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Petites histoires de la plaine vendéenne
Les histoires de ce recueil pourraient appartenir à une comédie de mœurs. Elles sont ou complètement inventées ou tirées de petits faits vrais, de paroles entendues, d’anecdotes ou de remarques : autant d’éléments de la chronique minimaliste d’un terroir. Elles s’inscrivent dans un contexte plus ou moins daté, participent d’un folklore : l’alambic, le vin chaud, le patois, les galipotes, les « dormeurs », le préfou, les bouilleurs de cru, etc. ; décrivent des comportements, ruraux et ruralités ; définissent des rapports : à la superstition, à la religion, à l’étranger, à l’étrange…; des caractères, comme la rouerie, la forfanterie ; ou mettent en scène des pratiques comme la plaisanterie, la farce… Les histoires sont éternelles, les hommes en ont besoin et, tant qu’ils vivront, ils voudront agrandir, modifier ou améliorer une réalité insuffisante. Si ces contes se réfèrent à un espace géographique précis, la plaine vendéenne, ils peuvent être « transportés » ailleurs, dans d’autres régions, voire d’autres pays.
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Ernesto « Che » Guevara – Quelques vérités révolutionniares
é Je me sens quelque chose dans la vie, poussé non seulement par une force intérieure puissante mais aussi par une capacité é l’insuffler aux autres.
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Créer deux, trois, de nombreux Viet-Nam. La haine comme facteur de lutte.
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Si vous étes capable de trembler d’indignation é chaque fois que se commet une injustice dans le monde, alors nous sommes camardes. éSa é postérisation é et sa fin tragique en ont fait un mythe, en particulier pour la jeunesse. Mais qui connaét vraiment Ernesto Che Guevara ?
L’auteur de cette biographie dresse le portrait, sans concessions, du révolutionnaire irréductible qui voulait éuvrer é l’avénement d’un homme nouveau. Loin des idées reéues, des enthousiasmes béats, il explique la pureté de ses intentions, sa loyauté, son courage jusqu’é son entrée au Panthéon révolutionnaire. -
Le cœur qui tremble
Lou se prétend grand reporter mais en réalité, il trie les dépêches de l’AFP pour un mauvais journal. Il ment, il fabule pour rompre son ennui, et accessoirement pour séduire. Et puis Lou va entrer dans la vraie vie, par l’intermédiaire de deux rencontres…
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Contes Traditionnels Tchèques
Les contes sont souvent le reflet de la culture d’un pays. Ici Jacques Macé, passionné de la culture des pays de l’Est, nous présente ces contes traditionnels tchéques…
C’est é travers des contes populaires et fantastiques que vous découvrirez les valeurs de ce pays, comme l’amitié et le travail collectif avec Le Long, Le Large et Le Clairvoyant , le triomphe de la ruse, de la malice et de l’intelligence avec le Roi Putois et les Méchantes fées des Bois. Vous apprendrez aussi qu’il ne faut parfois pas trop demander avec Otesének, et qui de La Raison et La Chance obtient le meilleur résultat.
Un cahier d’activités ludiques compléte la découverte de ces contes et de ce pays.
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Si loin, si prés
Si loin, si près de sa jeunesse, des autres, de soi-même… Avec le temps, travailler, vivre, aimer ne devient pas plus facile. A quelle distance se tenir ? En 2009, année de crise, Adèle, Luca, Etienne et Carole se croisent à Angers. Le feu prend au château et dans leurs vies.
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Ombres portées, ombres errantes
Ombres portées, ombres errantes propose une poésie d’une grande tenue et d’une grande tension, une écriture épurée, ascétique. Déjà dans La Nuit, l’autre (1996), Michel Passelergue se référait à Cioran et à cette angoisse infuse qui nous tient lieu et de science et d’intuition. Ici, la brûlure des images enflamme une économie de l’obscuré; l’insolite dit é voix rauque, elliptique, l’essentiel de notre condition, l’état de sursis permanent qui est notre lot ; c’est une œuvre réfléchie, exigeante, austère, où l’on serait bien en peine de relever le moindre relâchement pour dire le travail sans relâche de la mort dans le vif. La force de cette vision qui ne s’écarte jamais de sa visée est impressionnante.
J.H
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Le rendez-vous de Sainte-Pezenne
Las de ses pérégrinations administratives, le commissaire Yvan Martineau, solitaire et un peu taciturne, a fini, il y a quelques années, par poser ses valises à Niort [Deux-Sèvres] où il espère enfin se fixer définitivement. Une mort rendue suspecte par l’envoi de lettres anonymes va l’amener à enquêter dans le quartier, pourtant calme d’ordinaire, de Sainte-Pezenne, où sa sagacité va, encore une fois, être mise à l’épreuve et sa vie sentimentale durablement bouleversée.
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La Citadelle effondrée, suivi de la Cinquième saison
La Citadelle effondrée, suivi de La Cinquième Saison, est son sixième livre de poésie. Centré sur la perte brutale et irréparable de l’être cher, le poète Bernard Desmaretz, ce diptyque fait entendre deux tonalités différentes. Du premier ensemble se dégage, avec la force d’une douce clarté sur un fond tendu de deuil et d’obscurité, l’aura bienveillante et rassurante de l’être tendrement aimé. Dans le second, la figure lumineuse de Bernard s’efface, tandis que s’impose celle – âpre et sombre – de Marie, dont la constance dit l’amour déchiré dans un lamento pathétique et pudique.
Les noms de Marie et Bernard Desmaretz sont inséparables de la revue très importante de Poésie » Retro-Viseur » – 114 numéros publiés jusqu’en décembre 2009, date de cessation de la publication. Ce recueil de Marie Desmaretz est né du choc provoqué par la brutale disparition de son époux Bernard, animateur de la revue « Rétro-Viseur » fondée par le poète Pierre Vaast.
Comme des buis de sagesse – entre nigelles et bleuets bohémiens – nous voulions seulement tranquillement grandir.
A la cadence des soleils et des pluies habanéras.Un arbre geint, nauséeux, dans la houle forte de l’hiver.
écorchée, elle écoute sa misère et celle, métallique, de la barrière.
C est sa propre plainte – elle ne le sait que trop – qui lui rend écho. -
Commissaire Bourbonnais – L’homicide de Saint-Yorre
Une agression devant l’usine d’embouteillage de Vichy-Saint-Yorre. Un commissaire, de retour en France après une longue émigration au Canada, en poste à Vichy dans le bel immeuble de l’avenue Victoria. Au gré des méandres de l’enquête, il retrouve ses racines en Bourbonnais, Berry et Sologne. Il apprécie la visite du pays de ses ancêtres et la compagnie des gens de ces provinces. S’il se réserve les investigations à Varennes-sur-Allier ou Ivoy-le-Pré, le commissaire délègue à ses adjoints, la sympathique inspectrice principale Maryse Ancelin et le bouillant inspecteur Lacaze, les recherches à Lapalisse, Saint-Germain, Saint-Pourçain, Creuzier ou Vichy. Et il n’est pas interdit d’accepter un petit café ou un pastis qui aident à délier les langues.
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Flocontes de Noël
La tradition des contes de Noël est toujours aussi vivante, mais si on retrouve ici quelques personnages familiers (le père Noël bien sur, mais aussi la mère Noël, ou le petit chaperon rouge), ils trouvent dans ces pages jeunesse et modernité. Des contes de Noël qui évoquent des choses graves : grèves, Tchernobyl, alcoolisme, enfants victimes des guerres, femmes qui aimeraient que leur mari assume leur part des tâches quotidiennes… ce n’est pas ordinaire ! Et pourtant, d’un bout à l’autre -ou presque- on garde le sourire. Les Flocontes de noël : Dis, pourquoi ? Pourquoi les petits enfants n’ont-ils pas toujours les cadeaux qu’ils ont commandés ? Le grand sapin parisien Le traîneau du Père Noël Le Noël du Petit Chaperon rouge Les bombes de Noël La colère de la Mère Noël
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La prophétie des amants d’Urles
Dans ce monde fantastique et médiéval, une prophétie annonce un amour passionnel entre Geoffroy, le jeune prince du royaume d’Urles, et Jeanne, une jeune ruralitène.
Jusqu’à l’âge de vingt ans, les deux jeunes gens vont s’aimer comme jamais, apprenant chaque jour à mieux se connaître, à dépasser de nouvelles frontières.
Mais comme la prophétie l’avait annoncé, à vingt ans le jeune prince tombe dans un coma sans fin qui amènera la destruction du royaume. Un coma d’où seule Jeanne peut le délivrer en partant dans une longue quête où elle affrontera démons imaginaires, et questionnements personnels.
Selon la prophétie, elle ne délivrera le prince qu’en offrant à celui-ci le bien le plus précieux qu’elle porte en elle…