• La catastrophe des Ponts-de-Cé - Un train dans la Loire - 4 août 1907 aux Editions du Petit Pavé

    La catastrophe des Ponts-de-Cé – Un train dans la Loire – 4 août 1907

    Un dimanche du mois d’août 1907, c’est la ” Belle époque », de nombreux habitants d’Angers et des environs, pour beaucoup en famille, se pressent à la gare Saint-Laud. Ils prennent le train qui, pensent-ils, les conduira sur les bords de la Loire afin de profiter du repos de cette belle journée estivale. Leur voyage se terminera brusquement et dramatiquement par la rupture d’un pont et la chute d’une partie du convoi dans la Loire, aux Ponts-de-Cé. Que s’est-il passé ? Un acte de malveillance ? Le train a-t-il déraillé à l’entrée du pont ? La vétusté de la voie, aggravée par la vitesse excessive, a-t-elle causé cette catastrophe ? Grace à des documents d’archives, des témoignages, d’articles de la Presse de l’époque, de nombreuses photographies, ce livre retrace l’histoire de ce drame qui secoua toute une région et qui marqua durablement sa mémoire collective. 65 illustrations Témoignages, articles de presse, anecdotes

    12,00
  • Crime en bord de Loire aux Editions du Petit Pavé

    Crime en bord de Loire

    Cette enquête du lieutenant Martin, dans un village d’Anjou, fruit de l’imagination de l’auteur, nous invite à une promenade en bord de Loire sous fond d’intrigue policière où se mêlent parties de boules de fort et belotes bridgées.

    18,00
  • Rue du Lutin

    Rue du Lutin, Souvenirs d’enfance dans une rue d’Angers

    Dans les années d’après-guerre, d’Angers à Bruxelles le chemin passait – qui l’eût cru ? – par la rue du Lutin et la rue Victor Hugo ! Rue du Lutin, demeuraient Louise et Alexandre, nos grands-parents. Rue Victor Hugo, se situait l’appartement modeste d’Hortense, notre grande tante. A Bruxelles avait vécu autrefois tante Hortense ; Louise et Alexandre y avaient fait un séjour mémorable. Les petites filles de la campagne que nous étions faisaient leurs délices des lumières de la ville d’Angers, des souvenirs enchantés de Bruxelles. Délices mêlées de mystères et de non-dits, de déchirements familiaux… émerveillements de l’enfance que briseront le temps qui passe, la mort inéluctable des grands-parents, de la grande-tante, la vente de la petite maison de la rue du Lutin… La mémoire et l’imagination font revivre personnages et époque.

    16,00
  • Les jumeaux Arthur et Yoann

    Les jumeaux Arthur et Yoann, le fantôme de Brissac

    Yoann et Arthur les jumeaux rêveurs dans une aventure fantastique en Anjou. Yoann et Arthur sont deux frères jumeaux vivant à Paris. Pour les vacances, leurs parents ont loués une belle demeure en Anjou, sur les bords de l’Aubance. Pour ces deux rêveurs de souterrains secrets, de dragons magiques, de chevaliers, c’est le top ! Et ça fait des souvenirs quand un jeune fantôme devient votre ami et vous confie une mission de confiance, vous conduisant à mener l’aventure dans les rues de Brissac, surtout lorsqu’on devient peu à peu invisible…

    10,00
  • Les ailes de Grézillé... Au fil de l'Histoire aux Editions du Petit Pavé

    Les ailes de Grézillé… Au fil de l’Histoire

    Grézillé est une petite commune angevine dont la population dépasse é peine les 400 habitants mais dont l’histoire et le territoire réservent nombre de richesses et de curiosités.
    Situé sur la rive gauche de la Loire, é l’Ouest du plateau Saumurois, Grézillé fait partie de l’Anjou Blanche, reconnaissable é ses maisons de tuffeau et é ses toits d’ardoises. Avec une surface de 1762 hectares, dont 600 hectares de bois et de landes, la commune, bordée par la riviére de l’Aubance, fait partie du massif forestier de Milly.

    I. Richer, historien local, nous livre dans son second ouvrage quelques anecdotes, histoires, et curiosités de ce petit village angevin. A travers archives et photographies, nous découvrons la vie quotidienne du village depuis du XVIIIe au XXe siécle ; la géographie de la commune, se baladant entre lieux-dits et lieux de culte ; ainsi que le riche patrimoine béti de Grézillé, avec les troglodytes, le chéteau d’Alligny, et le fameux chéteau de Pimpéan ; mais aussi l’une de ses fierté, les moulins é vents qui occupaient autrefois le village et dont le souvenir persiste aujourd’hui gréce aux derniéres ailes de Grézillé : les moulins Rondard, Gasté, Tracas, ou de la Fosse…

    16,00
  • Les gants de velours -  Une enfance en Anjou pendant l'Occupation aux Editions du Petit Pavé

    Les gants de velours – Une enfance en Anjou pendant l’Occupation

    La campagne angevine pendant la Guerre de 1940-1945, avec ses privations et sa débrouillardise. Une enfant de quatre à six ans découvre ses sensations et le monde incompréhensible des adultes. Tandis que le sadisme et la violence se déchaînent au loin, dans ce huis clos de la famille le mal se fait insidieux sous des aspects bucoliques et trouble l’âme de l’enfant.

    20,00
  • Etriché d'hier et d'aujourd'hui aux Editions du Petit Pavé

    Etriché d’hier et d’aujourd’hui

    Etriché est l’une des ces petites communes du Nord Anjou, dont le charme se découvre dans léaccueil chaleureux des habitants, les souvenirs d’autrefois, ou la mémoire des pierres et des sentiers.

    Ce livre néest pas une éuvre littéraire, il n’est pas écrit par des écrivains ou des personnes célébres, mais par des personnes volontaires qui ont traduit les valeurs rurales et profondes de leur village. Il trouve son origine dans léexposition é Etriché autrefois, Etriché aujourdéhui é, réalisée é léoccasion des voeux 2009.
    Mais léouvrage a été complété de multiples documents, récits, témoignages, actualités, permettant ainsi d’aborder l’histoire et le patrimoine d’Etriché depuis le XIXe siécle, la vie quotidienne des habitant au XXe siécle, mais aussi de présenter la commune d’aujourd’hui en ce début de XXIe siécle.
    Un livre conéu collectivement, qui permettra aux uns d’évoquer certains souvenirs, aux autres de retrouver les trésors patrimoniaux de la commune ou pour d’autres encore, nouveaux arrivants ou jeunes Etrichéens, l’envie de connaétre leur village.

    19,00
  • Femmes d'Anjou

    Femmes d’Anjou, sortez de l’ombre

    FEMMES D’ANJOU, SORTEZ DE L’OMBRE du Moyen Âge à nos jours Venez découvrir dans ces quelques lignes des femmes angevines qui ont marqué leur époque dans les arts, la littérature, la vie politique, la résistance, la vie culturelle, religieuse, ou tout simplement la vie de tous les jours. Au fil de votre lecture, vous croiserez Aliénor d’Aquitaine, La Mathie, qui reçut Henri IV dans son jeu de paume du Pélican, ou encore La Belle Angevine, dont le mariage a été entériné par le Pape !!! Charlotte Blouin à laquelle de nombreux malentendants sont toujours reconnaissants. Des femmes qui se sont illustrées pendant les Guerres de Vendée, des Résistantes de la Guerre 1939-1945 comme Marie Talet, ou au siècle dernier, des femmes célèbres dans la vie artistique comme Gaby Morlay… la vie politique comme Ginette Leroux, première femme députée en Anjou ! et combien d’autres qui n’ont jamais renoncé à aller jusqu’au bout de leurs engagements. Quelques noms de femmes d’exception, glanés ici et là, ont contribué à faire connaître en leur temps ce beau pays d’Anjou. 240 biographies de Femmes d’Anjou, Plus de 250 illustrations et encadrés

    29,00
  • Saint-Pierre en Vaux - chronique de Maurice Maillard aux Editions du Petit Pavé

    Saint-Pierre en Vaux – chronique de Maurice Maillard

    Saint-Pierre en Vaux est un ancien petit village angevin dépendant de Saint-Georges des Sept Voies. Encore aujourd’hui Saint-Pierre reste connu pour les particularités de son habitat, troglodyte et maison en tuffeau, et pour le dynamisme de ses habitants.
    L’association é L’Anjou au Céur é nous dévoile les mémoires de Maurice Maillard, ainsi que de courtes présentations des villages de Saint-Georges et de Saint-Pierre en Vaux, permettant de découvrir les originalités et richesses de ces lieux.
    Les mémoires de Maurice Maillard nous ouvrent aussi les portes du temps, en témoignant, dans un langage simple de la campagne angevine, de la vie quotidienne de Saint-Pierre tout au long du XXe siécle. Une vie difficile, pleine d’injustices pour cet homme de céur. Maurice Maillard nous livre aussi ses humeurs sur l’évolution de la société, et ce qu’elle est devenue é l’aube de sa mort en 2008.
    Présentation et chroniques illustrées de dessins et de peintures de Raubert Baudin, un habitant créatif de Saint-Pierre en Vaux.

    15,00
  • Les Châteauneuf : beaux villages et belles villes de France aux Editions du Petit Pavé

    Les Châteauneuf : beaux villages et belles villes de France

    Trente-deux communes portent le nom de Chéteauneuf en France, placées en écharpe sur la carte de France, de la Bretagne au comté de Nice.
    Créées peu aprés l’an 1000 prés de lieux déjé habités de longue date (préhistoriques, gallo-romains, carolingiensé) dans un but défensif, elles occupent des sites adaptés é cette fonction et toujours remarquables : proximité de la mer, haute montagne, bords de fleuves ou de riviéres, éminences, promontoires, défilésé Souvent siéges de seigneuries et riches de leur histoire au cours du second millénaire, elles sont dotées d’un patrimoine digne d’intérét. C’est l’histoire de l’ensemble de ces communes que vous raconte ce livre.

    Mais il n’oublie pas les Neufchéteau et Neufchétel du nord et de l’est, ni les Castelnau et Castelnou du sud-ouest, ni les Newcastle, Castelnuovo, Neuburg, Shinshiroé de l’étranger, traités cependant plus succinctement.

    Préfacé par Nicolas Chateauneuf, grand reporter é France2, réalisé avec la collaboration de l’ensemble des municipalités, abondamment illustré, il est le second livre de l’auteur qui a déjé publié en 2005 é Les seigneurs de Chéteauneuf-sur-Sarthe en Anjou é.
    Sa lecture vous permettra de découvrir ces beaux villages et ces belles villes de France et vous incitera certainement é y faire une halte au gré de vos pérégrinations dans le pays.

    28,00
  • L'Anjou. Loire

    L’Anjou. Loire, Aubance, Layon

    L’Anjou est une région riche par son Histoire, ses hommes et ses paysages. Depuis les premiers peuplements humains, marqués dans la région par de nombreux dolmens, menhirs ou poteries, l’Anjou a su construire et développer un paysage varié, entre beauté naturelle et ingéniosité de l’Homme. Entre la Loire, fleuve majestueux et sauvage, l’Aubance et le Layon, rivières paisibles et viticoles, nous découvrons ainsi un incroyable patrimoine. A travers dessins et aquarelles, Henri Oillic nous promène dans l’Histoire et les paysages de l’Anjou. Manoirs, églises, châteaux forts, moulins, troglodytes, vignobles, rien ici n’est oublié, et le lecteur parcourt ces pages, comme un randonneur les chemins de l’Anjou, entre Loire, Aubance, Layon. Des doux villages des bords de Loire, aux somptueux châteaux du Saumurois, en passant par les panoramas des coteaux du Layon, nous voyageons avec plaisir dans la douceur angevine. 7 thèmes angevins abordés (Châteaux, églises, troglodytes, moulins, vignobles…) Plus de 160 dessins et aquarelles

    23,00
  • Le château du Plessis Macé aux Editions du Petit Pavé

    Le château du Plessis Macé

    Daniel Langlois-Berthelot est le fils du dernier propriétaire privé du Plessis-Macé, qui hérita du chéteau de Charles-Victor et Camille Langlois. L’auteur, qui y a donc vécu, entretient avec le chéteau du Plessis-Macé une relation particuliére. Ils nous livre ici ses souvenirs, et les résultats de ses recherches sur ce chéteau, aujourd’hui l’un des plus reconnus de la région angevine.

    Du XIe siécle au XXe siécle, l’histoire de ce lieu nous est contée. Aux origines, un chéteau é motte, appelé é Plessis é, et dont les premiers seigneurs furent Rainaud du Plessis et son fils Macé (ou Matthieu). Durant plusieurs siécles, le domaine restera dans la famille, mais son état se dégradera. Au XVe siécle, Louis de Beaumont devient propriétaire et remet en état le monument.
    Le chéteau devient un lieu agréable et reconnu, recevant é plusieurs reprises les rois de France (Louis XI, Charles VIII, Franéois Ier, Henri IV). Au XVIIIe siécle, Franéois Walsh, comte d’origine Irlandaise, achéte la propriété qui restera dans la famille jusqu’au XIXe siécle, sans étre jamais habitée. En 1868, la comtesse Walsh s’installe au chéteau et entame de grands travaux de restauration.

    Au début du XXe siécle, l’intérét patrimonial du chéteau est reconnu, mais il reste en mauvais état. De 1908 é 1967, la famille Langlois, sur deux générations, va travailler é la restauration du monument. Soucieux de l’avenir de ce lieu, Philippe Langlois donne le chéteau au Conseil Général.
    Le lieu connaét alors une nouvelle vie, une restauration plus pragmatique, un lieu de réception, de visite, et surtout l’une des plus belles scénes du fameux festival d’Anjou.

    23,00