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Le Pont des chutes
18,00 €En acceptant un intérim de commissaire principal à Constantine, Réquéna n’imagine pas qu’il va être confronté à l’enquête la plus étrange de sa carrière.
Quel lien peut-il exister entre un suicide au » pont des chutes » et un mystérieux décès par empoisonnement à l’hôpital ? C’est ce que le commissaire va s’efforcer d’établir, non sans peine ni surprises.
Son enquête le mènera de pont en pont, de vertige en vertige, à la découverte de Constantine… et de la vérité.A l’occasion de cette fantaisie policière, l’auteur a tenté de rétablir l’atmosphère de sa ville natale dans les années 1956-1957.
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Dans les pas de Marcel Albert
19,00 €C’est sous forme d’interview que le capitaine d’industrie se livre, répondant aux questions du journaliste
Philippe Gilbert, entretien où on » entend » parler cet emblématique patron.
Le capitaine Albert aura aussi beaucoup voyagé et beaucoup rencontré, Chirac mais aussi Gorbatchev,
ainsi que des artistes, certains devenant ses amis, comme le peintre Albert Deman, l’écrivain Yves
Viollier (qui le préface), le compositeur Pierre Barouh (le théâtre aux Herbiers porte son nom),
l’écrivain-cinéaste Gilbert Prouteau. » Ils ont eu une belle vie passionnante » aimait à dire ce dernier, associant
Régine Albert, l’épouse, la poétesse, indissociable dans le parcours de son mari. D’ailleurs, Isabelle
Prouteau (fille de Gilbert) rend ici un hommage à cette amitié ; sans oublier les témoignages du journaliste Joël Bonnemaison et du sénateur Jacques Oudin. -
Délits d’encre n°26
10,00 €On aurait pu penser que l’indépendance des pays africains des années 50 et 60 aurait permis de tourner la page et de libérer les écrivains et les intellectuels noirs de leur » devoir d’histoire ». De fait, lors de l’indépendance, des chants d’allégresse célèbrent la liberté nouvelle et un avenir plein de promesses jaillit sous la plume de poètes ou romanciers du Cameroun, Congo, Mali ou Sénégal comme Sédar Senghor, mais cette parenthèse ne dure que quelques années.
En effet, très vite, le néocolonialisme arrive, Aimé Césaire le met en scène avec » Une saison au Congo » en 1966.
Aujourd’hui, écrire sur la l’histoire et la culture Africaine reste un délit.Grognard
Léon-Gontran Damas (Sève créole et Négritude) par Thierry SindaGavroche
Raphaël Elizé, le métis de la République
par Henri MoucleGribouille
Poupées-noires-savantes-créoles – Poème de Thierry Sinda -
S’unir avec
12,00 €Un côté « aime-toi, le ciel t’aimera » (Claude Roy) car la vraie richesse est intérieure et un côté « citoyen du monde » (Voltaire), du quotidien à hauteur de voisinage aux joies et aux drames de la matrice Terre.
Tout cela passe, nous remplit un temps, nous construit durablement. ça, que la poésie nous aide à dire : s’unir avec la vie qui nous atteint et nous façonne à son gré puis choisir ses bonheurs et ses combats.—————————————————————————————————————-
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N°1 -Octave MIRBEAU essais et actualités – 2020 (E-book)
10,00 €Ce premier numéro de la revue annuelle des Amis d’Octave Mirbeau entend poursuivre le travail entamé il y a un quart de siècle : d’une part, enrichir encore les essais portant sur l’oeuvre de Mirbeau ; et, d’autre part, contribuer à la popularisation, auprès d’un plus large public, des oeuvres, des valeurs et des combats de l’imprécateur au coeur fidèle. Il comporte donc des articles universitaires et des synthèses relatives à la littérature, à l’art et à l’histoire, mais aussi nombre de documents inédits, d’informations nouvelles sur Mirbeau et sur l’actualité mirbellienne, de témoignages divers et de notes bibliographiques. Pour les illustrations, nous bénéficions de la générosité de la dessinatrice tunisienne Nadia Khiari, qui poursuit, avec son seul crayon, et dans des conditions historiques et sociales evidemment fort différentes, les mêmes combats qu’Octave Mirbeau.
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N°1 -Octave MIRBEAU essais et actualités – 2020
26,00 €Ce premier numéro de la revue annuelle des Amis d’Octave Mirbeau entend poursuivre le travail entamé il y a un quart de siècle : d’une part, enrichir encore les essais portant sur l’oeuvre de Mirbeau ; et, d’autre part, contribuer à la popularisation, auprès d’un plus large public, des oeuvres, des valeurs et des combats de l’imprécateur au coeur fidèle. Il comporte donc des articles universitaires et des synthèses relatives à la littérature, à l’art et à l’histoire, mais aussi nombre de documents inédits, d’informations nouvelles sur Mirbeau et sur l’actualité mirbellienne, de témoignages divers et de notes bibliographiques. Pour les illustrations, nous bénéficions de la générosité de la dessinatrice tunisienne Nadia Khiari, qui poursuit, avec son seul crayon, et dans des conditions historiques et sociales evidemment fort différentes, les mêmes combats qu’Octave Mirbeau.
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Métamorphoses d’Audiberti
25,00 €Audiberti est aussi peintre, dessinateur. Journaliste, c’est un chroniqueur qui croque la vie, les gens et la langue. Ce » troubadour naturalisé », selon Georges Perros, fut l’ami de Leonor Fini, François Truffaut, André Parinaud, Jean Paulhan, Claude Nougaro, Jean Follain Maurice Chapelan.
Il est urgent de faire lire cet auteur inclassable, dont toute l’œuvre est un poème épique. Tout part d’un éblouissement à Antibes. Tout revient dans les rues de Paris. Mais Audiberti ne fait pas de littérature. Il écrit. -
Les chants de ma forêt
26,00 €Julien PAPP, l’auteur de ce récit autobiographique, plus habitué en historien à fouiller les destins collectifs qu’à pratiquer l’introspection, voudrait apporter ici, audelà des éléments personnels, un témoignage sur la vie d’une famille paysanne dans la Hongrie orientale de l’après-guerre et sur ses propres tribulations dans ce pays puis en France, à partir des années 1960.
L’ouvrage comporte de nombreux documents et intègre de larges passages des souvenirs racontés par le père de Julien Papp, donnant notamment un aperçu sur la débacle de l’armée germano-hongroise au printemps de 1945. Cet itinéraire est un exemple de processus spontané d’intégration, qui a laissé peu de place à une vie d’émigré, « avec la détestable schizophrénie de cette catégorie de gens ».
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Contes de la mort et de l’ankou
25,00 €A lire ces récits naguère contés à la veillée, la réponse à ces questions n’est pas aussi évidente qu’elle pourrait le sembler. Si tout le monde s’accorde pour considérer que la mort est juste car elle ne distingue pas les riches des pauvres, l’unanimité est loin d’être acquise pour ce qui est d’apprécier le meilleur moment pour rendre l’âme. Un moment pourtant essentiel, à ne pas manquer.
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Borne 45
8,00 €Le poème-titre nous dit ce qu’est ce recueil : c’est un récit de voyage (ou même un road movie, avec cette
tonalité hasardeuse et mélancolique, initiatique, qu’on aime tant au cinéma). Si la vie est un trajet dont le but et les méandres ne nous obéissent pas souvent, on est quand même libre de s’arrêter à cette quarante-
cinquième borne pour regarder le chemin parcouru, sur lequel se détachent […] des moments poèmes. […]
La beauté de ces poèmes se joue dans ce paradoxe, celui de la justesse et de la vérité : ne jamais enjoliver, […] que la beauté naisse de ce regard d’intégrité, regard calme et humble sur la vie réelle […]. Mais [celle-ci] est en même temps vibrante de tout ce qui a été reçu : poésie, philosophie, musique, peinture […]. Et elle est donc aussi chatoyante, musicale, lyrique, mélodique. […] nous vivons, dans le mélange des deux fleuves : celui de la réalité qui nous emporte et nous fait vivants, celui de toutes les transmissions qui nous ont nourris et nous renforcent. Une forme de bonheur est ainsi présente, malgré tout : celle d’exister et de ne pas être seul.
Claire Ceira, Préface (extraits)