• Délits d'encre n°20 aux Editions du Petit Pavé

    Délits d’encre n°20

    Quel vision la société de 1900 portait sur le futur, et particulièrement sur l’an 2000. Quelles craintes, quels espoirs, quel imaginaire ? A travers une série de carte postale ancienne de Jean-Marc Côté, commentée et expliqué par William Cherbonnier, le sujet est abordé de manière simple et ludique.
    Un texte de Jules Verne sur la ville du futur nous rappelle son génie.
    Tandis que des écrivains actuelles apportent leur regard sur le XXe siècle…

    10,00
  • Délits d'encre n°22 aux Editions du Petit Pavé

    Délits d’encre n°22

    Au cours de cette lecture ” au long cours » les auteurs renouent le fil des mots et nous offrent à partager leur monde, ” les mots sont un monde enfermé dans un Homme », pour paraphraser Hugo.

    Les mots s’échangent, nous construisent, nous éduquent, nous protègent, se révoltent parfois, crient nos colères et versent nos larmes.
    Les mots et les armes, ça tue pareil, comme le chante Ferré, les mots et les larmes ça vous chavire le cœur pareil, les mots devraient être décrétés d’utilité publique, ne pas voter ce décret est un délit.

    10,00
  • Délits d'encre n°24 aux Editions du Petit Pavé

    Délits d’encre n°24

    Les poètes maudits ! par Paul Verlaine

    Suivi d’un hommage à Antonin Artaud et d’un essai sur la folie des poètes.

    10,00
  • Délits d’encre n°4

    Il était indispensable à l’occasion du tricentenaire de la naissance (1713) de Diderot, qui fut condamné et emprisonné pour “Délit d’encre”, que nous rendions hommage ) cet écrivain-philosophe qui révolutionna son époque par sa pensée et inspira par ladite pensée beaucoup de révolutions

    10,00
  • Entre Autres aux Editions du Petit Pavé

    Entre Autres

    Au terme d’une large sélection via internet, à travers une diversité de styles, caractériustique d’un recueil collectif, du classique au slam, en passant par le haïku et le rimiau d’Anjou, le lecteur sera frappé de constater la multitude des facettes de l’Autre ; et la singularité du handicap n’y fait pas défaut.

    Enfin, fidèle à sa démarche, qui ambitionne de montrer par la parole et le spectacle une poésie vivante et accessible à tous, le groupe a voulu joindre au présent recueil un enregistrement CD d’un certain nombre de poèmes accompagnés de musique, comme il l’avait fait pour son tout premier recueil.

    14,00
  • L'apocalypse maintenant ? aux Editions du Petit Pavé

    L’apocalypse maintenant ?

    Cependant, pour citer le poète René Char : Le réel parfois désaltère l’espérance. C’est pourquoi, contre toute attente, l’espérance survit. Le lecteur trouvera donc également dans ce recueil des raisons d’espérer et des notes d’humour.

    Car, contrairement à ce que beaucoup pensent, l’apocalypse n’est pas la fin de tout, et en particulier la fin du monde, mais une mort, certes à maintes choses et habitudes – dont le superflu –, qui laisse place à une vie nouvelle et une humanité nouvelle.

    16,00
  • Miroir sans issue aux Editions du Petit Pavé

    Miroir sans issue

    Michel Passelergue est un poète grave, profond, sévère. Sa poésie est sombre, parce qu’elle ne fait pas la moindre concession au relâchement spirituel, au confort, et conformisme, émotionnel.
    Son regard, dans ce nouveau recueil, Miroir sans issue, est rivé sur la mort. Mais, dirait-on, pour mieux la fasciner. Pour fasciner la Mort, par des « poème[s] à folie haute » (I – 2). La profondeur contemplative de Michel Passelergue s’exprime en formules quasi magiques, en charmes d’envoûtement, dans des petits textes serrés, denses, dépouillés, d’une grande force et portée.
    Il s’agit non pas de nier l’angoisse, mais de l’inverser, en puissance de vie : « Vivons de notre absence » (II – 1), « A la succion du silence, opposer […] féeries entre les mots » (I – 3). L’œuvre traverse – et, de ce fait, transcende par son mouvement propre, dans la solitude assumée de l’être mortel – la nuit, la vie, « la mort en nous, qui respire » (I – 3). La perte, aussi tragique soit-elle, est alors le chemin de l’Ailleurs, d’un Ailleurs qui transgresse toute perte, et qui ne peut se perdre :
    « Sois nos yeux, transparence du passé dans
    tout ce qui s’éveille. Deviens nos mains,
    présence évanouie, pour toucher l’envers
    interdit du temps. » (VI – 3)
    La fonction du poète se présente comme toute simple, tout humaine, et nécessaire : « Devant des miroirs éteints […], il endurait l’opaque » (III – 3). On pense à la leçon morale de Reverdy, que Michel Passelergue semble avoir faite sienne : « La valeur d’une œuvre est en raison du contact poignant du poète avec sa destinée. » (Le Gant de crin).
    J. H.

    10,00