• histoire des maraichers d'angers

    Quartier Saint-Laud d’Angers, Terre de Maraîchers

    Qui se souvient que le quartier Saint-Laud fut celui des maraîchers ?
    Ces hommes et ces femmes qui cultivaient les terres entre l’actuel quartier Saint-Laud et les bords de Loire de Sainte-Gemmes et des Ponts-de-Cé.
    Cet ouvrage est le récit de vie Théophile Rioux, maraîcher de Saint-Laud au XXe siècle, qui nous relate le rôle des cultivateurs au sein de ce quartier, la vie quotidienne, l’évolution du métier et sa disparition progressive.
    Avec ses mots, l’auteur revient sur l’Histoire d’Angers et du quartier Saint-Laud. Il nous présente ses rues, ses demeures, ses commerces. Il fait revivre des moments de sa vie personnelle, exemple d’une époque disparue, mais aussi les temps de guerre, ou de l’urbanisation progressive de ces terres maraîchères et horticoles.

    20,00 
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  • Famille Angevin dans la grande guerre

    Une famille angevine dans la Grande Guerre – Emile Briant, poilu de St-Florent-le-Vieil

    À Saint-Florent-le-Vieil, ce sont près de 700 lettres et cartes postales échangées dans la famille Briant. On découvre dans cette correspondance la vie quotidienne au service militaire puis bientôt au front, mais aussi à l’arrière.
    Émile surtout, rattrapé par la guerre pendant son service militaire au 146e RI de Toul, est au cœur des échanges avec sa famille, ses camarades angevins au front ou prisonniers et ceux du 146e RI, régiment d’élite qui prend part à tous les coups durs dans ce long conflit. Ses deux frères aînés, prêtres, dont l’un est missionnaire à Madagascar, sont également appelés.

    30,00 
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  • La légende S.K.F. – Lutte, emploi, industrie

    SKF-Ivry était dans les années 1970 une usine de pointe dans le roulement à billes, 600 salariés, un syndicat CGT très majoritaire, un entourage populaire et communiste fort.

    1983 : les actionnaires suédois décident de sa fermeture ; l’inspection du travail approuve ; le ministre de l’industrie (Fabius) aussi. Les salariés décidant alors d’occuper l’entreprise ! Ils multiplient les propositions alternatives, ainsi que les initiatives (voyage en Suède, manifs, colloques, etc). Durant près de trois ans, une sorte de « communauté » ouvrière s’installe dans et autour de l’usine.
    1985 : les CRS envahissent l’entreprise ; les salariés prennent cela pour un affront et « reprennent » les bâtiments. Ils tiennent les lieux une matinée entière.
    SKF-Ivry, c’est tout à la fois l’histoire d’une dignité ouvrière, d’une formidable bataille contre la désindustrialisation, celle d’un puissant mouvement de solidarité aussi et celle enfin de la gauche au tournant de la rigueur.

    C’est aussi les prémices des années d’ultralibéralisme que nous connaissons au XXIe siècle, et de la nécessité de démontrer que d’autres voies plus humaines sont possibles.

    14,00 
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  • Huit ans à Nouméa

    1880 : La littérature est riche de récits et souvenirs de communards arrêtés en 1871, puis déportés, et récemment amnistiés, ayant raconté leur exil en Nouvelle-Calédonie.

    Et pourtant…

    Un récit a sombré dans l’oubli, celui d’Albert LEBLANC : Huit ans à Nouméa.

    Publié en épisodes par le journal le Rappel au cours de l’année 1880, ce récit n’a jamais été publié en livre et a traversé près de 150 années, complètement ignoré du grand public.

    Huit ans à Nouméa est une chronique de la déportation. Le lecteur y découvre la dureté des conditions de transfert en bateau pendant de très longues semaines pour rallier Nouméa, la rudesse de vie des prisonniers, la brutalité de l’administration pénitentiaire à leur égard que l’auteur dénonce. Mais ce récit se veut aussi positif. L’auteur y souligne la solidarité entre les déportés, leur ingéniosité pour faire face à leurs nouvelles conditions de vie et leur sens de classe, leur fierté d’être des ouvriers, « arborant bien haut le drapeau du travail ».

    20,00 
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  • Les oublié(e)s de Bessonneau

    Bessonneau fut une entreprise gigantesque, construite puis détruite, en plein cœur d’Angers, de quoi marquer l’imaginaire social d’alors. Pendant presqu’un siècle, cette aventure mythique allait imprimer le paysage urbain angevin, la vie angevine. On travaillait chez Bessonneau. On vivait au côté de Bessonneau. On suait et souffrait pour Bessonneau. L’histoire de l’entreprise, dont le nom résonne toujours dans la mémoire des Angevins, est parfois méconnue, même si souvent étudiée. Mais il ne s’agit pas ici d’une nouvelle étude historique sur ces établissements qui ont participé à l’Histoire d’Angers à partir du milieu du XIXe siècle, mais plutôt d’un regard social sur celles et ceux qui ont fait cet empire : ces patrons, père et fils, puis gendre, image parfaite du patronat de leur temps ; mais aussi, et surtout, ces ouvriers, hommes, femmes et enfants, dont la vie (travail, loisir, éducation…) était rythmée par « Bessonneau ». L’histoire également d’un lien ambigu entre ces établissements et la ville d’Angers : liens économiques, mais aussi politiques, problématiques d’urbanisme, de transports, d’infrastructures. Un regard nouveau sur l’envers du décor…

    28,00 
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  • Le destin des Juifs en Anjou (1940-1944)

    Le 20 Juillet 1942, 872 hommes, femmes et enfants, parce qu’ils étaient juifs, furent envoyés par le convoi numéro 8 de la gare angevine vers Auschwitz.
    Dans le dispositif de l’occupation nazie en France, Angers est une ville essentielle. C’est pourquoi on y regroupe les Juifs raflés dans tout l’Ouest (dont 43 à Angers). Ainsi le convoi n°8 occupe une place particulière parmi les 77 convois déportant les Juifs de France vers les camps d’extermination. C’est en effet le seul en France, parmi les six prévus, à être parti directement de province.

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  • Délits d’encre n°41

    « Gribouille » Littérature – Découverte – Florilège
    Des nouvelles de Cuba Si !
    Inocencia – Miguel de Carrión
    L’agonie du Héron – Jesus Castellanos
    L’arrivée du cirque – Carlos Loveira
    La tragédie des frères siamois – José Manuel Poveda
    « Gavroche » Essai – Critique – Pensée
    Historique de la littérature cubaine
    « Grognard » Archives – Témoignage – Relique
    Quelques lettres cubaines retrouvées…
    d’Ernesto Che Guevara

    10,00 
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  • Sous l’uniforme noir des Khmers rouges

    En conflit avec le régime pro-américain du général Lon Nol parvenu au pouvoir au Cambodge dès 1970, Kho Vani, pharmacienne cambodgienne formée en France, rejoint le maquis khmer rouge en avril 1971 en compagnie de son mari Chorn Hay et d’un certain nombre d’intellectuels. Tenue au silence et au secret, elle survit et accouche seule en pleine forêt tropicale.
    La victoire des Khmers rouges de 1975 occasionne son retour à Phnom Penh, évacuée de ses millions d’habitants. Le régime marxiste agraire et l’Angkar (son armée secrète) règnent par les sévices, tortures, séances d’autocritique, désinformations et délations.
    Quand les Vietnamiens envahissent le Cambodge en décembre 1978, elle fuit avec son fi ls vers la Thaïlande pour essayer de rejoindre l’Europe mais est rattrapée par le destin qui l’emporte à Pékin puis à Paris, enfin en Corée du Nord.
    « Nous ne sommes que des fétus de paille emportés par le vent » aime-t-elle dire.

    17,00 
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  • Paris, capitale d’un empire colonial

    Vous apprendrez ainsi… comment a été financée la construction de l’actuel palais de l’Élysée en 1720 ; qu’une statue inaugurée en 2022 évoque les exactions commises aux Antilles en 1802 par l’armée de Bonaparte ; qu’un monument imposant glorifie un homme surnommé « général maziaka » (le Cruel) à Madagascar ; l’identité de l’homme qui a défendu le ciel de la capitale pendant la Première Guerre mondiale ; pourquoi a été construite la mosquée de Paris ; que la façade d’un édifice Art déco proche de la Madeleine figure les animaux de tout l’empire colonial français ; que Hô Chi Minh est venu trois fois ici avant une guerre tout à fait évitable ; que la guerre d’Algérie s’est aussi déroulée en partie à Paris…

    28,00 
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  • Délits d’encre n°40

    « Grognard » Archives – Témoignage – Relique
    Rappel de la violence dans l’Histoire (De Gaulle – Ibarruri – Mitterrand)
    « Gribouille » Littérature – Découverte – Florilège
    Poésie de la semaine sanglante par Jean-Baptiste Clément
    « Gavroche » Essai – Critique – Pensée
    Théorie de la violence par Friedrich Engels

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  • Saint-Aubin de Luigné, au fil du temps

    La commune de Saint-Aubin de Luigné présente des atouts incontestables : la Mairie, le porche de l’église, le château de la Haute Guerche, le château de la Fresnaye, la Corniche du côté de la haie Longue et de belles maisons anciennes. Une vue sur le vignoble à partir du Moulin Guérin ravira le promeneur.
    La création d’un circuit des vieilles demeures ainsi que la présence du canal de Monsieur en font une commune qui mérite le détour. Son dynamisme culturel autour d’expositions de peinture et l’organisation de concerts de musique classique complètent ses richesses. Tous ces critères réunis, la commune de Saint-Aubin de Luigné méritait bien son label « Village de Charme ».
    Quelle bonne idée de la part de ses anciens élus d’avoir décidé d’écrire une partie de son histoire.
    Pierre ROBÉ
    Président des Villages de Charme
    Maire d’Aubigné sur Layon

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  • Délits d’encre n°39

    « Gavroche » Essai – Critique – Pensée
    Le Roman historique par Claude Ferrieux
    « Grognard » Archives – Témoignage – Relique
    Balzac avait raison par Elisabeth Suaudeau
    « Gribouille » Littérature – Découverte – Florilège
    Le duc de Beaufort – Roi des Halles

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