• Femmes de ma mémoire – Sortez de l’ombre…

    Il est dans une vie des personnes qui marquent notre chemin, que ce soit par un conseil, une rencontre, un geste, un soutien, un sourire…
    De ces personnes qui l’ont marquée, Régine Albert, écrivaine et herbretaise de toujours, a souhaité sortir de l’ombre 40 femmes dont elle nous offre ici les portraits.
    Elle nous propose ainsi des biographies personnelles, où chaque femme, célèbre ou inconnue, retrouve sa place dans l’histoire des Herbiers, cette ville qui a vu grandir et s’épanouir l’auteure.
    C’est ainsi que nous retrouvons au fil des pages, la remmailleuse de bas ; la modiste, professions aujourd’hui disparues ; la conteuse de l’émission « radio au pays » ; l’ouvrière de l’usine de chaussures ; l’infirmière candidate au Conseil Départemental…

    18,00
  • Ma liberté de parole

    « Je dis ce que je pense. Je l’ai fait toute ma vie, et ça fait avancer les choses ! » Le franc-parler de Mylène Canevet convainc ou agace. Abrupt, mais sincère, il donne toujours à réfléchir.

    Son enfance a forgé la personnalité de Mylène. Sa naissance, déjà, n’est pas la bienvenue et la petite fille puis l’ado seront ballottées d’une famille, d’une ville, d’un pensionnat ou d’une école à l’autre. « Souvent, j’en ai bavé, mais je ne regrette rien », résume-t-elle. Son entrée dans l’âge adulte l’amène à découvrir l’indépendance, la Jeunesse ouvrière chrétienne (JOC), la CFDT, les grandes amitiés… et son mari – 50 ans que Jean-Yves et elle se sont épousés. Lancée à plein régime dans l’univers associatif et l’éducation populaire, Mylène incarnera pendant de longues années l’association « Vivre Ensemble » à Trélazé. Elle va y accompagner un nombre incroyable de femmes puis de jeunes. Ce sera, simultanément, l’engagement politique, via le Parti socialiste.

    Cet ouvrage fut écrit avec la complicité d’Yves DURAND, ancien journaliste du Courrier de l’Ouest et de RCF Anjou. Également ex-chroniqueur à La Croix, il est membre de l’Académie des Sciences, Belles Lettres et Art d’Angers (49).

    20,00
  • L’animal vertige

    Stella Nodari écrit sous l’empire d’une réelle nécessité intérieure : dès qu’on entre dans sa poésie, on est emporté par la force d’une quête d’absolu absolument authentique. Elle assume magnifiquement sa féminité et, bien au-delà comme en-deçà de la division des sexes, l’animalité sublime de l’être désirant. Elle met en mots, sans tabous, sous le règne souverain de l’intensité, dans un régime d’érotisme qui se transcende en Amour Fou de la Vie, ce que l’on se cache généralement à soi-même. Aussi peut-elle écrire, sans hypocrite pudeur, et sans impudicité vulgaire :
    j’aime quand / je deviens marée haute et slip baissé…
    moi boire à toi […] boire à ta langue / comme à de
    l’eau de fou de feu / de l’eau de foutre au ras du puits.
    « Je suis la route libre et la chair », écrivait Joyce Mansour. Stella Nodari est aussi une « route libre ». Elle ose l’être. Hors des chemins tracés de routes prétendument libres, elle entre-tisse hardiment, inséparablement les voies inverses : sublimation vitale de la chair, incarnation de la transcendance vécue. On lui envie sa liberté, sa complétude… On est un peu honteux de ne pas avoir son audace. On la regarde avec respect.
    J.H.

    10,00
  • Femmes Angevines sous la IIIe République

    Sous la IIIe République et jusqu’en 1945, les possibilités des femmes sont limitées tant par leur situation légale que par l’opinion publique.

    Cependant des femmes ont voulu, malgré les contraintes, être présentes dans la société, avoir une vie publique, agir pour mener à bien leurs projets dans leur domaine de prédilection, les arts, les lettres, l’enseignement, l’action sociale, la santé ou le sport.

    L’ouvrage met en lumière des personnalités féminines angevines – certaines célèbres, la plupart peu connues – dont l’action, hors du foyer a contribué à faire évoluer les représentations mentales.

    Ces pages brossent, sur deux générations, de beaux portraits de femmes engagées pour le droit et la justice sociale. Avant la Grande Guerre émergent les figures de Félicité Glétron et de Marie Robert ou de Lucie Chenot-Laboulais et ses consœurs dreyfusardes. Dans l’entre-deux guerres, celles de Germaine Couchoud-Boumard et de Lucie Louïse-Canonne dont l’investissement en faveur des familles pauvres est reconnu publiquement.

    A quelques exceptions près, comme Louise Mulot, Georgette Boulestrau, certaines religieuses et institutrices, qui se sont forgé leur destin, nos dames appartiennent à la bourgeoisie. Elles ont bénéficié d’un milieu familial porteur et probablement d’une éducation soignée comme en témoignent leurs écrits.

    29,00
  • Je me souviens de Lise

    En 2014, Régine Albert commence à publier une série sur la « Mémoire », dans un souci de faire perdurer ses souvenirs liés à un passé qui ne cesse d’évoluer. Jusqu’à présent, huit recueils sont parus aux Editions Echo-Optique commencés avec Les Arbres de ma Mémoire, les deux plus récents sont consacrés aux Herbiers d’hier et d’aujourd’hui.

    Après les souvenirs liés à sa grand-mère, elle consacre ce nouveau récit à la vie de sa mère Lise. Emouvant, ce retour au passé nous fait revivre une époque récente, mais bien éloignée de la vie que nous menons aujourd’hui où le progrès nous invite à chaque coin de rue.

    12,00
  • Le refuge des vaillantes aux Editions du Petit Pavé

    Le refuge des vaillantes

    A la faveur de circonstances particulières, le héros, Persona Nota, obtient de sa voisine d’appartement l’autorisation d’inspecter, en pleine nuit, les pièces de son logement. A l’intérieur, au milieu d’un séjour dévasté, il tombe nez à nez avec un mystérieux trio de jeunes femmes, que la maîtresse des lieux a recueilli.

    22,00
  • Mes trois femmes aux Editions du Petit Pavé

    Mes trois femmes

    Sophie, Valérie, Antoinette…
    Les trois femmes de Sébastien Renveau…
    Trois femmes au destin cruel qui reposent toutes au cimetière de B…
    Quel sort semble s’acharner ainsi sur Sébastien ?
    Au crépuscule de sa vie, il se livrera à ses enfants et petits-enfants.
    Oyez ! Bonnes gens. Je vous livre donc ma vie, mais sachez que je la livre d’abord à ma descendance, car savoir d’où l’on vient peut aider à se guider vers où l’on va.

    Ainsi, au fil des pages, nous suivons dans leur vie, dans leurs amours, Sébastien et ses trois femmes, dans un halo de mystère, jusqu’à un final inattendu, comme seul Jean Goblet sait nous y conduire.

    16,00
  • Maryvonne

    Maryvonne, Janine, Berthe et les autres

    Ce sont des jeunes femmes, entre 16 et 25 ans. Issues de milieux populaires, elles travaillent chez des commerçants du centre ville de Saint-Nazaire. Toute la journée elles font les lits, la poussière, elles balaient, nettoient la salle de bains, les toilettes, elles aèrent, cirent les parquets, passent l’aspirateur, elles font les courses alimentaires, préparent le déjeuner, mettent la table, desservent, font la vaisselle, elles mettent le linge dans la machine à laver, puis l’étendent, le ramassent, le repassent, elles cousent, reprisent, elles répondent aux multiples demandes des enfants, les surveillent, les changent, les font manger quand ils sont en bas âge. Elles vivent avec.

    Le livre raconte la vie avec ces jeunes femmes. Portraits de personnages mais aussi d’un milieu, d’une famille et du narrateur, le récit vibre, souvent enjoué.

    10,00
  • Rosa

    Rosa, le Retour !

    Rosa Luxemburg, née Polonaise, est une militante socialiste et communiste au sein du Prolétariat — un parti socialiste révolutionnaire — et à la Deuxième Internationale. Expatriée en Allemagne, elle défend les militantismes de Karl Marx et la révolution russe de 1917, tout en restant clairvoyante sur l’autoritarisme bolchevique.
    Emprisonnée à plusieurs reprises, elle sera assassinée en 1919.

    12,00
  • De l'utilité du Sénat et de l'écologie aux Editions du Petit Pavé

    De l’utilité du Sénat et de l’écologie

    Corinne Bouchoux plaide pour une présence active dans les institutions afin de faire avancer les causes qui lui tiennent le plus à cœur : démocratie, justice, lutte contre les discriminations, défense de l’environnement et transition écologique.

    18,00
  • En Compagnie des Indes aux Editions du Petit Pavé

    En Compagnie des Indes

    Trente cinq ans après, Anouk refait le voyage pour éprouver à nouveau L’Expérience de l’Inde. C’est alors que lui revient en mémoire le film dont elle ne peut plus interrompre les images : le labyrinthe affolant des villes, les odeurs, les couleurs, les rencontres avec les hommes et les dieux, ses amours, ses peurs et ses questions.

    13,00
  • Retour au village natal aux Editions du Petit Pavé

    Retour au village natal

    Dans les années 60, la campagne mayennaise forme un monde à part, une sorte d’enclave au sein de laquelle s’est ancrée une population avide de grands espaces et de calme. Pour un étranger au pays, la vie s’y déroule paisiblement, au rythme lent des activités agricoles, et pourtant, depuis quelques années… par le biais de la télévision, le monde moderne frappe de plus en plus fort à la porte. Il cohabite désormais avec des traditions ancestrales qui refusent de mourir. Surviennent les événements de mai 68 et leurs cortèges de manifestations revendicatives qui, dans les villes, font table rase de hiérarchies solidement établies. Débarquée de force dans les foyers ruraux par les canaux de la télévision ou de la radio, cette révolution citadine s’introduit même dans les villages les plus reculés, mais semble si éloignée des préoccupations quotidiennes des gens du cru !

    Quel est donc ce corbeau qui inquiète la population avec ses lettres anonymes ? Que cherche celui que l’on appelle « le faiseur d’enfants », ce personnage issu de superstitions ancestrales ?
    Possède-t-il un réel pouvoir pour rendre fécondes les femmes stériles ?

    Modernité et traditions ne font pas toujours bon ménage !

    20,00