et de notoriétés, et celle des hommes (comme ci-dessus, Georges Guilbaud, fondateur de France Champi-gnons, ou Bruno Desjonquéres, président de la société Bezault-Rivinox de 1972 é 1995) qui ont construit la renommée des grands noms de la commune, comme léusine Bézault, la scierie Dufehy (ci-contre), Royal Champi-gnons, ou encore le moulin, léabattoir ou léusine é gaz, etc. -
Les derniers tisserands du Berry au Bourbonnais, résistance et agonie
18,00€Le métier à tisser automatique fut une merveilleuse invention, en 1805, du Lyonnais Joseph Marie Jacquard. Utilisant une technique nouvelle de cartes perforées, il allait révolutionner l’artisanat textile, engendrer la prospérité des soyeux et de leurs confections prestigieuses : galons, parements d’uniformes au service des cours royales et des armées, étoles pour l’église orthodoxe, etc. Il fit le bonheur des uns… ruinant les autres, petits tisserands du Berry qui vivaient modestement de la confection de toiles communes et n’avaient aucun moyen de réaliser de coûteux investissements. C’est leur lente agonie tout au long du XIXe siècle, que Claude Ferrieux a voulu décrire : elle aboutira à des mutations d’activité et au départ de ses aïeux vers le Bourbonnais et les mines de Buxières. Cette histoire romancée, qui débute avec les campagnes napoléoniennes, repose sur une documentation précise laissée par les ascendants de l’auteur : les écrits d’Eugène Ferrieux, et les recherches réalisées pendant de nombreuses années aux Archives de Bourges par Jules Ferrieux, à propos des troubles politiques et de leur répression à l’avènement du Second Empire.
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Saint-Aubin des Ponts-de-cé. 1003-2003. Tome 2
29,00€En 2003, on fétait les mille ans de la construction de lééglise de Saint-Aubin des Ponts-de-Cé. Pierre Davy, historien angevin, a saisi léoccasion du millénaire pour retracer léhistoire de cette église (Tome 1) et de la paroisse Saint-Aubin (Tome 2).
Depuis 1003, une communauté paroissiale vit autour de lééglise Saint-Aubin en exprimant sa foi par le culte des morts, par des cérémonies, processions ou missions, jusquéau repli de la pratique religieuse qui apparaét é l’époque contemporaine.
La vie quotidienne de cette paroisse est tout aussi passionnante, et léon découvre ici léhistoire de la cure, de ses desservants, de la fabrique. Léétude porte aussi sur léenseignement, sur les diverses confréries de la ville et les ordres religieux, démontrant léimportance de la religion dans la vie de la cité. On séattarde aussi sur les relations, parfois conflictuelles, entre les pouvoirs religieux et municipaux.
Enfin, un inventaire des croix et chapelles de la paroisse nous permet de redécouvrir la ville des Ponts-de-Cé, dont la paroisse Saint-Aubin a constitué dés 1790 le noyau originel et, de ce fait, y rattache sa longue histoire.
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Saint-Aubin des Ponts-de-cé. 1003-2003. Tome 1
29,00€En 2003, on fétait les mille ans de la construction de l’église Saint-Aubin des Ponts-de-Cé. Pierre Davy, historien angevin, a saisi l’occasion du millénaire pour retracer l’histoire de cette église (Tome 1) et de la paroisse Saint-Aubin (Tome 2).
L’église Saint-Aubin, bien que discréte sur les rives ligériennes des Ponts-de-Cé, posséde nombre d’atouts architecturaux et artistiques. Peintures murales, statues et mobiliers anciens, autels divers, ou orgues récentes, les trésors de l’église sont multiples et offrent é l’édifice une singularité et un attrait insoupéonné.
Vieille de plus de mille ans, l’église paroissiale a connu nombre de dangers et de péripéties. Les excés de la nature (météores, séismes, inondations) comme les guerres et autres fléaux humains ont laissé des traces dans les pierres, mais surtout l’édifice faillit disparaétre le 27 décembre 1973, date du grand incendie qui ravagea le bétiment.
Les habitants des Ponts-de-Cé se souviennent encore de ces terribles flammes, qui en trente minutes laissérent un bétiment désolé. Il fallut onze années pour reconstruire l’église et la réouvrir au culte.Aujourd’hui, l’église Saint-Aubin mérite qu’on se souvienne de son histoire. Pierre Davy permet ici de faire vivre ce patrimoine local.
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Le Lapin angora. L’or blanc angevin du XXe siècle
16,00€Des origines du lapin à ses diverses caractéristiques, de l’élevage de l’angora à l’amélioration de sa race, plusieurs années d’enquête ont été nécessaires à Raphaèle Perego pour développer cet important volet de l’économie du xxe siècle particulièrement florissante en Anjou. Certains témoignages sont attendrissants, comme celui de l’éleveuse qui confectionnait des petits manteaux pour ses lapins, afin de leur éviter un coup de froid après l’épilage… D’autres sont un peu plus rusés, comme ce courtier qui, dans certains foyers, établissait deux factures : ” une officielle pour le mari, et la facture réelle, plus élevée, pour la femme, qui mettait la différence dans sa poche »… Les anecdotes sont multiples et donnent vie à ce passé. Citons celle du curé de Milly, l’abbé René Truffeau, qui avait aussi été atteint par cette fièvre : dans les années 1960, apparemment plus préoccupé par l’élevage des lapins angoras que par le salut de ses ouailles, il avait déménagé la chaire de son église pour y entreposer de l’avoine pour ses lapins ! Avec ce travail de mémoire, Raphaèle Perego a souhaité transmettre un vécu, une époque. Un témoignage pour les générations futures… De nombreux documents et photographies
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Saint-Jean-des-Mauvrets, son histoire en balade
13,00€Découvrir la riche histoire de Saint-Jean-des-Mauvrets
é travers ballades, anciennes cartes postales, anecdotes.Saint-Jean-des-Mauvrets est une petite commune viticole des bords de Loire. Ces nombreux anciens logis témoignent de sa riche histoire, faite de puissantes seigneuries, de grandes figures locales, ou de larges transformations.
D’abord le village, longtemps séparé en deux paroisses (Saint-Jean et Saint-Almand), fut unifié en 1793. Puis son vieux bourg, plus proche de la Loire et du chéteau, fut abandonné pour se rapprocher des grands-hameaux du village et de la rue principale, alors trés commeréante. Enfin, les aménagements du XXe siécle qui ont donné son actuel visage au village.85 photos pour découvrir les édifices, les lieux, les chemins, et les hommes qui ont fait ce petit village ligérien.
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Le Maine-et-Loire dans la Seconde Guerre mondiale 1939-1945
20,00€Durant la Seconde Guerre mondiale, le Maine-et-Loire connaîtra de nombreux événements marquants, que nous ignorons souvent, et que nous pouvons ici redécouvrir…
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Il était une fois les commerces à Longué
25,00€Cet ouvrage retrace en effet l’histoire des commerces de Longué é travers de nombreuses photos témoignant de leur évolution.
On y retouve l’histoire des bétiments, mais aussi des hommes, et d’un monde des commeréants, plein de vie, d’travails, d’aventures, et de passions… -
L’or des Mauges
16,00€Le fascinant héritage de cette époque de la ” Ruée vers l’or ” à l’ouest angevin.
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Beaupréau, Maire et Sous-préfet
18,00€l’auteur nous livre aujourd’hui, avec la liste des maires de Beaupréau, les notices biographiques des sous-préfets de l’arrondissement avec une évocation de leur action.
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Les Korrigans de Perros-Guirrec
11,00€L’action se déroule en Juin 1949 dans la région de Perros-Guirec, sur une pointe rocheuse haute et escarpée, bordée d’éboulis et sapée à sa base par le perpétuel assaut des grandes marées. Un forcené est arrêté dans les ruines du château, tout s’enchaine au rythme de l’enquête policière, des korrigans veillent…
l’ancienne féodalité, la guerre avec ses prisonniers, l’occupation nazie, les moulins é marée, les histoires de cocufiage…L’ambiance est aux cadavres, aux crimes, aux monstres légendaires, mais… “on sait-y ?”