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Légendes d’Oléron
Ainsi nous voyageons au travers de ces pages sur la plage de l’Ecuissière et au village de Sauzelle, avec l’avaleur d’histoires ; dans le Pertuis d’Antioche ou près de fort Boyard à la découverte du dragon sous la mer ; sur les Sables de rêve des villages de Vert-Bois et de Saint-Trojan ; ou à la recherche du trésor oublié au village de Domino et au port de la Cotinière. Tandis que Le prisonnier de la tour nous conduira à la pointe de Chassiron, aux hameaux de la Morelière et de la Bétaudière, au village de la Boirie, devant les moulins de la Fabrique et des Cordonnières, au Moulin de Soubregeon de l’anse de la fosse à la pointe des Trois Pierres…
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Une enfance entre Landes et Marais
L’auteur emprunte ses récits à deux régions auxquelles il est profondément attaché, le pays rennais et le Nord-Ouest Vendéen, en relatant une succession d’anecdotes où des personnages singuliers et atypiques ont marqué la vie locale à une période désormais révolue, celle des années soixante et soixante-dix. Il s’ensuit une suite de témoignages pittoresques qui contribuent à mieux comprendre les bouleversements et l’histoire des paysages traversés, le bocage, les landes et la vallée de la Vilaine d’une part et, d’autre part, le marais breton vendéen et son grand étier de Sallertaine. Le narrateur s’attache également à souligner tout l’intérêt qu’il y a à protéger une biodiversité en grand péril qu’on ne peut laisser disparaître.
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Passe de deux sur la presqu’île
Huit ans jour pour jour après qu’un drame a été perpétré, voilà le commissaire Yves Gautier replongé dans le passé : le meurtre d’une jeune fille, dans le même appartement, ravive ses souvenirs. Les premières constatations révèlent un même scénario macabre, pourtant l’homme alors jugé et condamné est toujours sous les verrous.
…de Guérande à Pontchâteau,
Pornichet, la Baule… -
Algérie, tu te souviens…
En première partie : L’enfance et la jeunesse de Valentin à Oran, sa famille, ses amis, ses amours, son implication lors de l’arrivée des Américains au Maghreb et le débarquement de 1944 en Provence.
En deuxième partie : son séjour en Indochine et son retour à Oran en pleine guerre d’Algérie, dramaturgie fratricide qu’il vit en miroir au sein de sa propre famille.
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Une île en soi
Blanche approche de la cinquantaine et sa vie se délite. Deuil, séparation, départ des enfants, le coup de grâce lui est donné lorsqu’elle est brutalement licenciée de l’travail où elle travaillait depuis vingt-cinq ans.
Comment garder la tête hors de l’eau, comment se reconstruire quand la mise à l’écart sociale vient s’ajouter aux difficultés ordinaires de l’existence ?
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N°3 – Octave MIRBEAU essais et actualités – 2022
Comme nos deux premiers numéro, et comme les 26 numéros précédents des Cahiers Octave Mirbeau dont il prolonge la mission, il est de nouveau superbement illustré, grâce notamment à des oeuvres originales signées Philippe Barbier, Jacques Cauda, Jean Estaque, Antoine Juliens, Nadia Khiari, Daria Matskievitch, Stefan Prince, Nicolas Rozier, Corinne Taunay et éloi Valat.
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Délits d’encre n°33
» Gavroche » Essai – Critique – Pensée
La Loire romantique de Balzac par Christian Robin» Gribouille » Littérature – Découverte – Florilège
Les poètes de la Loire
De René-Guy Cadou à Emile Joulain» Grognard » Archive – Témoignage – Relique
Déambulations autour des grandes crues de la Loire -
Herman Melville vous salue bien
Dans les années 1960, l’héroïne qui inonde les Etats- Unis vient de Marseille. L’officier des douanes U.S. Herman Melville a été chargé d’infiltrer la pègre phocéenne et de traquer les laboratoires clandestins de la French Connection.
Un OVNI littéraire dans lequel
on ne s’ennuie pas un seul instant. -
Capitaine et Trouvère
C’est parce que je porte en moi
Tout ce silence
– si lent si lancinant silence –
Que mes vers sont taillés
Au coup-de-poing…
(extrait du poème Silex) -
Comme un brin de paille
C’est l’histoire d’un bébé abandonné dès la naissance, de sa légitime adoption à presque 5 ans, de son changement d’identité par ses nouveaux parents.
C’est l’histoire des retrouvailles avec une mère biologique 50 ans plus tard, dans l’Illinois aux Etats-Unis.
C’est le bonheur…
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Quête du visage
Admirable phrase-Prologue – qui déroule lentement ses volutes d’attention méditative !
Si la poésie est affleurement délicat de la vie intérieure dans les consciences captées par le monde objectal, avec cette Quête du visage, c’est la vraie poésie qu’offre Michel Santune.
À l’appel silencieux des invisibles signes, un rêveur égaré / à la recherche de lui-même épanche, tout au long d’un monologue recueilli et tremblé, ses interrogations hésitantes, sa sérénité intranquille, sa nostalgie indécise. Tout est caresse, glissement, sensibilité brouillée des entre-deux et des mouvements doubles… Tout est frémissement, discrètes vibrations d’un lyrisme qui palpite dans l’intime.
Et au rythme du balancement subtilement inavoué de l’alexandrin, ou en des pauses habitées des ondes mystérieuses du silence, ou encore en de fugaces élancements, le vers respire, le vers chante.
Et c’est si rare !