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De l’extérieur, la cité n’est pas très attrayante. Elle peut même transpirer l’hostilité, aidée en cela par de nombreux faits divers qui alimentent toutes sortes de fantasmes et de clichés. Pourtant, de l’intérieur, tout change et tout devient même parfois absolument commun à n’importe quel lieu, pour ne pas dire tout à fait ordinaire.
Alors que des familles entières projettent d’en partir pour trouver ailleurs un environnement plus paisible, d’autres au contraire y sont viscéralement attachés et n’imaginent pas un jour devoir en partir…
Pour certains encore, comme Solange et Louis, le médecin ou les Prêtres-Ouvriers des années soixante, Verneau sera le départ (et la fin) d’un militantisme sans faille.
Voilà ce que Jean-Bernard Olive, qui a grandi dans cette cité, vous fera découvrir à travers une histoire tirée de faits réels au cœur de la cité Verneau, comme si vous y étiez.
20,00 €
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On croit à une guerre rapidement victorieuse. Après les désillusions de l’été 1914, Angers s’installe peu à peu dans la perspective d’une guerre longue. Le sentiment du devoir patriotique, l’espoir sans cesse renouvelé d’une victoire militaire, la certitude de défendre le droit et la liberté font accepter les sacrifices humains et matériels : la liste des victimes s’allonge, le pain et le charbon se font rares et leur prix augmente. Mais si l’on excepte la courte dépression de l’été 1917, née de la conjonction des mauvaises nouvelles du front (échec sanglant de l’offensive Nivelle) et des problèmes de ravitaillement, le moral angevin se maintient, soutenu par une administration omniprésente et habile.
Il fallut aussi, nécessaire solidarité en général bien admise, accueillir à Angers des milliers de réfugiés, internés et soldats ; à cette occasion, les Angevins ont souvent fait, étonnés ou agacés, la découverte de la différence. Finalement, Angers offre pendant le conflit l’image d’une société stable, bien intégrée dans l’ensemble national, où la République a soigné et renforcé son image.
25,00 €
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Le lieu, Durtal, dont le lecteur peut reconnaître l’usage de certaines coutumes spécifiques à l’Anjou : le jeu des boules de fort, les bals sous » chaumières », les superstitions, le vin en chopines ou » fillettes »…
L’amour et la nostalgie pour ces années cinquante, avec le Loir et la campagne angevine qui en font un lieu à nul autre pareil…
L’auteur, René Pelletier, s’est servi de sa propre vie, de celle de ses parents à Durtal et de ses propres souvenirs pour écrire ce roman qui est aussi un peu son histoire.
20,00 €
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Retrouvez des textes et questions sur les mustères et les trésors de l’Anjou.
6,00 €
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Marie, Pascaline, Jeannette, Yvonne, Anne-Marie, Simone : des prénoms si doux de petites filles… Pierre est fasciné par elles. Obsédé par elles. Le satyre sévira plusieurs années durant.
Dans ce roman palpitant, Viviane Janouin-Benanti nous entraîne dans une affaire criminelle inouïe qui s’est déroulée à Angers et dans sa région.
Mémoire vive du monde du crime, la romancière sélectionne des affaires criminelles incroyables qu’elle nous fait revivre avec brio.
20,00 €
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Aux XIVe et XVe siècles sous l’Isle Bouchard, Doué-la-Fontaine s’agrandit, sous l’impulsion de Saint Maurice d’Angers, Douces également. La Chapelle et Soulanger, eux, sont enclavés entre les domaines de Doué et de Douces.
Le lecteur trouvera dans ce livre l’histoire de ces lieux, des quartiers, des maisons et bien sûr des caves qu’il pourra découvrir à l’occasion de flâneries dans cette belle commune.
Le lecteur sentira le poids de la Guerre de Cent Ans sur les hommes de Doué, qui, dans le même temps, n’ont cessé de construire, de travailler la terre, de faire évoluer leur commune.
Cet ouvrage leur est consacré et leur rend hommage.
23,00 €
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« Le général Patton se méfiait beaucoup d’une petite ville au sud d’Angers avec ses quatre ponts : Les Ponts-de-Cé. Pendant la guerre, il y avait plusieurs centaines d’hommes et d’officiers allemands entre Mûrs-Erigné et les Ponts-de-Cé. Après le débarquement des Alliés en Normandie, ont eu lieu d’intenses bombardements dans cette zone, entre le 28 mai, la nuit de la Pentecôte, et le 30 août. A un moment, la zone fut coupée en deux : la partie nord était sous le contrôle allemand. Angers a été libérée le 10 août, mais Patton ne s’intéressait qu’à la rive droite, et aux Ponts-de-Cé les Américains ne franchissaient pas la Loire et ne poursuivaient pas les Allemands en direction de Mûrs-Erigné….
20,00 €
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La forêt de Chandelais est un symbole dans ce pays baugeois de bois et de forêts. Forêt royale pendant l’Ancien Régime, domaniale depuis la Révolution. Son histoire est celle des forestiers qui y ont travaillé au cours des siècles : sabotiers, scieurs de long, tonneliers, fendeurs…
A travers archives, documents, photos d’époque, témoignage, Jean-Claude Colinet propose la première histoire de ce site si particulier en Anjou.
15,00 €
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L’association CEPAJE désirant sauvegarder ce travail a décidé de rassembler en un volume tous les textes des bulletins parus. Elle y a ajouté les références des articles consultés, ainsi que de nombreux compléments sur l’histoire du village et de sa région, présentant ainsi la première monographie de Juigné sur Loire, très richement illustrée.
25,00 €
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Le XVe siècle en Anjou trouve encore écho de nos jours dans la mémoire collective. Qui ne connaît pas ces grands personnages : le roi René, Jeanne de Laval, Yolande d’Aragon ?
Au centre de l’Histoire de France, l’Anjou est alors partie prenante de la Guerre de Cent Ans, qui cesse en 1453. De grands hommes et femmes d’Anjou vont participer à la Résistance face aux Français, comme Yolande d’Aragon, puis à la libération de la France auprès de Jeanne d’Arc (Gilles de Rais, Pierre de Brézé, ou René d’Anjou).
La guerre terminée, le pays se reconstruit peu à peu, et la renaissance angevine, menée par celui qu’on appellera le Bon Roi René, offre un nouveau dynamisme à la région.
15,00 €
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Deux cents ans après sa naissance, Rouget le braconnier est devenu un mythe, dépassant le simple fait divers régional. En 1882, Ferdinand-Jacques Hervé-Bazin publie en feuilleton dans Le Petit Angevin « Rouget ou le braconnier d’Anjou », inscrivant ainsi son histoire dans l’esprit des grands romans du XIXè siècle.
Au fil des décennies, l’histoire de Rouget le braconnier se transmet de génération en génération, et inspire plusieurs auteurs (Dominique Lambert, Jules Davy, Louis Oury…) ou cinéaste (Gilles Cousin). Dans son village natal, il revit depuis 1971 par la pièce de théâtre écrite par Jules-Alphonse Davy en 1970, et jouée tous les ans à Daumeray devant une salle comble en hommage à la mémoire de ce mythe populaire angevin.
22,00 €
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On y retrouve également l’histoire des Seigneurs d’Ingrandes et des différentes « Maisons » qui ont régné sur ce territoire, l’histoire des différents bâtiments (Château féodal détruit pendant la Guerre de Cent Ans, Eglises, Greniers à Sel, Bureau des Traites, Corps de Garde des Gabelous, Tribunal de la Gabelle et Prisons, Cimetières, Presbytères, Prieuré, Halles, Port et Verrerie Royale…), aboutissant ainsi à révéler une topographie aujourd’hui oubliée, et laissant deviner derrière les lieux et les vieilles pierres, la vie des habitants.
25,00 €