• A l’ombre de rumeurs

    Nous sommes au printemps 1988, après trois années de brouille, Isabelle revient chez ses parents viticulteurs en Anjou.
    Son départ brutal à Paris, moins d’un mois avant son mariage, a laissé son entourage sans aucune explication. Ce retour au pays ravive de vieilles histoires de famille, des rumeurs qui courent encore dans le village, concernant l’arrestation d’un jeune Résistant pendant la guerre. C’est ainsi l’occasion pour une jeune génération d’approcher la période trouble de l’Occupation.

    En toile de fond, nous découvrons également l’actualité de la fin des années 80 et les passions qui animent les personnages, notamment Isabelle qui ne peut s’empêcher de s’étonner que,
    sans les moments dramatiques qu’elle a traversés, elle n’aurait jamais croisé le chemin de Marc.

    24,00
  • Algérie

    Algérie, tu te souviens…

    En première partie : L’enfance et la jeunesse de Valentin à Oran, sa famille, ses amis, ses amours, son implication lors de l’arrivée des Américains au Maghreb et le débarquement de 1944 en Provence.

    En deuxième partie : son séjour en Indochine et son retour à Oran en pleine guerre d’Algérie, dramaturgie fratricide qu’il vit en miroir au sein de sa propre famille.

    20,00
  • Paris Humilié - 1940-1941 - aux Editions du Petit Pavé

    Paris Humilié – 1940-1941 –

    Les images de Paris en 1940-1941 sont trompeuses. Plusieurs photographes ont été sélectionnés par les autorités d’occupation afin de présenter une ville apaisée et calme. Hors cette ” accréditation » il est interdit de prendre des photos à l’extérieur des habitations… Et d’ailleurs, le matériel nécessaire à la prise de vue est strictement contrôlé par la Propaganda Abteilung directement rattachée à Joseph Goebbels. Les photographies de ce livre ont été prises clandestinement par un inconnu, disparu et probablement déporté en 1941. Elles ont été sauvées par son amie qui a rédigé, sur-le-champ, des commentaires politiques au dos de chacune d’elles en indiquant lieu, date et heure de la prise de vue.

    15,00
  • Les fusillés de Belle-Beille aux Editions du Petit Pavé

    Les fusillés de Belle-Beille

    Entre le 21 février 1942 et le 7 juin 1944, 46 résistants furent fusillés au champ de tir de Belle-Beille à Angers. Le plus jeune avait 19 ans, le plus âgé 67. Ils étaient étudiants, instituteurs, ouvriers, cultivateurs. Leur point commun : le refus du joug nazi et de la dictature de Vichy. Cet engagement, ils le payèrent de leur vie.

    Trois élèves du lycée Saint-Martin d’Angers ont décidé, dans le cadre du Concours National de la Résistance et de la Déportation, de rechercher derrière les noms des fusillés, leurs vies, leurs parcours, leurs engagements qui se sont arrêtés au champ de tir de Belle-Beille.

    25,00
  • Mulsanne - Parcours pour mémoire aux Editions du Petit Pavé

    Mulsanne – Parcours pour mémoire

    Le camp de Mulsanne, dans la Sarthe, est révélateur de l’évolution des contextes historiques entre 1939 et 1948. Il a été utilisé à différents usages par les Anglais, les Allemands et les Français. Les aménagements du camp, dont l’empreinte historique est décelable encore de nos jours sur le site, dans les archives et dans la Mémoire collective, sont au cœur de ce devoir de mémoire et de transmission.

    14,00
  • Dire Auschwitz aux Editions du Petit Pavé

    Dire Auschwitz

    Notre survie était provisoire. Notre extermination était planifiée, programmée. Nous avions la certitude d’être des témoins gênants (Henri Borlant).
    Le témoin est celui qui sait pour avoir vu. Henri Borlant a fait de son regard, non pas un métier, mais une activité dont l’essence fut la promesse faite à ceux qui ne sont pas revenus : Tu leur diras.  Henri Borlant est un homme de parole. Il tient parole.
    Mais comment dire ? Avec quels mots ? des mots qu’il faut savoir adapter à des auditoires différents.
    Les mots d’Henri Borlant renferment des vies.
    Témoigner c’est enquêter sur les mots.
    Evoquer la Shoah c’est d’abord renoncer aux synonymes.

    14,00
  • Demeure l'absent aux Editions du Petit Pavé

    Demeure l’absent

    En 1945, Joseph n’est pas revenu. Demeure l’absent témoigne de lui, de son absence, et de tous ceux qui ont voulu le retrouver. Ils ne l’ont pas oublié.

    « Chaque fois que j’ouvre cette boîte, je suis prise du même découragement. Les lettres semblent ne jamais pouvoir être classées pour former un récit cohérent. Certaines ne sont pas datées. Parfois le tampon de la Poste s’est effacé. Certaines enveloppes sont vides et certaines lettres sont sans enveloppe. Les mots s’effacent, écrits à la mine. Le papier est piqué par endroits, tellement usé que des trous apparaissent dans le texte. Des passages ont été censurés. Il est impossible de
    deviner ce qui est écrit sous le crayon noir, même en transparence. »

    14,00
  • J'étais sûr que tu me trouverais aux Editions du Petit Pavé

    J’étais sûr que tu me trouverais

    Juin 40 : l’heure cruciale, celle du choix – Pétain ou de Gaulle ? Sans aucune concertation, les deux premiers se retrouvent à Londres. Ils vont participer aux grandes heures de l’aviation de la France Libre.

    L’un accompagne Leclerc dans sa folle reconquête de l’Afrique Française – il apprivoise le plus grand désert du monde. L’autre se distingue dans la bataille d’Angleterre puis participe à la folle aventure de l’escadrille « Normandie » (qui deviendra « Normandie-
    Niemen »). Ils sont tous les deux nommés Compagnons de la Libération.

    La mère et les plus jeunes se lancent à corps perdu dans le Résistance. Ils vont tous les trois expérimenter les geôles nazies. L’un d’entre eux va connaître le presque mythique camp d’internement d’Eysses, avant d’être déporté à Dachau puis à Mauthausen.

    Sacrée famille ! Exceptionnelle famille. L’héroïsme chevillé au corps mais sans arrogance ni prétention. Humble, simple, naturel…

    22,00
  • Denée ou la mémoire des lieux aux Editions du Petit Pavé

    Denée ou la mémoire des lieux

    La vraie passion de Louis est l’écriture. Une passion qui prend forme dans ces pages où une promenade denéenne est l’occasion pour lui de laisser jeminer ses pensées au-delà du temps et des sentiers battus.

    20,00
  • 1943 - Des moutons et des loups aux Editions du Petit Pavé

    1943 – Des moutons et des loups

    Duchemin, employé modèle des chemins de fer français en 1943, se conduira-t-il en salaud, quand malgré lui il sera impliqué dans une opération de Résistance ?

    Son pire ennemi depuis l’école, le “chouchou” de ces dames, Jacques Colin, aura-t-il lui le cran d’un héros ?

    Amédée, le maire du village, parlera-t-il sous la torture ?

    Lucette, sa fille au bec de lièvre, choisira-t-elle entre les deux hommes qui se partagent son cœur ?

    Et Lise, la petite juive, sortira-t-elle indemne des mains de la Gestapo ?

    16,00
  • Mémoires des combats d'un écrivain-historien aux Editions du Petit Pavé

    Mémoires des combats d’un écrivain-historien

    Dans la première partie de cette œuvre, l’auteur raconte son enfance dans le Haut-Anjou pendant la guerre, son parcours d’ouvrier à ingénieur lors de la reconstruction de la France, ses débuts en littérature avec Les prolos, et surtout l’immense succès de Rouget le braconnier, drame authentique qui inspira V. Hugo pour Les Misérables.
    Ayant vécu, enfant, les massives fusillades d’otages, dont à Châteaubriant celle de Guy Môquet et d’autres à Nantes et à Bordeaux, sa réussite en littérature l’a incité à des recherches sur ces drames, initiative agréée par les autorités allemandes qui publièrent ses travaux en 1990, dans un livre bilingue.
    A partir de là, le Chancelier de l’Ordre de la Libération lui demanda en 1991 de lui remettre un dossier plus complet sur ces événements. C’est le début de la deuxième partie de l’œuvre où Louis Oury révèle les adversités qu’il dut surmonter, que ce soient les menaces de mort reçues par Gilbert Brustlein qui avait exécuté le Feldkommandant de Nantes et les trois tentatives d’assassinat de sa personne. Mais aidé d’Alain Besson qui publiait dans Ouest-France le suivi de ses travaux et leur officialisation, il brisa le black-out protégeant des fictions politiques et des réputations personnelles.
    On apprend les tractations du choix des otages par des vichystes, les exagérations et infamies propagées pendant un demi-siècle pour salir la Résistance, les turpitudes incitant Gilbert Brustlein à frapper le leader communiste Georges Marchais à Châteaubriant, la réhabilitation par le PCF de Spartaco Guisco exécuté en 1942 mais dont le corps avait été exhumé du Carré des Fusillés pour insinuer qu’il s’était planqué en Espagne à la Libération, et pour finir on se remémorera l’historique poignée de main réconciliatrice de Michel Jost, président de l’association des familles d’otages, au Résistant communiste Gilbert Brustlein qui avait exécuté à Nantes l’officier ennemi.

    24,00
  • Mauricette

    Mauricette, l’insoumise de la poche de Saint-Nazaire

    Jamais Mauricette ne se serait crue capable d’héroïsme. La guerre de 1939-45 la révèle à elle-même. Dans sa presqu’île guérandaise occupée, elle se découvre résistante. Vient le temps de la Poche de Saint-Nazaire – août 44 – mai 45. La France est libérée, sauf quelques forteresses (Festung, en allemand) où les occupants s’incrustent. C’est le cas de Saint-Nazaire et de ses environs (dont la presqu’île guérandaise). Neuf longs mois très difficiles. On est coupé du monde. Tout manque. L’occupant, lui-même « empoché», devient plus agressif. C’est dans ce contexte extrême que Mauricette, plus Résistante que jamais, rencontre un officier allemand très différent des autres…

    22,00