• Un Rital aux carrières de Voutré - Mystère en kabylie aux Editions du Petit Pavé

    Un Rital aux carrières de Voutré – Mystère en kabylie

    Voutré, 1965. 18h50. Le train en provenance de Paris entre en gare. Parmi les quelques voyageurs qui descendent, un homme, flanqué d’un long imperméable beige, s’attarde sur le quai. Il n’a pour seuls bagages que deux valises. L’inconnu, peu loquace, fait pourtant rapidement parler de lui. D’abord à l’hôtel du village, où il prend une chambre, puis à la carrière où il est embauché comme conducteur d’engin dès le lendemain. Il faut dire que le mystère plane autour de lui. Pourquoi est-il venu se perdre dans ce coin isolé ? Que vient-il chercher ici ? Pourquoi a-t-il un pistolet sur lui ? Et comment se fait-il qu’il soit étroitement mêlé à plusieurs événements dramatiques qui viennent, curieusement, bouleverser la vie paisible des habitants de Voutré ? C’est dans le cadre grandiose des carrières de Kabylie – un site industriel dont l’histoire est si longue, si riche, qu’elle ne trouve aucun équivalent dans le département rural de la Mayenne – que se déroule cette action aux rebondissements multiples. L’occasion pour Jacques Cousin – et pour nous, lecteurs – de saluer le travail dur et périlleux des carriers, mais aussi de nous immiscer, pour quelques pages, dans leur vie de tous les jours, où solidarité et fraternité sont les maîtres mots.

    20,00
  • Les derniers tisserands du Berry au Bourbonnais

    Les derniers tisserands du Berry au Bourbonnais, résistance et agonie

    Le métier à tisser automatique fut une merveilleuse invention, en 1805, du Lyonnais Joseph Marie Jacquard. Utilisant une technique nouvelle de cartes perforées, il allait révolutionner l’artisanat textile, engendrer la prospérité des soyeux et de leurs confections prestigieuses : galons, parements d’uniformes au service des cours royales et des armées, étoles pour l’église orthodoxe, etc. Il fit le bonheur des uns… ruinant les autres, petits tisserands du Berry qui vivaient modestement de la confection de toiles communes et n’avaient aucun moyen de réaliser de coûteux investissements. C’est leur lente agonie tout au long du XIXe siècle, que Claude Ferrieux a voulu décrire : elle aboutira à des mutations d’activité et au départ de ses aïeux vers le Bourbonnais et les mines de Buxières. Cette histoire romancée, qui débute avec les campagnes napoléoniennes, repose sur une documentation précise laissée par les ascendants de l’auteur : les écrits d’Eugène Ferrieux, et les recherches réalisées pendant de nombreuses années aux Archives de Bourges par Jules Ferrieux, à propos des troubles politiques et de leur répression à l’avènement du Second Empire.

    18,00
  • Les travailleurs de la Loire au XIXe siècle aux Editions du Petit Pavé

    Les travailleurs de la Loire au XIXe siècle

    L’histoire des riverains de la Loire et des gens qui travaillaient sur le fleuve entre Saumur et Bouchemaine, au XIXe siècle.

    25,00
  • Non

    Non, Monsieur le directeur !

    Joce Lyne nous plonge au cœur d’une travail en apparence banale. Dans ce petit monde, on côtoie des personnages drôles, attachants ou dérangeants. Les relations sont parfois tendues, les propos pertinents, cinglants ou empreints de bon sens. Par la lucarne des relations professionnelles, se trame un récit captivant où l’humanité des personnages se conjugue à merveille au cocasse des situations.

    16,00
  • Premier Cri aux Editions du Petit Pavé

    Premier Cri

    Dans les années soixante, l’enfance de Gabrielle, en Anjou, se teinte de la couleur de l’ardoise. De nombreuses épreuves sur son parcours l’amènent à voyager, puis à s’attacher à l’essentiel. A trente-huit ans, elle découvre enfin une multitude de bonheurs. Elle sourit, elle parle, elle chante, elle communique. Elle goûte sa nouvelle vie et veut vider sa mémoire de tous ses doutes et de ses blessures toujours latentes… « Je ne suis pas un grand lecteur mais j’ai lu ce livre d’une traite. Ce récit peut être universel, je crois que beaucoup de femmes peuvent se retrouver dans Gabrielle. L’écriture est forte. C’est une leçon d’amour… » P.C.

    16,00