Description
Louis Thareaut retrace son enfance à Denée, les guerres que l’on raconte au bistrot, l’église, le patronage, le jeu de boules (de fort , évidemment !), le facteur communiste, le couple d’instits de la la laïque, l’école “d’en face” car le jeune Louis, comme les trois quarts des petits Denéens, fréquente “l’école du bon Dieu”… le peintre Jean Commère, les pélerinages à behuard, l’abbé Robert, l’arrivée des Allemands le 22 juin 1940, des Américains le 2 septembre 1944. Dans la foulée, un peu plus tard, les élections…