• Les oublié(e)s de Bessonneau

    Bessonneau fut une entreprise gigantesque, construite puis détruite, en plein cœur d’Angers, de quoi marquer l’imaginaire social d’alors. Pendant presqu’un siècle, cette aventure mythique allait imprimer le paysage urbain angevin, la vie angevine. On travaillait chez Bessonneau. On vivait au côté de Bessonneau. On suait et souffrait pour Bessonneau. L’histoire de l’entreprise, dont le nom résonne toujours dans la mémoire des Angevins, est parfois méconnue, même si souvent étudiée. Mais il ne s’agit pas ici d’une nouvelle étude historique sur ces établissements qui ont participé à l’Histoire d’Angers à partir du milieu du XIXe siècle, mais plutôt d’un regard social sur celles et ceux qui ont fait cet empire : ces patrons, père et fils, puis gendre, image parfaite du patronat de leur temps ; mais aussi, et surtout, ces ouvriers, hommes, femmes et enfants, dont la vie (travail, loisir, éducation…) était rythmée par « Bessonneau ». L’histoire également d’un lien ambigu entre ces établissements et la ville d’Angers : liens économiques, mais aussi politiques, problématiques d’urbanisme, de transports, d’infrastructures. Un regard nouveau sur l’envers du décor…

    28,00
  • Jean le Gaulois Réfractaire

    Jean Bourgeon, 70 ans, bien connu sous le surnom d’Obélix dans le mouvement des Gilets Jaunes angevins, même les policiers l’appellent comme cela, nous raconte sa vie. Avec l’aide,
    pour la retranscription de son récit de vie, de sa camarade Sylvie Cognard, il évoque les nombreuses misères et ruptures qui ont parsemé son chemin de vie.

    12,00
  • Les fusillés de Belle-Beille aux Editions du Petit Pavé

    Les fusillés de Belle-Beille

    Entre le 21 février 1942 et le 7 juin 1944, 46 résistants furent fusillés au champ de tir de Belle-Beille à Angers. Le plus jeune avait 19 ans, le plus âgé 67. Ils étaient étudiants, instituteurs, ouvriers, cultivateurs. Leur point commun : le refus du joug nazi et de la dictature de Vichy. Cet engagement, ils le payèrent de leur vie.

    Trois élèves du lycée Saint-Martin d’Angers ont décidé, dans le cadre du Concours National de la Résistance et de la Déportation, de rechercher derrière les noms des fusillés, leurs vies, leurs parcours, leurs engagements qui se sont arrêtés au champ de tir de Belle-Beille.

    25,00
  • Dans les pas de Nicolas Beaurepaire aux Editions du Petit Pavé

    Dans les pas de Nicolas Beaurepaire

    Par sa mort tragique, Beaurepaire entre dans la légende. Il devient celui qui “aima mieux se donner la mort que de capituler avec les tyrans”.

    Mais avant d’être le premier héros célébré par la toute jeune République française, il était un homme plutôt ordinaire dont Gérard Lesage nous invite à suivre les pas. Fils d’un épicier de Coulommiers, tôt engagé dans le corps des carabiniers de Monsieur où il passe, lentement, par tous les grades, il devient, en 1776, un notable rural par l’effet d’un beau mariage en province d’Anjou. Avant que la Révolution ne l’amène à prendre la tête du 1er bataillon des volontaires de Maine-et-Loire.

    C’est à ce titre que, “par les circonstances” comme il se plaisait à le dire, il devient, bien malgré lui, commandant militaire de Verdun, une place délaissée par l’état-major français, tout à ses manoeuvres préparatoires à la bataille de Valmy. Un rôle subalterne où l’attendaient la mort et la gloire.

    22,00
  • Cité Verneau - une empreinte dans la ville aux Editions du Petit Pavé

    Cité Verneau – une empreinte dans la ville

    De l’extérieur, la cité n’est pas très attrayante. Elle peut même transpirer l’hostilité, aidée en cela par de nombreux faits divers qui alimentent toutes sortes de fantasmes et de clichés. Pourtant, de l’intérieur, tout change et tout devient même parfois absolument commun à n’importe quel lieu, pour ne pas dire tout à fait ordinaire.

    Alors que des familles entières projettent d’en partir pour trouver ailleurs un environnement plus paisible, d’autres au contraire y sont viscéralement attachés et n’imaginent pas un jour devoir en partir…

    Pour certains encore, comme Solange et Louis, le médecin ou les Prêtres-Ouvriers des années soixante, Verneau sera le départ (et la fin) d’un militantisme sans faille.

     Voilà ce que Jean-Bernard Olive, qui a grandi dans cette cité, vous fera découvrir à travers une histoire tirée de faits réels au cœur de la cité Verneau, comme si vous y étiez.

    20,00
  • Hors les murs - Accueil des familles de détenus aux Editions du Petit Pavé

    Hors les murs – Accueil des familles de détenus

    A Angers, ma ville natale, la prison portait le nom étrangement bucolique de Pré-Pigeon, nom qu’elle porte encore de nos jours, je crois… Du premier étage de la maison de mes grands-parents, on apercevait quelques fenêtres de la prison, garnies de barreaux. Je restais longtemps à la fenêtre pour tenter d’apercevoir le visage des prisonniers et leurs mains cramponnées aux barreaux.

    Vingt ou trente ans auparavant, devant les maisons d’arrêt et centres de détention, de longues files d’attente se formaient : les familles et amis attendaient l’heure de leur parloir. Au fil des années, des associations se sont créées pour acquérir un local à proximité de la prison, où des bénévoles accueillent, aident, informent les familles souvent en grande détresse après l’incarcération d’un proche.

    Ce récit est le témoignage d’une de ces bénévoles, accueillant des familles de détenus. Deux femmes sont au cœur de ce docu-fiction, Maria et Christelle sont dans ce récit des personnages de fiction qui incarnent les difficultés, les souffrances, les illusions, le courage de ces femmes du parloir très nombreuses à l’accueil des familles.

    Mais si les deux héroïnes de ce docu-fiction sont imaginaires, les autres personnages et incidents évoqués sont, eux, parfaitement authentiques.

    14,00
  • Rue du Lutin

    Rue du Lutin, Souvenirs d’enfance dans une rue d’Angers

    Dans les années d’après-guerre, d’Angers à Bruxelles le chemin passait – qui l’eût cru ? – par la rue du Lutin et la rue Victor Hugo ! Rue du Lutin, demeuraient Louise et Alexandre, nos grands-parents. Rue Victor Hugo, se situait l’appartement modeste d’Hortense, notre grande tante. A Bruxelles avait vécu autrefois tante Hortense ; Louise et Alexandre y avaient fait un séjour mémorable. Les petites filles de la campagne que nous étions faisaient leurs délices des lumières de la ville d’Angers, des souvenirs enchantés de Bruxelles. Délices mêlées de mystères et de non-dits, de déchirements familiaux… émerveillements de l’enfance que briseront le temps qui passe, la mort inéluctable des grands-parents, de la grande-tante, la vente de la petite maison de la rue du Lutin… La mémoire et l’imagination font revivre personnages et époque.

    16,00
  • Si loin

    Si loin, si prés

    Si loin, si près de sa jeunesse, des autres, de soi-même… Avec le temps, travailler, vivre, aimer ne devient pas plus facile. A quelle distance se tenir ? En 2009, année de crise, Adèle, Luca, Etienne et Carole se croisent à Angers. Le feu prend au château et dans leurs vies.

    16,00
  • Le Grand Huit aux Editions du Petit Pavé

    Le Grand Huit

    Au coeur des années soixante et de leur contexte mouvementé, Josette essaie tant bien que mal de se construire une vie heureuse. Elle doit faire face à la fois au machisme du patronat et à ses amours brisées. Elle trouve alors refuge auprès de ses amitiés fidèles et oublie ses peines grâce à ses rencontres passionnées. Après Mon Anjou des années cinquante, nous retrouvons le personnage de Josette sous un nouveau jour, à une époque nouvelle, pleine de force et de passion. L’héroïne nous entraîne une fois de plus dans Angers et sa région. Le travail à la chaîne, la guerre d’Algérie, les syndicats, les grèves de mai 68 : rien n’est oublié dans ce véritable témoignage historique d’une société en pleine ébullition. L’auteur, Ginette Riou nous offre pour la seconde fois une tranche de vie que l’on croque à pleines dents. Ceux qui ont aimé le premier volet se plongeront avec délices dans ce nouvel épisode écrit pour raconter une jeunesse très différente d’aujourd’hui.

    14,00
  • Angers

    Angers, au fil de la Maine et du Temps

    De manière romancée, Marc Lefrançois nous fait découvrir, à travers 26 tableaux, les temps forts qui ont marqué l’histoire de la cité angevine, depuis sa fondation jusqu’à la Libération de 1944.

    15,00
  • 49 Célébrités angevines qui ont contribué à la gloire de l'Anjou aux Editions du Petit Pavé

    49 Célébrités angevines qui ont contribué à la gloire de l’Anjou

    Savez-vous qui était Jules Lenepveu ? Savez-vous qui était Henri de l’Estanduère ? La petite et la grande histoire se croisent dans la galerie de portraits d’Alain Tresvaux du Fraval. Tous sont nés en Anjou, et tous ont marqué leur époque ; l’occasion pour nous de découvrir ceux qui ont donné leur nom aux rues, écoles, salles communales,… de la cité angevine.

    25,00
  • Toubib de Cité

    Toubib de Cité, malade du régime

    Notre système de santé semble bien malade ! Le soin devient une marchandise comme une autre, les soignants sont embrigadés dans l’internationale du pognon et la protection sociale doit obéir à des visées comptables. Dans ce paysage, que devient le prendre soin ? Que vont devenir les patients ? Le médecin généraliste est-il une espèce en voie de disparition ? Existe-t-il une médecine de riches et une médecine de pauvres ?

    Une médecin généraliste nous propose de la suivre dans sa cité HLM de la ville d’Angers, à la découverte de son métier et des problèmes actuels de la médecine générale.
    En alternant séquences autobiographiques, histoires vécues, description du métier et réflexions sur la santé, l’auteur lance un cri d’alarme sur les problèmes actuels de notre système de santé : trou de la Sécu, réforme de l’assurance maladie, nouvelle convention, situation de la démographie médicale, enseignement de la médecine générale, développement d’une prévention agressive…
    Comme d’autres collègues, fatigués et découragés, elle explique pourquoi elle déserte une profession qui n’a plus de sens à ses yeux. Elle délègue aux plus jeunes son rêve de voir s’asseoir à une même table les patients, les soignants et les administrateurs de la protection sociale pour repenser un système plus cohérent.

    18,00