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A l’ombre de rumeurs
* OUVRAGE DISPONIBLE LE 15 MARS *
Nous sommes au printemps 1988, après trois années de brouille, Isabelle revient chez ses parents viticulteurs en Anjou.
Son départ brutal à Paris, moins d’un mois avant son mariage, a laissé son entourage sans aucune explication. Ce retour au pays ravive de vieilles histoires de famille, des rumeurs qui courent encore dans le village, concernant l’arrestation d’un jeune Résistant pendant la guerre. C’est ainsi l’occasion pour une jeune génération d’approcher la période trouble de l’Occupation.En toile de fond, nous découvrons également l’actualité de la fin des années 80 et les passions qui animent les personnages, notamment Isabelle qui ne peut s’empêcher de s’étonner que,
sans les moments dramatiques qu’elle a traversés, elle n’aurait jamais croisé le chemin de Marc. -
Patrimoines
La première des trois histoires, Le fou rire des prolifiques, est une fantaisie aux couleurs d’une histoire ancienne. Inspiré d’une lettre de rémission signée du Roi de France Charles VIII, le tissu de l’histoire de Mathurin Chevallier, humble journalier, couturier du village de Torcé-le-Viel, est authentique. Mathurin fut le témoin bien malgré lui d’un crime ordinaire à la taverne du village. On le soupçonna. Eu égard à sa vie d’honnête sujet, le roi lui accorda une lettre de rémission, à la condition toutefois qu’il fît un pèlerinage à Notre-Dame de Cléry.
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Souvenirs tendres et drôles
On y voit vivre d’étonnants personnages, on y rencontre des situations tantôt cocasses, tantôt tragiques, on y pleure et on y rit, bref on y vit.
Un livre aussi écrit pour les jeunes générations, non pour leur dire que “c’était mieux avant”, mais pour leur rappeler que le progrès n’a de sens que s’il ne détruit pas les valeurs du coeur.
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Vieillir en cultivant son jardin
J’accorde un chapitre à Yvré-l’Evêque « petite ville à la campagne » où nous avons choisi de vivre au cœur du bocage bercé de chants d’oiseaux, loin des nuisances de la grande ville.
Pour clore ce témoignage, j’évoque longuement Mamers, ma ville natale, et la forêt de Perseigne toute proche que mon père m’a fait découvrir, enfant, et à laquelle je demeure très attaché.
Quand on a la chance de jouir d’une longue vie et d’avoir gardé un esprit clair, on est en mesure de savourer chaque heure qui passe pour en capter le miel dans un monde trop tourmenté, hélas… mais dans lequel je m’efforce de rester serein malgré tout. -
Le Guédeniau – Histoire d’un village entre champs et forêts – 1789 à 1950
La diversité des milieux et des paysages a peut-être donné aux habitants un art de vivre. Les populations de forestiers venus de tous les coins de France et surtout d’Auvergne sont bien accueillies et s’installent parfois au village, apportant avec elles d’autres façons de faire, de parler, de vivre. Et finalement enrichir de leurs caractères différents le monde des villageois.
Dans ce livre riche de documents et de témoignages, la personnalité du village apparaît peu à peu, qui nous le rend attachant. -
Vivre heureux à la campagne
Nous avons fui la ville tentaculaire et ses nuisances pour jeter l’ancre dans un havre de paix : une modeste fermette située au revers d’un coteau ensoleillé à l’orée d’un grand bois. Là, nous savourons le calme des champs agrémenté par la mélodie de nos amis les oiseaux. Nous observons les métamorphoses de la nature au fil des saisons. Nous nous réchauffons en famille autour d’un bon feu de cheminée l’hiver lorsque les rafales glacées du vent du nord font grelotter le paysage transi et la petite faune mystérieuse qui le peuple. Nous renouons alors avec la vie simple d’autrefois. Nul besoin d’un luxueux confort. Il ne faut accorder aux biens matériels dont nous ne sommes que les dépositaires, que l’importance qu’ils méritent. Là où nous vivons, j’apprécie avant tout la douceur du bocage et en particulier les haies, les arbres miraculeusement épargnés. Chers arbres qui nous restituez l’oxygène indispensable à la vie et que parfois l’on tronçonne inconsidérément !
Nul besoin de luxe, nul besoin de courir le monde pour être heureux : « Ne cours pas après le bonheur, tu le portes en toi » murmure le poète. -
Ineffables années – Souvenirs d’un gosse de la campagne – années 40
Son enfance campagnarde a rendu Raymond Poirrier curieux de tout… Il écrit, il photographie, il écoute et raconte…
Son regard malicieux et vif, son rire communicatif, son sourire bienveillant font merveille.
Madame Odile HERVE-BAZIN -
Denée ou la mémoire des lieux
Louis Thareaut retrace son enfance à Denée, les guerres que l’on raconte au bistrot, l’église, le patronage, le jeu de boules (de fort , évidemment !), le facteur communiste, le couple d’instits de la la laïque, l’école “d’en face” car le jeune Louis, comme les trois quarts des petits Denéens, fréquente “l’école du bon Dieu”… le peintre Jean Commère, les pélerinages à behuard, l’abbé Robert, l’arrivée des Allemands le 22 juin 1940, des Américains le 2 septembre 1944. Dans la foulée, un peu plus tard, les élections…
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Cossé-en-Champagne – Vie quotidienne et moments historiques dans un village du Maine 1900-1950
A la fois basée sur ces entretiens et les archives, la première partie de ce livre présente le cadre, la structure sociale, les modes de vie rythmés par les saisons, les célébrations familiales et religieuses.
Une deuxième partie témoigne avant tout de la façon dont les grands événements historiques ont affecté les destins individuels et la vie du village.
Ces expériences personnelles, l’histoire de Cossé en Champagne, reflètent la vie quotidienne des villages mayennais au début du XXè siècle. Un patrimoine humain unique qui mérite d’être partagé.