• 100 ans de communistes en Loire-Inférieure et Atlantique aux Editions du Petit Pavé

    100 ans de communistes en Loire-Inférieure et Atlantique

    Ouvrir un livre sur le centenaire du parti communiste français c’est se confronter aussitôt aux grands bouleversements d’un siècle et aux évènements qui marquent l’histoire. Les cent voix ici mises à nu, méritent déjà d’être entendues. Certaines d’entre elles se sont éteintes à jamais. D’autres continuent de cheminer dans le grand concert du monde, aux prises avec l’idéal comme avec le réel. Toutes sont précieuses pour qui s’intéresse au mouvement des idées et à la vie politique de la Loire Atlantique.

    28,00
  • Le Héron meurtrier aux Editions du Petit Pavé

    Le Héron meurtrier

    Même si  « c’est un enfoiré, pire, un malhonnête », comme le déclare le peintre Jérôme Després, ce n’est pas une raison pour lui défoncer le crâne avec un héron en bronze. ” C’est bien fait pour ce salopard » surenchérit Héloïse de la Roirie, une artiste d’Ingrandes qui fait partie de ces peintres et sculpteurs  en contrat avec le galeriste. Aucun d’eux n’aime Vivien, qui les exploite.
    Pour les besoins de l’enquête, l’auteur va nous conduire d’un atelier à l’autre, à la rencontre d’artistes intéressants sinon sympathiques. Cela ne fait guère progresser l’enquête du commissaire. Même si l’on a vu, le matin du crime, le peintre Després montrer le poing à Vivien en sortant de la galerie. C’est une menace. L’aurait-il mise à exécution ? Un autre peintre, Yvon Laclanche, tourne autour de la galerie. A moins que ce ne soit autour de Suzy .
    Une certitude : le héron meurtrier est peut-être responsable, mais pas coupable.
    François Dauvergne

    19,00
  • 44 Célébrités de la Loire-Atlantique aux Editions du Petit Pavé

    44 Célébrités de la Loire-Atlantique

    Ce département immatriculé 44 dans la numération départementale française fut d’abord appelé Loire Inférieure, nom qu’il a conservé jusqu’en 1957. En 1972, avec la création des régions administratives et politiques, la Loire-Atlantique est rattachée de façon très discutée à la région des Pays-de-la-Loire.

    Ne choisir que 44 femmes et hommes, comme nous l’avons fait, parmi celles et ceux qui donnèrent ses lettres de noblesse à ce département signifie bien sûr exclure des personnalités tout aussi méritantes ; mais à travers ces pages, nous voulons surtout rendre hommage à ce département 44 avec des personnalités tant incontour-nables qu’oubliées qui ont contribué à sa célébrité.

     

    24,00
  • La complainte des indigents aux Editions du Petit Pavé

    La complainte des indigents

    Dans la complainte des indigents, un sans-abri est retrouvé, sauvagement assassiné, dans un square de la ville. C’est le début d’une série d’attaques visant des marginaux.
    Pendant ce temps la chorale a tenu son premier concert public à l’Île d’Yeu, lors du défi des ports de pêche. Enterrements et concerts vont alors se succéder.
    Le commissaire divisionnaire Barcos sollicite Adhémar Timon, ancien commissaire de Nantes à la retraite, pour venir épauler le jeune policier chargé de l’enquête. Timon va user d’un stratagème audacieux pour approcher au plus près la réalité de la rue et les conditions de vie des sans-abri et ainsi démasquer l’assassin.

    18,00
  • Rouge Cerise aux Editions du Petit Pavé

    Rouge Cerise

    Les moines ont pris un autre chemin de prière… Rémi marche à quelques mètres devant moi. Sa silhouette fuit… Nous nous frôlons. Son corps tressaille… Tout s’accélère…

    L’aventure prendra fin au domaine de la Risle, près du château de la Comtesse de Ségur où garçons et filles de la Compagnie des Jeunes Paumés se prêtent au jeu d’une écriture inventive.

    Trouver son chemin, voilà le dernier acte d’une vie… 

    Julie trouvera-t-elle sa maison de brique rouge ? Et Rémi sa véritable identité ?

     

    13,00
  • La maison dansante aux Editions du Petit Pavé

    La maison dansante

    Véronique Quatremain, enseignante-chercheuse en histoire de l’art et femme d’un politicien en vue, a disparu.

    Comme dans la Lettre volée, d’Edgar Poe, la vérité n’est-elle pas exposée, en évidence, dans la trame d’un quotidien où tout fait signe : poèmes, peintures, bâtis, photographies ? Tout comme la lettre est disponible pour celui qui voudrait s’en saisir, ève devra apprendre à décrypter les traces laissées par sa disparue, pratiquer le regard qui voit.

     Une intrigue policière d’apparence classique et réaliste où d’insistants échos inconscients révèlent peu à peu le vrai visage de Véronique.

     Une enquête picturale, littéraire et poétique dont ève sortira transformée.

     

    22,00
  • Mémoires des combats d'un écrivain-historien aux Editions du Petit Pavé

    Mémoires des combats d’un écrivain-historien

    Dans la première partie de cette œuvre, l’auteur raconte son enfance dans le Haut-Anjou pendant la guerre, son parcours d’ouvrier à ingénieur lors de la reconstruction de la France, ses débuts en littérature avec Les prolos, et surtout l’immense succès de Rouget le braconnier, drame authentique qui inspira V. Hugo pour Les Misérables.
    Ayant vécu, enfant, les massives fusillades d’otages, dont à Châteaubriant celle de Guy Môquet et d’autres à Nantes et à Bordeaux, sa réussite en littérature l’a incité à des recherches sur ces drames, initiative agréée par les autorités allemandes qui publièrent ses travaux en 1990, dans un livre bilingue.
    A partir de là, le Chancelier de l’Ordre de la Libération lui demanda en 1991 de lui remettre un dossier plus complet sur ces événements. C’est le début de la deuxième partie de l’œuvre où Louis Oury révèle les adversités qu’il dut surmonter, que ce soient les menaces de mort reçues par Gilbert Brustlein qui avait exécuté le Feldkommandant de Nantes et les trois tentatives d’assassinat de sa personne. Mais aidé d’Alain Besson qui publiait dans Ouest-France le suivi de ses travaux et leur officialisation, il brisa le black-out protégeant des fictions politiques et des réputations personnelles.
    On apprend les tractations du choix des otages par des vichystes, les exagérations et infamies propagées pendant un demi-siècle pour salir la Résistance, les turpitudes incitant Gilbert Brustlein à frapper le leader communiste Georges Marchais à Châteaubriant, la réhabilitation par le PCF de Spartaco Guisco exécuté en 1942 mais dont le corps avait été exhumé du Carré des Fusillés pour insinuer qu’il s’était planqué en Espagne à la Libération, et pour finir on se remémorera l’historique poignée de main réconciliatrice de Michel Jost, président de l’association des familles d’otages, au Résistant communiste Gilbert Brustlein qui avait exécuté à Nantes l’officier ennemi.

    24,00
  • Les gens du voyage aux Editions du Petit Pavé

    Les gens du voyage

    Jacky Blandeau, né à Nantes en 1970, auteur de trois romans, La croix de Loubrac, La gitane et le vent, Le murmure de Noël, membre de l’Association des Ecrivains Bretons. Il nous livre ici son quatrième roman, Les gens du voyage, qui nous entraîne dans une enquête policière suite à l’assassinat d’anciens du petit village de Saulniac. Le commissaire Michel Peltier et un ancien détenu Julien Legrand devront remonter dans le passé, briser les secrets du village, reprendre goût à la vie pour l’un, ouvrir son esprit pour l’autre, et découvrir ensemble les liens qui unissent les villageois et ces gens du voyage. « Est-ce que tout un chacun peut, un beau jour, se métamorphoser en un assassin ? En fait, elle connaissait déjà la réponse à cette question : oui, lorsqu’on se retrouvait face à l’ignominie des hommes, il n’y avait pas à hésiter ! Elle était là pour venger la mort d’un enfant ; le crime passé n’était-il pas suffisamment horrible pour qu’elle se fasse elle-même meurtrière ? Un gamin d’à peine trois ans… Un innocent… Mais pourquoi tremblait-elle, dans ce cas ? était-ce un signe de faiblesse ? Peut-être n’était-elle pas encore prête à tuer ? La haine farouche qui l’animait ne laissait pourtant planer aucun doute. Avaient-ils hésité, eux, les habitants de Saulniac-le-Haut ? Non, à aucun moment. Alors, son bras devrait s’abattre avec détermination, sans aucune ambiguïté. »

    20,00
  • Dérives Littorales aux Editions du Petit Pavé

    Dérives Littorales

    A quelques heures d’intervalle, Blaise et Nolwenn se précipitent vers Nantes et le littoral atlantique. C’est, pour chacun d’eux, une nécessité surgie des obscurités de l’enfance, une histoire à reconstruire par-delà les blessures et les manques… A quelques mois d’intervalle, l’auteur a fait naître Blaise et Nolwenn sur l’écran blanc de son ordinateur. Sans se douter que ses personnages allaient petit à petit prendre possession de lui, l’entraîner dans une dérive sans échappatoire… On a beau le vouloir ou y être encouragé par l’air du temps, il semblerait que l’on ne puisse s’affranchir du récit de soi… Dérives Littorales est le quatrième roman de François Bossis, qui a obtenu le prix des écrivains de Vendée 2008 pour son roman La tentation de la mer.

    20,00
  • Promenade en luttes

    Promenade en luttes, version intime, avec classes.

    « Promenade en luttes, version intime, avec classes. » n’est pas un, mais trois romans sous une même couverture. Entre autobiographie, autofiction, fiction et mémoires, ces textes racontent tous la même chose : la persistance, dans l’esprit d’un auteur, de ses vieux combats, de son esprit de contradiction, de ses luttes, passées, présentes, futures, de l’esprit de lutte, du poing toujours levé. très court résumé des histoires En théorie, après la lecture de ces textes, vous devriez en savoir un peu plus sur moi. Vous y apprendrez que je fus un jeune soixante-huitard, l’un des rares restés fidèles aux idéaux de cette époque, que je suis passablement révolté, que je suis un artiste, mais aussi une femme, aveugle, ou bien une femme de la haute, ou bien encore un fils d’industriel assez peu scrupuleux. Vous y apprendrez, finalement, que « je » est un « auteur ».

    20,00
  • Le quotidien d'un OS du journalisme aux Editions du Petit Pavé

    Le quotidien d’un OS du journalisme

    Très vite ce fut l’été dans une ville de Nantes désertée. Dans les rues, les événements somnolaient. L’actualité folâtrait sur la céte, entre Pornic et Le Croisic, via le pont de Saint-Nazaire. Moi, Rouletabille d’occasion, je ne profitais pas de ma liberté de reporter. Certes, les rues ombragées, les arcades ensoleillées et le marché aux puces de la place Viarme méritaient d’être photographiés et dépeints, mais mon acuité littéraire et visuelle flemmardait. Néanmoins, je papillonnais dans la torpeur de la cité en espérant tirer le suc de la moindre opportunité. é

    À la fin des années 80, Jean-Pierre Raison, chômeur en fin de droits, a dû accepter un petit boulot et rallier la cohorte nantaise de ces O.S. du journalisme que sont les correspondants locaux de la presse quotidienne régionale. Durant trois ans et demi, il a collaboré é Presse Océan, et é couvert é plusieurs quartiers de la ville de Nantes, l’équivalent d’un canton de 35 000 habitants. Cette activité journalistique, exercée comme travailleur indépendant, s’est révélée absorbante, et passionnante, mais fort peu rémunératrice.
    Sur un ton allègre, et dans un style imagé, tantôt lyrique, tantôt gouailleur, Jean-Pierre Raison nous livre ici un témoignage édifiant. Son récit, tour à tour émouvant, grinçant et drôle, sonne juste, et nous donne un vibrant aperçu de ce que font et vivent les quelque 30 000 correspondants locaux qui usinent dans nos journaux de province.

    18,00
  • La tentation de la mer aux Editions du Petit Pavé

    La tentation de la mer

    La rencontre avec un skipper, et un enfant qui entre à l’hôpital pour une leucémie, vont bousculer l’existence de Jean, éveiller en lui le désir du bleu infini de la mer…

    15,00