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Les aventures de FORTLAND
Au Moyen Age, les Kernevel, couple de ruralités bretons, ont adopté un nourrisson abandonné et l’ont appelé Fortland. A l’age de dix-huit ans, il apprend par sa famille adoptive qu’il est le fils d’un seigneur et part à l’aventure avec le cheval qui lui a été offert…
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Dans les pas de FOURCHAFOIN
Fourchafoin c’est le nom de scéne qu’a pris Henri Jubeau. Un personnage théétral qui lentement a pris forme au fil des ans.
A travers les textes de Fourchafoin, textes écrits pour étre dits dans le langage de nos anciens, retrouver les accents des Emile Joulain et autres poétes patoisants, faite revivre la culture patoisante sur scéne ou dans votre coeur.
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Marie-Jeanne du Tisserand ou le souffre-misère des Mauges
UN LIVRE SOCIAL ET ROMANESQUE Où Quentin, Marie-Jeanne, Rose, Simon, Nano, Sénéchal vous font partager leurs joies et leurs peines, dans la grande tradition du roman populiste de la littérature française. D’un côté, les gendarmes et la troupe prêts à tirer si l’ordre leur en était donné, de l’autre la foule des tisserands, le visage grave, serrant les poings et maîtrisant mal leur colère. On était au bord de l’affrontement sanglant. C’est là l’une des scènes de Marie-Jeanne du Tisserand, souffre-misère des Mauges.
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Au Goutte A Goutte
Yvon Péan, célébré patoisant angevin, se tourne vers la belle langue française pour faire part de citations, réflexions, notes de lecture, qu’il a sur saisir au fil de son beau parcours littéraire.
On y trouve des grands noms de Sénèque à François d’Assise en passant par Martin Luther King, pour constituer un ouvrage passerelle entre littérature et quête pour un monde meilleur. -
La maison et le temps
Un fleuve, peut-être la Loire, un port désert, comme parfois le port de Nantes, un décor de béton et d’acier où les vents, certainement d’Ouest, se déchirent, une maison tout juste en surplomb et puis, il y a Jean…
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Bois Hourdy
Au moment du carême, dans un bourg de Picardie marqué par un rituel au Moyen-Age, les habitants portent masques et déguisement. Ramené en grande pompe de la forêt voisine, un chêne est brûlé sur l aplace principale. Est célébré le feu purificateur, ainsi en a-t-il toujours été, en tous lieux. Mais la tradition est paralysée par l’Occupation. L’uniforme allemand remplace tristement l’habit du Commandant de légende. Mais quels êtres trouvent-on autour de ce bois Hourdy ? Julien, cordonier qui s’est réfugié dans les vêtements de l’autres sexe. Jean, le petit-fils de ce dernier, s’attardant sans fin sur les visages. Le jeune abbé Haumont, quand il débarque de son Anjou natal, a déjà reçu en plein coeur l’aveu de péchés qu’il n’aurait seulement pas imaginés. Léa, qui porte insidieusement sa beauté du sud… Venus d’horizons différents, les nombreux personnages de ce roman sont réunis dans une sorte de cavalcade burlesque et grave. Ils semblent parfois arrachés à un monde déchiré, comme si une lumière nouvelle les mettait hors d’atteinte et hors du temps, leur offrant une innocence retrouvée.
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Mes trente dernières, Saint-Barthélémy d’Anjou
L’auteur nous parle de sa ville, Saint- Barthélémy d’Anjou, prenant prétexte de petites anecdotes il nous retrace les grands moments de la ville et du district d’Angers depuis 1970.
Extrait :
[i]SAINT-BARTHELEMY-D’ANJOU –
Septembre 1968En fait, ces « trentes derniéres », il s’agit d’années, tous vous l’abiez compris bien évidemment, commencent trois ans auparavant ; au moment oé, de par mon statut un peu particulier de fonctionnaire dit d’autorité, je vais apprendre Saint-Barthélémy, ses habitants et surtout ses dirigeants locaux et légaux : les élus et particuliérement, le premier d’entre eux Jean-Gabriel Gilles, Maire de la commune depuis 1965.
Je suis, de formation, un enseignant spécialisé dans la psychopédagogie des adolescents en difficult. Je viens de présenter l’examen de Directeur d’établissement spécialisé et, de plus, le concours de Chef d’établissement national de perfectionnement oé j’ai la chance, en ces périodes troublées que nous venons de vivre, de sortir numéro quatre et ainsi avoir pu choisir la région que je souhaitais : l’Anjou. [/i]
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Ma mère était comme ça !
La vie de gamins qui s’imaginent que le château de Bressuire recèle le trésor des Templiers. L’un trouvera un trésor d’une autre sorte et le perdra dramatiquement ; l’autre, naïf et timide dans ses amourettes, ne comprendra rien aux jeunes filles. Tranches de vies que la guerre viendra bouleverser. C’était aussi le temps du peu de confort dans les familles modestes, celui du poêle à charbon, des mandarines à Noël, du phonographe nasillard et asthmatique, des premiers Prisunic et des “cabinets” au fond du jardin. C’était aussi la vie d’une petite ville à la lisière du Bocage avec ses chemins creux et ses “musses” dans les haies, lesquelles ménageaient des cachettes très discrètes aux amoureux. Le temps aussi du délicieux patois des vieilles gens…
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Beaupréau, Maire et Sous-préfet
l’auteur nous livre aujourd’hui, avec la liste des maires de Beaupréau, les notices biographiques des sous-préfets de l’arrondissement avec une évocation de leur action.
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L’histoire du PAYS NANTAIS racontée aux enfants
Deux mille ans de la vie du pays Nantais, racontés aux enfants, comme on conte une histoire…
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L’Ordre du Saint-Graal et autres histoires sarthoises
Paul VALLIN a recueilli la mémoire d’antan en questionnant les anciens qui avaient connu les veillées de chaumiéres.
Il a ensuite convaincu sa plume de nous traduire, pour notre grand plaisir, sous formes d’histoires dans lesquelles il a intégré sa connaissance et les fruits de son imagination.
Avec L’Ordre du Saint-Grall, L’or du temple, ou encore Le Souper Gaulois… il nous rend le souvenir d’histoires familiéres du passé, dans des sites sarthois que nous pouvons encore découvrir, ou redécouvrir… -
L’histoire de Joé
Gilda Richet illustre et commente poétiquement des textes d’éléves du département de la Sarthe, recueillis par « Les amis des printemps poétiques de la Suze », pour le bonheur de notre lecture et le plaisir de nos yeux.