-
Dans les pas de Guillaume le Conquérant
é Puissants Cénomans illustres
par votre loyauté glorieuse sous les armes.
La ville du Mans,
enragée comme une chienneé éAinsi s’exprimait, pour désigner les Manceaux, selon qu’ils combattaient avec ou contre lui, le plus célébre des conquérants. Cet infatigable guerrier qu’est Guillaume de Normandie conquiert une fois l’Angleterre et la conserve ; il investit également plusieurs fois le Maine, et le perd tout autanté
Patrice Grégoire, dans cet ouvrage, nous propose de découvrir cette aventure normande é l’époque oé le comté du Maine constituait un enjeu d’importance, dans un conflit oé s’affron-taient Angevins et Normands. Aventure qui amena les chevaliers manceaux é combattre aux cétés de Guillaume le Conquérant é Hastingsé -
Dans les pas du Maréchal Leclerc et du Capitaine Dronne
Le 8 aoét 1944, lorsque léarmée de Patton arrive dans la région de Noyen-sur-Sarthe, René Couédel informe les Américains des positions allemandes. En septembre, il séengage dans les troupes FFI, qui viennent grossir les rangs des Franéais Libres et qui combattent en Lorraine et en Alsace. Céest lé, lors des combats autour de Colmar, quéil est gravement blessé au genou.
Céest é cette époque que l’auteur rencontre le Capitaine Dronne, son commandant déunité -
Dans les pas de Pierre Reverdy
Dans le midi d’abord, oé il connut une enfance et une adolescence é la fois heureuses et tourmentées, et oé les lieux parlent encore de lui.
A Paris ensuite, oé d’emblée il entra dans le monde des arts et de la littérature avec, pour compagnons de route, Picasso, Juan Gris, Braque, Apollinaire, Max Jacob, et beaucoup d’autres.
A Solesmes enfin, oé il fit retraite et vécut 34 ans loin du monde, é l’ombre de l’Abbaye. Solesmes oé il repose, dans le petit cimetiére, au céur du village.
Et surtout dans son ?uvre? -
Ces Dames que La Loire a vu passer
Cet ouvrage part débusquer des femmes, là parfois où on les attendait le moins. Elles sont pirates, saintes, muses, guerrières, reines ou princesses, poétesses, bâtisseuses, missionnaires, écrivaines, aviatrices… Certaines prestigieuses, admirées, d’autres méconnues, oubliées. Quel plaisir de les découvrir, de les remettre en lumière, dans leurs diversités, au cours des siècles, au fur et à mesure que se déroule le long ruban du fleuve royal, de sa naissance à son estuaire.
-
Maman-Gorille
” Maman-gorille » est un témoignage dans lequel l’auteur nous conte l’travail généreuse et désintéressée de sauvetage de bébés-gorilles au Congo par son amie d’enfance Yvette Leroy.
-
Dans les pas de FOURCHAFOIN
Fourchafoin c’est le nom de scéne qu’a pris Henri Jubeau. Un personnage théétral qui lentement a pris forme au fil des ans.
A travers les textes de Fourchafoin, textes écrits pour étre dits dans le langage de nos anciens, retrouver les accents des Emile Joulain et autres poétes patoisants, faite revivre la culture patoisante sur scéne ou dans votre coeur.
-
Dans les pas de Fernand TAVANO
Fernand TAVANO (1933-1984), un coureur fasciné par les Ferrari, é l’époque oé les 24 heures se couraient é deux pilotes et non pas é trois comme aujourd’hui.
Chez Fernand Tavano, la recherche de la performance n’a jamais pris le dessus sur la sportivité, sa correction a toujours été exemplaire.
Un livre passionnant qui fourmille de détails non seulement sur ce pilote d’exception mais aussi sur les courses, les voitures, photos é l’appui.
Remerciements chaleureux é sa femme, Madame Daniéle Tavano qui a permis la publication de ce livre souvenir.
-
Dans les pas de Jean Moulin
Exact, concis, accessible é tous, l’ouvrage de Jean Luneau remet les choses en place et débarrasse la figure héroéque de Moulin du fatras partisan ou rocambolesque dont certains ont voulu l’affubler. Certes l’auteur ne prétend pas é l’exhaustivité. Il s’en tient é l’essentiel. Avec talent, il évite néanmoins l’écueil du schématisme. Son Jean Moulin n’est pas un homme de fer ou de marbre, mais un étre de chair et de sang, en proie aux passions communes é l’humanité, auquel s’applique admirablement la fameuse phrase de Sartre :
“Tout un homme, fait de tous les hommes et qui les vaut tous et que vaut n’importe qui.”
(extrait de la préface de Gilles Perrault)
-
Dans les pas du Ponts-de-Céais Victor Dauphin
Hommage à ce journaliste de talent, membre de l’Académie d’Angers. L’an 2000 correspond au 40ème anniversaire de sa mort. Aéropostier avant 1914, infirmier et médecin auxiliaire pendant la guerre 14-18, Victor Dauphin encouragea le sport en Maine-et-Loire dans la première moitié du 20ème, avec un vif intérêt pour le cyclisme. Esprit curieux, éclectique, ses recherches multiples ont exploré le patrimoine provincial, inventorié les activités de jadis et étudié les divers aspects corporatifs d’autrefois, en particulier comme coauteur de “Imprimeurs et libraires de l’Anjou” avec son camarade de Mongazon, le chanoine Pasquier.
-
Dans les pas de Louis Aragon… J’ai vu !
….C’est é travers l’éuvre qu’elle dactylographiait, é travers les événements politiques et historiques de l’époque, é travers le regard d’Elsa Triolet, que Lucie Eon nous conte avec nostalgie, d’un regard de l’intérieur, presque intime, l’homme qui a marqué le XXe siécle de sa plume et de sa personnalité.
Voir un article sur le Livre :
[url]http://www.humanite.fr/journal/2000-09-05/2000-09-05-230850[/url] -
Dans les pas de Dumnacus
Nous sommes en 51 avant Jésus Christ. Aprés la défaite de Vercingétorix é Alesia, toute la Gaule est occupée par les Romains… Toute ? Non ! Un irréductible Gaulois résiste encore et toujours é l’envahisseur.
Il ne s’agit pas ici d’Astérix, géniale création d’un scénariste et de son dessinateur, mais bel et bien d’un héros fait de chair et de sang : Dumnacus. Chef des Andes (nom de la tribu gauloise habitante alors la future province angevine).Dumnacus fut l’un des derniers chefs gaulois é résister é Jules César, qui nous transmet dans sa é Guerre des Gaules é un témoignage précieux sur ce chef brave et charismatique. En Anjou, la mémoire de Dumnacus court toujours. Oublié pendant quelques siécle, sa légende résucite au XIXe siécle avec de nombreux hommages, comme son imposante statue érigée sur le pont aux Ponts-dé-Cé.
L’histoire de Dumnacus est mal connus, souvent plus proche de la légende que des faits historiques. Différentes hypothéses, fables et autres traditions sont ici regoupés pour former une seule légende, suivie de l’extrait complet de la seule source écrite sur Dumancus par Jules César, et des commentaires de Napoléon Ier. En fin l’ouvrage se termine par une bibliographie compléte des textes et essais sur Dumnacus.