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Femmes Angevines sous la IIIe République
Sous la IIIe République et jusqu’en 1945, les possibilités des femmes sont limitées tant par leur situation légale que par l’opinion publique.
Cependant des femmes ont voulu, malgré les contraintes, être présentes dans la société, avoir une vie publique, agir pour mener à bien leurs projets dans leur domaine de prédilection, les arts, les lettres, l’enseignement, l’action sociale, la santé ou le sport.
L’ouvrage met en lumière des personnalités féminines angevines – certaines célèbres, la plupart peu connues – dont l’action, hors du foyer a contribué à faire évoluer les représentations mentales.
Ces pages brossent, sur deux générations, de beaux portraits de femmes engagées pour le droit et la justice sociale. Avant la Grande Guerre émergent les figures de Félicité Glétron et de Marie Robert ou de Lucie Chenot-Laboulais et ses consœurs dreyfusardes. Dans l’entre-deux guerres, celles de Germaine Couchoud-Boumard et de Lucie Louïse-Canonne dont l’investissement en faveur des familles pauvres est reconnu publiquement.
A quelques exceptions près, comme Louise Mulot, Georgette Boulestrau, certaines religieuses et institutrices, qui se sont forgé leur destin, nos dames appartiennent à la bourgeoisie. Elles ont bénéficié d’un milieu familial porteur et probablement d’une éducation soignée comme en témoignent leurs écrits.
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Art et la Vie (L’)
Il est des oeuvres qui accompagnent notre quotidien. Situées au bord des rues, des routes, des chemins ou dans des lieux de rassemblement, communautaire, associatif, commercial, dans la campagne, les villages, les bourgs, les villes.
On ne les remarque pas toujours ou bien elles se font oublier. Peintes par des créateurs autodidactes, confirmés, ou professionnels, oeuvres collectives ou personnelles, elles rendent compte de la diversité et du dynamisme de l’art populaire à travers les époques.
Nombre de celles que vous découvrirez dans cet ouvrage n’existent plus, recouvertes, effacées, détruites. D’autres ont subi les outrages du temps et sont vouées à la disparition. Les photographies n’en sont que plus précieuses pour témoigner de cette forme de création demeurée méconnue.
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émile Joulain et La Boule de Fort
Quand il’ont dormî ein somme,
Par les bieaux dimanch’s d’été,
Ah ! faut vâr tous les bonhommes
S’am’ner à la » Société » !Emile JOULAIN
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Mille et un châteaux du Maine-et-Loire – Dans les années 1900
Combien y a-t-il de châteaux, manoirs, gentilhommières et autres belles demeures en Maine-et-Loire ? Difficile question à laquelle peu ont osé répondre : soixante-dix? trois cents ? mille cinq cents ? La seule certitude est que notre département est d’une richesse historique et patrimoniale incroyable ! Et que seul un passionné comme Luc Simon pouvait tenter humblement de livrer, enfin, un inventaire de tous ces châteaux, manoirs, demeures qui parsèment l’Anjou.
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La Sarthe en mots croisés
Retrouvez textes, contes, informations, sur les curiosités et le patrimoine de la Sarthe
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Vendée, Terre de cinéma – « Mon » dictionnaire du 7e Art en Vendée
La Vendée est riche en tournages de cinéma, et les références ne manquent pas, permettant même de remonter aux sources balbutiantes du 7e Art : des frères Lumière et l’ère du muet aux Vacances du Petit Nicolas, tourné en 2013 à Noirmoutier, en passant par La terre qui meurt (1925), avec Madeleine Renaud à Sallertaine, La ferme du pendu (1945) à Pouzauges, avec Charles Vanel et Bourvil à ses débuts, Les vieux de la vieille (1960) en pays apremontais et vicomtois avec le mythique trio de
pépés anars Gabin-Fresnay-Noël… -
Angers fêtes et flonflons – Angers passion
Découvrir Angers par une nouvelle approche, un nouveau regard,
tel est l’objet de ce nouvel ouvrage proposé par l’Université Angevine du Temps Libre. -
La Vendée en mots croisés
Retrouvez des textes et questions sur les curiosités et le patrimoine de Vendée.
Quel aurait pu être l’autre nom de la Vendée ?
Que déguste-t-on lorsque l’on mange une gâche ?
Quel chef vendéen participa à la prise de Cholet ?
…
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A travers une histoire de la Vendée
Devant les yeux ahuris de Théo, le paysage se transforma lentement. D’abord enveloppé de brume, il se précisa peu à peu et de monstrueuses silhouettes apparurent au bord d’une lagune.
» Papy ! s’écria Théo terrorisé, en reculant de plusieurs mètres. Ce sont des dinosaures !
‒ Je sais, hurla papy Joseph, que cette effrayante vision ne semblait pas troubler. Cela n’a rien d’étonnant. Sais-tu que sur cette plage du Veillon, Gilbert Bessonnat a eu la chance de trouver des milliers de traces fossilisées de pattes de dinosaures sur les rochers ? Nous venons tout bonnement d’opérer un bond de plus de 200 millions d’années dans le passé. Théo, tout cela n’est peut-être que le fruit de ton imagination…
‒ C’est fantastique ! Si je pouvais voyager dans le temps, papy, rencontrer les hommes qui ont vécu en Vendée autrefois et revivre les grands événements de notre histoire…
‒ Tu voudrais remonter le temps ? Pourquoi pas ! »
De nombreuses illustrations, des cartes et des frises chronologiques vous aideront à situer ces événements dans le temps et dans l’espace.
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Le Maine-et-Loire en mots croisés
Retrouvez des textes et questions sur les mustères et les trésors de l’Anjou.
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L’Anjou du XVé siècle
Le XVe siècle en Anjou trouve encore écho de nos jours dans la mémoire collective. Qui ne connaît pas ces grands personnages : le roi René, Jeanne de Laval, Yolande d’Aragon ?
Au centre de l’Histoire de France, l’Anjou est alors partie prenante de la Guerre de Cent Ans, qui cesse en 1453. De grands hommes et femmes d’Anjou vont participer à la Résistance face aux Français, comme Yolande d’Aragon, puis à la libération de la France auprès de Jeanne d’Arc (Gilles de Rais, Pierre de Brézé, ou René d’Anjou).
La guerre terminée, le pays se reconstruit peu à peu, et la renaissance angevine, menée par celui qu’on appellera le Bon Roi René, offre un nouveau dynamisme à la région.
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Un mythe populaire angevin, le braconnier Rouget
Deux cents ans après sa naissance, Rouget le braconnier est devenu un mythe, dépassant le simple fait divers régional. En 1882, Ferdinand-Jacques Hervé-Bazin publie en feuilleton dans Le Petit Angevin « Rouget ou le braconnier d’Anjou », inscrivant ainsi son histoire dans l’esprit des grands romans du XIXè siècle.
Au fil des décennies, l’histoire de Rouget le braconnier se transmet de génération en génération, et inspire plusieurs auteurs (Dominique Lambert, Jules Davy, Louis Oury…) ou cinéaste (Gilles Cousin). Dans son village natal, il revit depuis 1971 par la pièce de théâtre écrite par Jules-Alphonse Davy en 1970, et jouée tous les ans à Daumeray devant une salle comble en hommage à la mémoire de ce mythe populaire angevin.