• Promenade en luttes

    Promenade en luttes, version intime, avec classes.

    « Promenade en luttes, version intime, avec classes. » n’est pas un, mais trois romans sous une même couverture. Entre autobiographie, autofiction, fiction et mémoires, ces textes racontent tous la même chose : la persistance, dans l’esprit d’un auteur, de ses vieux combats, de son esprit de contradiction, de ses luttes, passées, présentes, futures, de l’esprit de lutte, du poing toujours levé. très court résumé des histoires En théorie, après la lecture de ces textes, vous devriez en savoir un peu plus sur moi. Vous y apprendrez que je fus un jeune soixante-huitard, l’un des rares restés fidèles aux idéaux de cette époque, que je suis passablement révolté, que je suis un artiste, mais aussi une femme, aveugle, ou bien une femme de la haute, ou bien encore un fils d’industriel assez peu scrupuleux. Vous y apprendrez, finalement, que « je » est un « auteur ».

    20,00
  • Rue du Lutin

    Rue du Lutin, Souvenirs d’enfance dans une rue d’Angers

    Dans les années d’après-guerre, d’Angers à Bruxelles le chemin passait – qui l’eût cru ? – par la rue du Lutin et la rue Victor Hugo ! Rue du Lutin, demeuraient Louise et Alexandre, nos grands-parents. Rue Victor Hugo, se situait l’appartement modeste d’Hortense, notre grande tante. A Bruxelles avait vécu autrefois tante Hortense ; Louise et Alexandre y avaient fait un séjour mémorable. Les petites filles de la campagne que nous étions faisaient leurs délices des lumières de la ville d’Angers, des souvenirs enchantés de Bruxelles. Délices mêlées de mystères et de non-dits, de déchirements familiaux… émerveillements de l’enfance que briseront le temps qui passe, la mort inéluctable des grands-parents, de la grande-tante, la vente de la petite maison de la rue du Lutin… La mémoire et l’imagination font revivre personnages et époque.

    16,00
  • Petites histoires de la plaine vendéenne aux Editions du Petit Pavé

    Petites histoires de la plaine vendéenne

    Les histoires de ce recueil pourraient appartenir à une comédie de mœurs. Elles sont ou complètement inventées ou tirées de petits faits vrais, de paroles entendues, d’anecdotes ou de remarques : autant d’éléments de la chronique minimaliste d’un terroir. Elles s’inscrivent dans un contexte plus ou moins daté, participent d’un folklore : l’alambic, le vin chaud, le patois, les galipotes, les « dormeurs », le préfou, les bouilleurs de cru, etc. ; décrivent des comportements, ruraux et ruralités ; définissent des rapports : à la superstition, à la religion, à l’étranger, à l’étrange…; des caractères, comme la rouerie, la forfanterie ; ou mettent en scène des pratiques comme la plaisanterie, la farce… Les histoires sont éternelles, les hommes en ont besoin et, tant qu’ils vivront, ils voudront agrandir, modifier ou améliorer une réalité insuffisante. Si ces contes se réfèrent à un espace géographique précis, la plaine vendéenne, ils peuvent être « transportés » ailleurs, dans d’autres régions, voire d’autres pays.

    16,00
  • Si loin

    Si loin, si prés

    Si loin, si près de sa jeunesse, des autres, de soi-même… Avec le temps, travailler, vivre, aimer ne devient pas plus facile. A quelle distance se tenir ? En 2009, année de crise, Adèle, Luca, Etienne et Carole se croisent à Angers. Le feu prend au château et dans leurs vies.

    16,00
  • Louise Une femme libre aux Editions du Petit Pavé

    Louise Une femme libre

    Louise, jeune veuve au tempérament de feu, exerce la profession de modiste. Survient la Guerre 39-45. Son frère est tué lors de l’invasion allemande. Attisée par un mental à toute épreuve et sa sensualité à fleur de peau, elle ne tarde pas à rencontrer un bel officier allemand. Son comportement va scandaliser sa famille et la petite ville engoncée dans ses principes. Enceinte, elle s’exile à Paris. Après bien des péripéties, dont son appartenance à un réseau de Résistance, sa présence au pays lors de la Libération lui vaut de sérieux déboires… mais l’arrivée d’un Résistant qui n’est autre que son premier amour, rallume sa joie de vivre. Sa quête du bonheur s’arrêtera-t-elle là … Nenni ! en 1944, la guerre n’est pas finie… Ce roman aux rebondissements multiples est l’histoire d’une jeune femme en avance sur les idées arrêtées et l’intolérance de son époque. Elle se veut libre et heureuse au féminin. Elle va se battre pour tenter d’y parvenir, malgré la violence du contexte historique.

    15,00
  • Dans le sein douillet de ma garenne de Vendée aux Editions du Petit Pavé

    Dans le sein douillet de ma garenne de Vendée

    Une petite lapine est élevée dans une HLM de la région parisienne. Ses propriétaires l’emmènent avec eux en vacances en Vendée. Une nuit, elle s’échappe et fuit dans les garennes où elle va faire des rencontres qui lui feront découvrir les dunes, la faune, la flore… ainsi que la bêtise humaine. Cette histoire est prétexte à raconter les dunes du littoral vendéen qui étaient il y a moins de deux siècles encore un véritable désert de sable, que bouleversait l’éolien à la moindre tempête, obligeant les autochtones à s’exiler pour survivre. Mais, en 1810, Napoléon s’émeut de la situation et ordonne que des essais soient faites pour stabiliser ce sol ingrat en y faisant des plantations. C’est un véritable succès. Cinquante ans plus tard, les gens reprendront possession des lieux, pour y faire des cultures appropriées dans les parties creuses. Pendant ce temps, les plus grosses buttes se recouvriront d’un tapis magique composé de centaines de plantes, faisant de cette garenne, comme l’appellent les indigènes, un véritable jardin d’Eden trop méconnu.

    20,00
  • Une vie pour... Ici et lé-bas

    Une vie pour… Ici et là-bas, solidaire

    En un temps de remise en cause de nombreux acquis des luttes de libération individuelle et collective et alors que les engagements solidaires deviennent toujours plus urgents, le récit de vie d’Alain Desjardin s’impose par sa clarté. Et par sa façon de dire ” je » tout en faisant confiance aux autres. S’y dessine une volonté de quitter la résignation pour émanciper la pensée vers toujours plus d’humanité. Originaire de la Somme, l’auteur y fait, enfant, l’expérience de la Seconde Guerre mondiale et celle d’un travail de damné dans le monde du maraîchage sous l’autorité de son père. Pour y mettre de la distance, il choisit les parachutistes mais le conflit en Algérie et l’expérience coloniale provoquent en lui un vrai séisme. Temps de ruptures décisives et volonté d’une autre vie : Alain Desjardin devient ouvrier, militant syndical et acteur de l’éducation populaire. L’implication nourrit des choix où va primer le collectif : Mai 68, Larzac et Lip, Confédération ruraliténe, Les Verts, Accueil-ruralité (pour un tourisme plus conscient, des échanges dans l’équité), soutien actif aux Sahraouis et au sursaut polynésien contre les diktats nucléaires.  Des combats pour la dignité qui intègrent aussi les valeurs de l’écologie politique. Respect de soi, respect de l’autre : le travail de mémoire, ici, évoque toute une aventure, celle d’un engagement permanent pour la vie. Un parcours jamais raisonneur, surtout pas donneur de leçon, et où se trame de l’espoir.

    25,00
  • Quelques jours en Palestine

    Quelques jours en Palestine, novembre 2006 et novembre 2007

    é Voyager forme. Particuliérement la jeunesse, paraét-il. Voyager en Palestine forme énormément.
    Se retrouver tout é coup au beau milieu de l’occupation, des violences, des militaires, de ceux que l’on nomme éterroristesé, du quotidien plus que difficile de ce peuple opprimé, cela forme, certainement, cela bouleverse, cela vous change. Méme si l’on est un trés ancien militant de la cause des Palestiniens. é
    Pascal Pratz

    é Je repense é l’élégance absolue de H., au céur gros comme éa de Y., é la rigueur de B., é tous ces enfants adorables, é tous les sourires, tous ces bras ouverts. A l’indignité politique et morale qui m’animait avant mon départ, j’ai ajouté une dimension émotionnelle. Je militerai maintenant non plus seulement pour faire respecter le droit mais aussi pour sauver des gens que j’aime. é

    15,00
  • J'irai décrocher la Une aux Editions du Petit Pavé

    J’irai décrocher la Une

    Au printemps 1984, Thierry monte sur Paris pour vivre ses rêves dans la grande presse. Il y rencontre Bérengère, jeune et jolie journaliste au dent aussi longue que le carnet d’adresse de son papa. Au fil des scoops et des manipulations, profitant des courants politiques, il mène une carrière dans la communication. La privatisation de la Une lui permettra de trouver les chemins du succèes. Comme une fable des temps modernes, le suspense du livre permet d’aborder l’actualité du sujet avec humour. Entre fiction et réalité, le lecteur parcourt à la suite des deux jeunes héros, imaginatifs et attachants, les coulisses du monde des média de 1984.

    16,00
  • Après la tempête aux Editions du Petit Pavé

    Après la tempête

    Dans la banlieue parisienne, au cœur des années cinquante, les habitants d’une cour misérable végètent en autarcie. L’irruption d’un jeune couple va changer la donne et redonner du sens à leur vie. C’est autour d’eux, pour ce qu’ils sont, pour ce qu’ils veulent, que les situations les plus inattendues vont surgir. Elles iront jusqu’à mettre en péril leur couple, secoué tant par les exigences de la vie militante que par de troublantes rencontres. Une fresque historique âpre et tendre où l’on croise des communistes, le couple Aragon-Triolet, où l’on s’aime beaucoup, où l’on parle de Staline, mais aussi de poésie, de Budapest, de trahison, de la fraternité des banlieues, enfin de la vie si riche des petites gens… des années 50.

    16,00
  • Je m'appelle Loire aux Editions du Petit Pavé

    Je m’appelle Loire

    Je m’appelle Loire, voilà comment débutait le manuscrit déposé un matin aux bords du fleuve comme une bouteille à la mer, enfin à l’eau. Ecrit à la première personne dans la langue des fleuves, il était signé La Loire. Le fleuve royal y racontait au fil des pages, enfin au fil de l’eau, son histoire angevine, son parcours, ses coups de cœur, et laissait aussi la parole à ses affluents (La Maine, l’Evre, le Thouet, le Layon, l’Aubance, l’Authion). Une œuvre mystérieuse qui arriva entre les mains de trois promeneurs, un fils, un père et un grand-père. Trois générations qui, ensemble, réécrirent et illustrèrent dans notre langue ce manuscrit, le complétant par des encarts ludiques sur la faune, la flore, le patrimoine et même le GR.

    15,00
  • Le bonheur de la petite Emilienne - Dans la maison du bois du Plessis aux Editions du Petit Pavé

    Le bonheur de la petite Emilienne – Dans la maison du bois du Plessis

    L’histoire de l’enfance d’Emilienne Fouquet et de ses parents.

    Ils étaient exploitants ardoisiers à Saint-Georges-Le-Gaultier, dans la Sarthe, au début des années 1880. Emilienne a grandi parmi les fleurs et les ardoises, dans la maison qui regardait depuis vingt-cinq ans la vallée encaissée de la Vaudelle.

    10,00