• Aller Simple aux Editions du Petit Pavé

    Aller Simple

    L’homme qui part voyage seul.
    Qu’il monte dans un train ou un avion, ou méme dans un corbillard. Parfois, comme dans une de ces nouvelles, il use de moyens de transport plus étranges. Et il arrive que cela ne soit que virtuel.
    Bien sér, il est des voyages plus tragiques que d’autres. De plus désespérés. Mais humour et fraternité montrent toujours un sourire discret, méme si, chaque fois, l’histoire et la vie s’achévent en méme temps.
    De Léon, pour qui ses amis se sont donné tant de peine, en pleine canicule, jusqu’é Fernand, parti retrouver un amour de jeunesse en récitant des vers de Walt Whitman, on croise dans ces récits aussi bien un ancien cambrioleur qu’un marathonien déchu, un joueur d’orgue de Barbarie qu’un mécanicien, détestant les voitures.
    Dans ces nouvelles, le voyage est toujours un< é aller é vers l'inconnu, vers des réves souvent impossibles ou inachevés. Et il n'est pas toujours nécessaire d'aller loin. Voyager, c'est d'abord partir... Souvent, ici, sans retour. Un aller simple.

    14,00
  • Sur le Caillou

    Sur le Caillou, pérégrinations en Mélanésie

    Plusieurs années se sont écoulées depuis mon séjour sur le Caillou é nom affectueusement donné par ses habitants é la Nouvelle-Calédonie. Aux antipodes de mon quotidien, j’ai pérégriné avec joie dans ce petit coin du Pacifique, réel et imaginaire. Ce n’est pas l’exotisme au sens vulgaire qui a fait de ce séjour une expérience inoubliable, mais le déplacement de mon point de vue et, par conséquent, de mon regard.

    12,00
  • L'autre Mélusine ou L'Aide-mémoire aux Editions du Petit Pavé

    L’autre Mélusine ou L’Aide-mémoire

    Les pérégrinations d’une jeune garçonne à peine sortie de l’adolescence, fort délurée, et de son amant tout neuf, un peu falot. Ils vont vivre leurs amours interdites jusqu’à plus soif et suivre un parcours initiatique dans les pas de la fée Mélusine, C’est un récit à la première personne, plein de vie et de rêves pudiquement coquins, aux fragments d’antisèches disséminés ça et là sur les sentiers de la mémoire.

    15,00
  • Retrouvailles à L'Anse Rouge aux Editions du Petit Pavé

    Retrouvailles à L’Anse Rouge

    Jean-François, un idéaliste meurtri par la vie, en quête de revanche, et Nadine, une battante épanouie, sensible aux « grands sentiments », se sont aimés il y a trente ans. Aujourd’hui, chacun de leur côté, ils cherchent à se retrouver.

    18,00
  • Tout ça pour des clous aux Editions du Petit Pavé

    Tout ça pour des clous

    Il est deux heures du matin. Enzo, quarante ans, héritier d’une travail prospère, quitte Dieppe après un dernier coup d’œil à ses chevaux de course. Quatre heures, Zouber, vingt ans à peine, sort d’une boîte de nuit. Il ôte sa cagoule et range son revolver. Sans le savoir, ils se dirigent vers leur rendez-vous, le timing est parfait. Tout ça pour des clous est l’histoire d’une amitié à prise lente entre deux hommes qui ont en commun une certitude sur leur destin : le soleil ne percera pas. Tout le reste les sépare. Une nuit de novembre, le hasard organise la rencontre sous une pluie battante, leur vie va basculer…

    16,00
  • La Carte postale et autres nouvelles venues d'ailleurs aux Editions du Petit Pavé

    La Carte postale et autres nouvelles venues d’ailleurs

    « Lorsque j’étais enfant, je croyais que certains arbres pouvaient se transformer en croque-mitaines ou que c’étaient des croque-mitaines déguisés en arbres, pour effrayer les enfants. Mais aussi les grands, hantés par les dires d’antan. Tels les épouvantails destinés aux oiseaux qui peuvent aussi bien, de loin, impressionner les humains. »

    De Toulouse à Paris, de l’Anjou à New-York, l’auteur nous invite à voyager dans l’intimité de ses personnages, entre grandes rêveries et petits tracas du quotidien

    Jacqueline Janin signe ici son troisième livre, en forme de lettre, faite de différentes histoires, vécues ou non, anciennes ou plus récentes, empreintes d’imaginaire comme de nostalgie ; de tendresse aussi.

    12,00
  • Quelques jours en Palestine

    Quelques jours en Palestine, novembre 2006 et novembre 2007

    é Voyager forme. Particuliérement la jeunesse, paraét-il. Voyager en Palestine forme énormément.
    Se retrouver tout é coup au beau milieu de l’occupation, des violences, des militaires, de ceux que l’on nomme éterroristesé, du quotidien plus que difficile de ce peuple opprimé, cela forme, certainement, cela bouleverse, cela vous change. Méme si l’on est un trés ancien militant de la cause des Palestiniens. é
    Pascal Pratz

    é Je repense é l’élégance absolue de H., au céur gros comme éa de Y., é la rigueur de B., é tous ces enfants adorables, é tous les sourires, tous ces bras ouverts. A l’indignité politique et morale qui m’animait avant mon départ, j’ai ajouté une dimension émotionnelle. Je militerai maintenant non plus seulement pour faire respecter le droit mais aussi pour sauver des gens que j’aime. é

    15,00
  • Les valises de Sable aux Editions du Petit Pavé

    Les valises de Sable

    Les nouvelles de Jean Billaud sont des petits romans inspirés de ses souvenirs du Maghreb, d’Israël et d’Ouzbékistan, sans véritable thème commun si ce n’est une même intention, celle de montrer un réel fragile, instable, capable à tout instant de basculer dans une situation imprévue.

    C’est alors que l’histoire surgit, quand l’étrange vient bousculer le réel…

    10,00
  • Escale é Mourmansk aux Editions du Petit Pavé

    Escale à Mourmansk

    Les huit nouvelles de ce recueil saisissent ces moments de la vie où le réel dérape, en douceur ou brutalement, vers l’insolite, le tragique ou le fantastique. Huit escales dont le voyageur ne ressort pas indemne sur l’océan de la folie humaine.

    « Il avait de moins en moins le sentiment d’exister, alors il est allé chez le cordonnier. Et au cordonnier, qui en l’occurrence était une cordonnière, il a demandé de poser des fers à ses souliers. »

    « C’était la première fois que je voyais quelqu’un en finir avec la vie. Et rien ni personne n’aurait pu m’empêcher d’agripper ces instants vertigineux où la mort, telle une comète, laisse entrevoir le silence bleuté de l’éternité. »

    « Et puis j’ai serré la main de Papa très fort, très très fort même, car y avait plein de bazar dans ma tête. »

    10,00
  • Parti sans laisser d'adresse aux Editions du Petit Pavé

    Parti sans laisser d’adresse

    Manœuvre, routier, routard puis journaliste, Philippe Gilbert est nouvelliste par goût. Son écriture est musclée, pas virile mais nerveuse, avec une manière de dire forte. Ses histoires, légères mais graves, s’offrent dans un large éventail. Mi- fiction, mi- journal de bord, parfois conte, parfois chapitre inachevé, ou encore forme d’article de presse, ces histoires nous bercent à travers quelques pays et villes qu’il a visités : Yamoussoukro, Anvers, Amsterdam, Moscou… mais aussi en Charente-Maritime et en Vendée, où il vit. Il admire Céline, Bukowsky, Jean Hougron, Dino Buzzati, Henri Callet, Ella Mallard… et Gilbert Prouteau, dont il est un disciple.

    Parti sans laisser d’adresse est son premier recueil et comprend 16 nouvelles.

    14,00