• Puis crac ! C'est la guerre aux Editions du Petit Pavé

    Puis crac ! C’est la guerre

    Entre 1914 et 1918, Jean Cailleau est sur le front. Son épouse, Pauline, l’attend à Denée en Anjou. Pendant tout ce temps, ils échangent plus de 1500 lettres !
    Cet ouvrage est exceptionnel de par l’ampleur de l’échange épistolaire et ses témoignages rares des épreuves vécues par un couple angevin d’origine modeste que la guerre a séparé.
    De la façon de gérer cette situation, de l’évolution de leur moral, de leur vision de la guerre, de la difficile éducation des enfants, de leur expérience de la violence, des épreuves matérielles – de leur vie quotidienne simplement – ils nous dévoilent tout ou presque de cette dure période qu’ils ont dû affronter… à l’unisson.

    Louis Thareaut, petit-fils des Cailleau, et Alain Jacobzone, historien, nous démontrent ainsi dans ce livre à deux voix que la mémoire et l’Histoire – l’hommage filial et l’analyse critique – peuvent faire bon ménage !

    22,00
  • La vie selon Genevoix aux Editions du Petit Pavé

    La vie selon Genevoix

    Assurément, aussi, l’écriture de Genevoix participe de l’art hybride, en procédant d’une peinture mise en musique avec des mots. Une forme d’art intégral, pour lequel la plume de l’écrivain, le long de son geste lent et sur, semble tout autant vibrer de la baguette du chef d’orchestre et du pinceau du peintre. Mais ceci explique peu.

    Dans sa préface accordée à Sous Verdun, première œuvre de l’écrivain, Ernest Lavisse, directeur de l’Ecole normale supérieure, écrivait : ” son œil voit tout, son oreille entend tout. » C’était là, en revanche, dire à peu près l’essentiel sur Genevoix, homme de grande humilité, indemne de tout narcissisme, que la brillance intellectuelle n’avait pas écarté du monde sensible ; un être poreux, ouvert, formidablement attentif, qui aimait la vie chez les vivants, bien au-delà de la sienne.

    20,00
  • Martin vivra aux Editions du Petit Pavé

    Martin vivra

    Dimanche 2 août 1914 : premier jour de la mobilisation générale.

    Jean assiste – sans en comprendre bien toute la portée – au départ de son père pour la guerre. Il se confie à Martin, son ours en peluche…

    10,00
  • 14-18 Loin du Front en Anjou aux Editions du Petit Pavé

    14-18 Loin du Front en Anjou

    On croit à une guerre rapidement victorieuse. Après les désillusions de l’été 1914, Angers s’installe peu à peu dans la perspective d’une guerre longue. Le sentiment du devoir patriotique, l’espoir sans cesse renouvelé d’une victoire militaire, la certitude de défendre le droit et la liberté font accepter les sacrifices humains et matériels : la liste des victimes s’allonge, le pain et le charbon se font rares et leur prix augmente. Mais si l’on excepte la courte dépression de l’été 1917, née de la conjonction des mauvaises nouvelles du front (échec sanglant de l’offensive Nivelle) et des problèmes de ravitaillement, le moral angevin se maintient, soutenu par une administration omniprésente et habile.

    Il fallut aussi, nécessaire solidarité en général bien admise, accueillir à Angers des milliers de réfugiés, internés et soldats ; à cette occasion, les Angevins ont souvent fait, étonnés ou agacés, la découverte de la différence. Finalement, Angers offre pendant le conflit l’image d’une société stable, bien intégrée dans l’ensemble national, où la République a soigné et renforcé son image.

    25,00
  • Au bonheur de la Poste aux Editions du Petit Pavé

    Au bonheur de la Poste

    Habitant Liré (Maine-et-Loire), Charles Guilbault a déjà 37 ans lorsqu’il est mobilisé en août 1914. La guerre va l’entraîner dans un véritable tour de France : Anjou, Lorraine, Camargue (hospitalisation), Artois, Verdun, d’où il va écrire des dizaines de lettres à sa femme Pauline Huguet. Aujourd’hui son petit-fils lui répond… [i]” Alain Douillard, dans ses réponses, propose ainsi bien plus qu’un simple commentaire des lettres de son grand-père… C’est une méditation profonde et riche, une œuvre littéraire au sens plein du terme, le dialogue entre un combattant et un écrivain… Il faut saluer non pas seulement le procédé rhétorique, même s’il est hors du commun. Il faut également admirer le style d’Alain Douillard, la qualité de ses réflexions, la personnalité dont il fait preuve, et le talent qu’il montre… Celles et ceux que l’histoire passionne… trouveront dans ce texte un mélange particulièrement heureux du documentaire et du commentaire, l’association inattendue d’un témoin et d’un écrivain. »[/i] Hervé de Charette

    20,00