• David d’Angers et la jeune grecque

    Les statues ont-elles une vie ? La réponse à cette question se trouve dans une série de lettres échangées autour de la statue de David d’Angers, La Jeune Grecque au tombeau de Markos Botzaris que l’on peut voir au musée d’Angers.
    Les différents protagonistes des XIXe et XXe siècles (comme David d’Angers, Victor Hugo… et Hélène, la fille de David d’Angers… mais aussi des personnages romanesques comme Elise et Olivier et leur fille Hélène) et même du XXIe siècle (avec Anne et Antoine…) font revivre la genèse et l’histoire (mouvementée) de cette statue.
    Dialogue entre l’art et l’Histoire, entre passé et présent, entre sculpture et littérature, ce texte historique se double d’une réflexion sur la création artistique et sur la réception d’une œuvre d’art à travers le temps.

    12,00 
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  • histoire des maraichers d'angers

    Quartier Saint-Laud d’Angers, Terre de Maraîchers

    Qui se souvient que le quartier Saint-Laud fut celui des maraîchers ?
    Ces hommes et ces femmes qui cultivaient les terres entre l’actuel quartier Saint-Laud et les bords de Loire de Sainte-Gemmes et des Ponts-de-Cé.
    Cet ouvrage est le récit de vie Théophile Rioux, maraîcher de Saint-Laud au XXe siècle, qui nous relate le rôle des cultivateurs au sein de ce quartier, la vie quotidienne, l’évolution du métier et sa disparition progressive.
    Avec ses mots, l’auteur revient sur l’Histoire d’Angers et du quartier Saint-Laud. Il nous présente ses rues, ses demeures, ses commerces. Il fait revivre des moments de sa vie personnelle, exemple d’une époque disparue, mais aussi les temps de guerre, ou de l’urbanisation progressive de ces terres maraîchères et horticoles.

    20,00 
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  • Heures et couleurs de Loire

    Le livre des cinquante ans. Depuis un demi-siècle, fréquentation passionnée d’un riverain de la Loire, observation et marche quotidiennes, imprégnation, heure
    après heure, saison après saison, de ses humeurs, de ses couleurs.
    Impossible sans doute de connaître le fleuve royal sous toutes ses facettes mais c’est un réel bonheur de dévoiler une palette de ses incessantes variations dans les pages de ce livre-hommage.
    Que l’on parcourt la Loire du Mont Gerbier de Jonc à l’Océan Atlantique, ses eaux, constamment changeantes, se renouvellent à chaque méandre et honorent magnifiquement chaque village traversé.
    À la Pointe-Bouchemaine comme partout ailleurs, Loire exalte ses féeries.

    25,00 
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  • Famille Angevin dans la grande guerre

    Une famille angevine dans la Grande Guerre – Emile Briant, poilu de St-Florent-le-Vieil

    À Saint-Florent-le-Vieil, ce sont près de 700 lettres
    et cartes postales échangées dans la famille Briant. On
    découvre dans cette correspondance la vie quotidienne au
    service militaire puis bientôt au front, mais aussi à l’arrière.
    Émile surtout, rattrapé par la guerre pendant son service
    militaire au 146e RI de Toul, est au coeur des échanges avec
    sa famille, ses camarades angevins au front ou prisonniers
    et ceux du 146e RI, régiment d’élite qui prend part à tous
    les coups durs dans ce long confl it. Ses deux frères aînés,
    prêtres, dont l’un est missionnaire à Madagascar, sont également
    appelés.

    30,00 
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  • N°6 – Octave MIRBEAU essais et actualités – 2025

    Octave Mirbeau, mort en 1917, demeure de nos jours d’une incroyable modernité. L’auteur du Calvaire, de Dans le ciel, du Journal d’une femme de chambre et de Les affaires sont les affaires, est plus actuel que jamais, au moment où le monde entier semble pris de folie, où la prédation et le meurtre à grande échelle semblent être devenus la règle, où se déchaînent la barbarie et les pires mensonges, où sont allègrement piétinées les valeurs que le dreyfusard Mirbeau a toujours faites siennes : la Justice et la Vérité. Intellectuel engagé, libertaire et combattant de la laïcité, Mirbeau était aussi le chantre attitré de Monet, de Pissarro, de Rodin, de Van Gogh, mais aussi de Camille Claudel, de Vuillard et de Bonnard, tous bien présents dans ce volume. Avec la seule arme de sa plume, Mirbeau a bien été le grand démystificateur, soucieux d’ouvrir enfin les yeux des « aveugles volontaires » et de les obliger à « regarder Méduse en face ».
    Ce sixième numéro de la nouvelle série de la revue Mirbeau poursuit le travail entamé en 1994 : enrichir encore les études mirbelliennes et contribuer à populariser les œuvres, les valeurs et les combats de « l’imprécateur au cœur fidèle ». Il comporte donc des études universitaires portant sur ses romans, son théâtre et sa critique d’art, ainsi que nombre de documents inédits et une très vaste bibliographie. Mais aussi des témoignages divers, des informations sur l’actualité mirbellienne, et une partie « Créations », particulièrement développée, qui reproduit ici les œuvres originales inspirées par Mirbeau à des artistes et des poètes. Un numéro superbement illustré par des artistes mirbeauphiles.

    26,00 
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  • Jours de poisse

    Un matin, Rudy est tombé, ça devait mal finir. Quand on joue avec le feu, on brûle souvent une partie de sa jeunesse. Les vols de motos de grosses cylindrées, de voitures haut de gamme au profit de trafiquants agissant au niveau international, se sont mal terminés.
    Lors de son incarcération, le trentenaire a appris la musique. Il s’est découvert une passion, une véritable vocation. Seulement, alors qu’il nourrissait une ambition dans le domaine artistique, que la chance lui souriait enfin, le ciel va de nouveau s’assombrir. Il ne suffit pas d’être innocent, encore faut-il le prouver. La poisse, quand ça vous colle…

    22,00 
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  • La légende S.K.F. – Lutte, emploi, industrie

    SKF-Ivry était dans les années 1970 une usine de pointe dans le roulement à billes, 600 salariés, un syndicat CGT très majoritaire, un entourage populaire et communiste fort.

    1983 : les actionnaires suédois décident de sa fermeture ; l’inspection du travail approuve ; le ministre de l’industrie (Fabius) aussi. Les salariés décidant alors d’occuper l’entreprise ! Ils multiplient les propositions alternatives, ainsi que les initiatives (voyage en Suède, manifs, colloques, etc). Durant près de trois ans, une sorte de « communauté » ouvrière s’installe dans et autour de l’usine.
    1985 : les CRS envahissent l’entreprise ; les salariés prennent cela pour un affront et « reprennent » les bâtiments. Ils tiennent les lieux une matinée entière.
    SKF-Ivry, c’est tout à la fois l’histoire d’une dignité ouvrière, d’une formidable bataille contre la désindustrialisation, celle d’un puissant mouvement de solidarité aussi et celle enfin de la gauche au tournant de la rigueur.

    C’est aussi les prémices des années d’ultralibéralisme que nous connaissons au XXIe siècle, et de la nécessité de démontrer que d’autres voies plus humaines sont possibles.

    14,00 
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  • Les glacis du silence

    On dit qu’il y a des silences qui tuent, mais plus souvent, ils blessent et entravent durablement la vie. Lucas et Claudia en font l’expérience, chacun de leur côté, jusqu’au jour où le destin les fait se rencontrer.
    Ils marchent alors dans le désert et sont loin d’imaginer qu’ils marcheront à nouveau, six mois plus tard, sur le toit du monde.
    Ils auront appris, entre-temps, que les chemins les plus beaux sont ceux du partage et de l’attachement.

    20,00 
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  • Huit ans à Nouméa

    1880 : La littérature est riche de récits et souvenirs de communards arrêtés en 1871, puis déportés, et récemment amnistiés, ayant raconté leur exil en Nouvelle-Calédonie.

    Et pourtant…

    Un récit a sombré dans l’oubli, celui d’Albert LEBLANC : Huit ans à Nouméa.

    Publié en épisodes par le journal le Rappel au cours de l’année 1880, ce récit n’a jamais été publié en livre et a traversé près de 150 années, complètement ignoré du grand public.

    Huit ans à Nouméa est une chronique de la déportation. Le lecteur y découvre la dureté des conditions de transfert en bateau pendant de très longues semaines pour rallier Nouméa, la rudesse de vie des prisonniers, la brutalité de l’administration pénitentiaire à leur égard que l’auteur dénonce. Mais ce récit se veut aussi positif. L’auteur y souligne la solidarité entre les déportés, leur ingéniosité pour faire face à leurs nouvelles conditions de vie et leur sens de classe, leur fierté d’être des ouvriers, « arborant bien haut le drapeau du travail ».

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  • Jean le dernier des soldats – T2. La rencontre

    1292. Jean est plongé dans l’histoire légendaire des Templiers…
    En partance pour l’Orient, Jean se retrouve à mener
    la grande bataille de Chypre contre Saladin, l’ennemi des Templiers.
    Jean, entouré de ses frères d’armes, comprend peu à peu qu’il est aidé
    dans ses aventures par une mystérieuse guerrière…

    13,00 
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  • Délits d’encre n°44 – Éducation populaire, démocratie et Éditions du Petit Pavé

    « Gribouille » Littérature – Découverte – Florilège
    Brève histoire de l’éducation populaire
    par Paul Masson

    « Grognard » Archives – Témoignage – Relique
    Se réapproprier les acquis de notre histoire
    suivi de Extrait du rapport de Nicolas Condorcet sur l’éducation populaire

    « Gavroche » Essai – Critique – Pensée
    En quoi les Éditions du Petit Pavé contribuent à l’éducation populaire

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  • Si loin que l’oiseau

    Daniel BROCHARD, « poète maudit » d’aujourd’hui, s’est donné la mort le 22 janvier 2023. Catherine ANDRIEU, son amie de toujours, lui écrit, si loin que l’ait emmené son essor, ce recueil dédié à sa mémoire.
    Si loin que l’oiseau, plus qu’un livre d’hommage, est un livre d’orages. Il rend la vérité d’une relation complexe entre deux êtres inadaptés et épris d’absolu – l’un comme l’autre failles affamées d’ailleurs, béances de l’esprit ouvertes aux grandes traverses déroutantes de l’imaginaire.
    L’entrechoquement des sentiments contradictoires, le chaos émotionnel, est la loi de cette relation. L’amour et la haine, bien sûr (dès le premier poème, qui donne la note de tout le recueil, et dans lequel les calembours crachent leurs sarcasmes désespérés) – et leurs nuances : tendresse, tristesse, attentes et espérances, désespoirs, ironie cinglante, douceur des souvenirs, compréhension, incompréhension, inquiétude, impatiences, appels et supplications, sentiment de proximité, effroi de la perte, reproches, accusations…
    Catherine ANDRIEU est un esprit particulièrement lucide – quant à autrui, et quant à soi. Si pourtant l’exaspère, et l’excède et l’égare, le chaos émotionnel, c’est sans la diviser : car sa conscience réflexive sait la réunir à elle-même, par un détour qui la recentre. Ainsi, dans son art, dans sa poésie – comme peut-être dans tout Art, toute Poésie qui franchit les portes de corne et d’ivoire –, le chaos se révèle-t-il régime transcendant de la lucidité.
    Si loin que l’oiseau est une œuvre de haute vérité, poétique et humaine.
    J.H.

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