• Le tabou de la Mort en éducation ! aux Editions du Petit Pavé

    Le tabou de la Mort en éducation !

    ” Ce livre n’hésite pas à s’en prendre à un tabou dans l’éducation. La question de la vie et de la mort traverse la pluspart des disciplines soclaires – littérature, éducation civique, biologie. Mais alors qu’elle frappe au plus profond les ” apprenants », dans leur conscience existentielle, l’école, en règle générale, ne s’y arrête pas, ne l’aborde pas de front. […] Ce livre jette les bases d’une véritable dialectique évolutive. Il évite les facilités, ou la tranquillisation anesthésiante ; l’enfant souffrira moins de la netteté que de ce qui se cache ou affadit. La mort est effectivement présente, présentée ou plutôt représentée par des mots et des choses. […] »

    Préface de François DAGOGNET (†)

    20,00
  • Contes de la mort et de l'ankou aux Editions du Petit Pavé

    Contes de la mort et de l’ankou

    A lire ces récits naguère contés à la veillée, la réponse à ces questions n’est pas aussi évidente qu’elle pourrait le sembler. Si tout le monde s’accorde pour considérer que la mort est juste car elle ne distingue pas les riches des pauvres, l’unanimité est loin d’être acquise pour ce qui est d’apprécier le meilleur moment pour rendre l’âme. Un moment pourtant essentiel, à ne pas manquer.

    25,00
  • Demeure l'absent aux Editions du Petit Pavé

    Demeure l’absent

    En 1945, Joseph n’est pas revenu. Demeure l’absent témoigne de lui, de son absence, et de tous ceux qui ont voulu le retrouver. Ils ne l’ont pas oublié.

    « Chaque fois que j’ouvre cette boîte, je suis prise du même découragement. Les lettres semblent ne jamais pouvoir être classées pour former un récit cohérent. Certaines ne sont pas datées. Parfois le tampon de la Poste s’est effacé. Certaines enveloppes sont vides et certaines lettres sont sans enveloppe. Les mots s’effacent, écrits à la mine. Le papier est piqué par endroits, tellement usé que des trous apparaissent dans le texte. Des passages ont été censurés. Il est impossible de
    deviner ce qui est écrit sous le crayon noir, même en transparence. »

    14,00
  • Petit éloge de l'Humour et du savoir-rire en attendant la mort aux Editions du Petit Pavé

    Petit éloge de l’Humour et du savoir-rire en attendant la mort

    Face à ce constat implacable, on peut s’en trouver bien navrés, voire même atterrés, ce qui nous conduit dès lors à la case arrivée tout aussitôt ! On peut aussi acter de cette stricte et bien contraignante réalité et se dire, dès lors, que “dans la vie, faut pas s’en faire” et, muni de cette conviction, prendre les choses de la vie avec philosophie sans nécessairement pratiquer urbi et orbi une “politesse du désespoir” pour la soif de certitude ; on sait fort bien ce que les gens polis…sont !

    C’est donc de cette gélaste (du grec, GELOS, le rire) sagesse dont il est question dans ce petit opuscule qui préconise une pétulante et flibustière “Humour Attitude” salutaire et patiente en l’attente de l’au-delà tout en sirotant hédonistement le vin d’ici, comme le disait ce bon vieux Jean Carmet et tente de présenter un panorama le plus complet qui soit du rire et de l’humour en toutes leurs spécificités et leurs champs d’expression et d’application !

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    Retrouvez la préface de François Rollin sur notre rubrique J’en Profite

    14,00
  • Quand le pic noir sera de retour... aux Editions du Petit Pavé

    Quand le pic noir sera de retour…

    Après la mort de sa mère, Elise est persuadée que celle-ci hante la maison et lui demande des comptes. Elle décide alors de s’adresser à elle pour revisiter le passé tel qu’elle l’a vécu. Pratiquement isolée du reste du monde, en proie à une sorte de fièvre paranoïaque qui donne son rythme au récit, elle tape sur son ordinateur – personnage à part entière –, un réquisitoire implacable. L’ombre du Pic noir, mystérieux messager qu’elle attend inlassablement, plane sur son histoire. Mais au cours de ce
    ” dialogue », une autre vérité se fait jour qu’Elise se refuse à admettre, jusqu’au dénouement…

    15,00
  • Je suis mort hier

    Je suis mort hier, à quatorze heures…

    Le narrateur – qui ressemble beaucoup à l’auteur – témoin privilégié, raconte à la première personne ses obsèques et les conséquences de sa mort chez ses proches, amis et entourage politique, souvent amusé par les réactions des uns et des autres. Ce fil rouge permet de porter un jugement distancié sur les êtres et les choses de la vie. Quand je dis 14 heures, c’est par recoupement. J’étais arrivé vers 12 h 30 au café de la Rose pour y disputer la partie de tarot qui réunit presque quotidiennement notre bande de copains, des profs pour la plupart, depuis près de trente-cinq ans. Trente-cinq ans que nous faisons des petites, des pousses, des gardes, des gardes sans ou contre (mais bien plus rarement), en commentant l’actualité et en riant des jeux de mots, souvent très drôles, du plus jeune d’entre nous, éric, intarissable en ce domaine.

    12,00