• Après l’incendie

    Dans un monde où il ne sera bientôt plus possible d’enfanter, le parcours croisé de deux individus se profile.
    Celui du chercheur qui, le premier, a mis en évidence le dépeuplement sans avoir été entendu et va connaître une descente aux enfers.
    Celui d’un inconnu qui, dans le futur, chemine à travers une France désertique à la recherche d’un alter ego.

    14,00
  • Minthe et le Botaniste

    La rencontre d’un homme et d’une plante, c’est assez banal. Mais quand la plante, de surcroit une menthe poivrée, converse avec un humain, c’est extraordinaire. Vous ne le croyez-pas ? Alors laissez-vous emporter par ce récit épique qui vous emmènera au plus profond de l’âme végétale. Minthe et le Botaniste vont ainsi cheminer côte à côte et vous accompagner pendant quatre décennies dans le milieu des plantes de santé, de beauté et de bien-être.

    20,00
  • Le soldat peintre

    Mahajanga, Madagascar, 1905… Le jeune Alfred est subjugué par ce port plein de vie et d’Histoire. Mais comprend- il que son père, militaire originaire de la Meuse,
    rentre en France pour toujours où il fondera un autre foyer avant de mourir lors de la Grande Guerre ? Ainsi débute l’incroyable destin de ce jeune métis. Mi-malgache mi-français, bâtard, noble, héros de plusieurs conflits armés, peintre, bricoleur et chasseur, Alfred a traversé l’entièreté du vingtième siècle, parcourant le monde de Tananarive à Marseille, de la Chine au Maroc, de Bretagne en Allemagne.

    20,00
  • J’irai voir Pissarro

    1870. La guerre vient d’être déclarée. Julien s’ennuie sur la ferme de ses parents près de Laval. Son père le voyait pourtant en successeur. Ses outils de prédilection, ce sont plutôt les crayons et la feuille de dessin. Julien gribouille, esquisse dès qu’il est touché par une situation, un paysage. Son oncle et parrain devine qu’il s’épanouira autrement que dans les travaux agricoles ; il le pourvoit en pastels et pigments.

    Julien doit vaincre les résistances à sa passion et expliquer à son amie Victorine, intriguée par ses choix, ce que représentent les couleurs pour lui. L’oncle de Julien le met en relation avec Ludovic Piette, un impressionniste du nord de la Mayenne. Piette est l’ami de Pissarro. Julien aimerait voir Pissarro travailler ses couleurs. Les trains vers Mayenne, vers Paris, rendent ses rêves accessibles.

    C’est ainsi que nous entrons dans un univers impressionniste où se profilent en filigrane quelques tableaux de Piette et de Pissarro. Les thèmes du jardin, des marchés, des trains y trouvent aussi leur place…

    20,00
  • La ville atlantique

    Une ville ouverte sur la mer… Saint-Nazaire…
    Décennies 1950, 1960…

    « Ville glissant de partout à la mer » écrivait Julien Gracq.
    Une enfance et une adolescence dans cette ville, indissolublement liées avec le port, les plages, l’horizon derrière lequel on imagine les Amériques. Et puis le damier des rues que l’on arpente
    pour aller à l’école primaire, à St Jo, pour faire un tour en ville, le soir, après le collège. Les librairies, nombreuses, distribuées autour de l’axe central, l’avenue de la République, la rencontre d’un libraire passionné, qui à l’enseigne du « Tiers-livre » accueille, conseille, guide.
    Vivre dans une ville fait ressentir celle-ci comme le prolongement de son corps. On est un élément d’un organisme et on bat avec lui. Impossible de s’abstraire du pouls de la ville. Sortir, c’est  étendre les jambes à travers les rues. Celles-ci sont presque soi et on ne saurait se dissocier de leur topographie.
    Tout part de l’immeuble aux carreaux de céramique jaune, le père du narrateur tient un magasin de photographie, véritable univers avec la boutique, le studio, le laboratoire… Et un jour, il faut quitter ce centre-ville, pour un quartier chic, à la sortie de la ville, face à la mer.
    « La mer, la mer, toujours recommencée ! » écrivait Paul Valéry.

    16,00
  • Meurtre sur l’Isère

    La rivière Isère fut le théâtre d’un drame. Un problème se pose : était-ce un accident ou un meurtre ? La justice a tranché pour la seconde solution. Sophie, la condamnée, a toujours clamé son innocence. En vain. Certains témoignages, jugés parfois tendancieux, l’ont envoyée derrière les barreaux. La voici qui sort de la Maison d’Arrêt de Valence, ayant purgé sa peine. Ne va-t elle pas chercher à se venger ? Déjà un des témoins clés disparaît. Alors, en parallèle aux enquêtes de police infructueuses, le père de la première victime, Yves Duchesne, propriétaire du restaurant le San Vito, place Jean Jaurès, embauche John Becker, détective privé, ancien flic canadien, qui va remuer ciel et terre pour dénouer les fils de cette intrigue.

    15,00
  • Cette nuit-là, la Sorcière…

    Des ombres furtives dans un chemin creux, des coups de feu inquiétants, une famille désemparée, un orage menaçant, les images de cette nuit irréelle de 1794 resteront longtemps dans votre mémoire tant le suspense est intense. Sans aucun temps mort. La Sorcière, fascinante et redoutée, hante les esprits et agit comme un aimant diabolique sur toute une région qui a perdu ses points de repère.

     

    12,00
  • Requiem pour un Chef

    A nouveau le thème de la musique, des orchestres,
    du lourd écho des églises… Dans Le vol du tuyau
    d’orgues, larcins et crimes se précipitent vers des abîmes
    plus sombres, sur fond de pédocriminalité. Ici, c’est la
    discussion, l’écoute, à travers des groupes de parole où
    le profil de l’assassin finira par surgir.

    18,00
  • Un passé imparfait

    Dans ce contexte, l’avocat incarne un privilégié nanti et
    froid. Un notable dédaigneux, indifférent. Les autochtones
    se liguent contre lui. Se succèdent les menaces, les intimidations.
    Durieux est harcelé, victime de dommages matériels.
    Louise, une jeune femme « mal mariée » qui travaille
    à son service, sera son seul soutien. En réalité, une affaire
    bien plus complexe se cache derrière ce rejet apparemment
    général…

    22,00
  • Le vieil homme qui parlait à la mer

    Oléron à la fin des années 60. Un jeune Parisien,
    Morgan, passe ses vacances sur l’île. Un soir,
    alors qu’il revient d’une promenade le long de la côte,
    il aperçoit une silhouette étrange sur la plage. Celle
    d’un vieux marin, faiblement éclairé par une lampe
    tempête. L’homme, tourné vers l’océan semble
    s’adresser à quelqu’un. Mais à qui parle-t-il vraiment
    ? Et qui attend-il en vain chaque soir ?
    Lorsque le vieil homme débute son histoire,
    Morgan est alors plongé dans des contes et légendes
    dont seul l’océan connaît les secrets.

    18,00
  • Je me souviens de Lise

    En 2014, Régine Albert commence à publier une série sur la « Mémoire », dans un souci de faire perdurer ses souvenirs liés à un passé qui ne cesse d’évoluer. Jusqu’à présent, huit recueils sont parus aux Editions Echo-Optique commencés avec Les Arbres de ma Mémoire, les deux plus récents sont consacrés aux Herbiers d’hier et d’aujourd’hui.

    Après les souvenirs liés à sa grand-mère, elle consacre ce nouveau récit à la vie de sa mère Lise. Emouvant, ce retour au passé nous fait revivre une époque récente, mais bien éloignée de la vie que nous menons aujourd’hui où le progrès nous invite à chaque coin de rue.

    12,00
  • A l’ombre de rumeurs

    Nous sommes au printemps 1988, après trois années de brouille, Isabelle revient chez ses parents viticulteurs en Anjou.
    Son départ brutal à Paris, moins d’un mois avant son mariage, a laissé son entourage sans aucune explication. Ce retour au pays ravive de vieilles histoires de famille, des rumeurs qui courent encore dans le village, concernant l’arrestation d’un jeune Résistant pendant la guerre. C’est ainsi l’occasion pour une jeune génération d’approcher la période trouble de l’Occupation.

    En toile de fond, nous découvrons également l’actualité de la fin des années 80 et les passions qui animent les personnages, notamment Isabelle qui ne peut s’empêcher de s’étonner que,
    sans les moments dramatiques qu’elle a traversés, elle n’aurait jamais croisé le chemin de Marc.

    24,00