• JJFK

    JJFK

    Jean-Jacques Karman, né dans l’immédiat après-guerre, est ce que les sociologues appellent un enfant du Baby boom et des Trente glorieuses. Son destin ne se confond pourtant pas avec l’image d’Epinal que l’on a voulu donner de cette période et de cette génération.
    Fils d’un déporté politique revenu du camp de Dachau, il a dessiné un itinéraire original où se mêlent les références à Marx, Lénine, Rosa Luxemburg et… Elvis Presley.
    En évoquant le souvenir de ses combats politiques qui l’ont conduit à se faire exclure deux fois du PCF, en faisant revivre quelques unes des figures célèbres qui ont marqué l’histoire du mouvement communiste français, mais en rendant surtout hommage aux camarades anonymes qui l’ont accompagné durant toutes ces années, il propose une lecture très différente des événements des années 1950 à nos jours.
    C’est aussi pour lui l’occasion de rendre hommage à sa ville de cœur, Aubervilliers et à ses habitants courageux, dynamiques et motivés. Cette ville partie d’une situation de grande misère, à l’origine « maraîchère » puis « ouvrière » est aujourd’hui, économiquement, la quatrième ville de Seine-Saint-Denis, après le travail mené par des maires communistes comme Charles Tillon,
    André Karman et Jack Ralite.
    Alors qu’il lutte contre le cancer et la maladie de Parkinson, Jean-Jacques Karman fait donc ici le bilan d’un demi-siècle de luttes politiques et électorales. Il livre ses vérités, sans fard, et réaffirme la nécessité de maintenir vivants l’idéal de la lutte de classe et le symbole révolutionnaire du drapeau rouge.

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  • L'esprit en sa nuit

    L’esprit en sa nuit

    Nicolas GILLE est un virtuose de la strophe rigoureuse audacieusement rimée, de la stricte observance syntaxique alliée aux déséquilibres métriques raffinés. Aux doigts de ce fin poète, la vie, agitée par l’esprit nocturne, est une dentelle délicate – qui ne cesse de se dire à elle-même et un inépuisable adieu, et son inassouvissable désir d’elle-même. Le lecteur fraternel ne peut qu’être ému jusqu’au tréfonds par le funambulisme si humain de Nicolas GILLE, entre délitescente fragilité mélancolique et indéracinable aveu d’émerveillement.
    J. H.

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  • Dans les pas de Nadar

    Dans les pas de Nadar

    Lorsque naît à Paris, en 1820, le petit Gaspard Félix Tournachon, plus connu sous le nom de Nadar, Joseph Montgolfier, l’inventeur du ballon à air chaud, soigne ses rhumatismes à Balarucles- Bains et Napoléon Bonaparte se demande, sur l’île de Sainte-Hélène, si son ulcère ne s’est pas aggravé à Waterloo…
    Lorsqu’il meurt, en 1910, le Général Charles de Gaulle est saint-cyrien et Louis Blériot a traversé la Manche en avion…
    Comment résister à l’envie d’aller dans les pas de cet homme épris de liberté et de justice, témoin volubile et engagé des bouleversements historiques et artistiques de son époque ?
    Refusant l’habituelle approche thématique de Nadar photographe, ou caricaturiste, ou écrivain, ou aéronaute, l’auteur propose ici une biographie de l’homme dont l’engagement républicain fut constant.

    18,00 
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  • D'arts en arts en Pictavie

    D’arts en arts en Pictavie

    Chaque territoire porte et inspire ses artistes. Et tandis que le travail de création est souvent solitaire, l’artiste est, lui, initiateur de liens et d’échanges à travers ses oeuvres.
    La volonté de l’association Arts et Lettres en Pictavie était donc de réunir les écrivains et artistes de son territoire. Rapidement le projet d’un recueil collectif vit le jour.
    Ainsi, poètes, écrivains, patoisants, peintres, sculpteurs, photographes… présentent ici une partie de leur travail, permettant au lecteur de voyager à travers des univers et inspirations diverses.
    Cet ouvrage très richement illustré offre au fil des pages nouvelles, poèmes, aquarelles, peintures, photographies, permettant de découvrir la richesse artistique présente en région Poitou.

    25,00 
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  • J'pouvons tout dire en noût' patoés

    J’pouvons tout dire en noût’ patoés

    … Mais tu caus’ras côr en patoés d’Anjou ;
    Tu t’rappell’ras côr ton ami, j’espère ?
    Ses rimiaux qu’t’aim’s ben, tu l’z’aim’ras toujoûs ?
    C’est pour ça qu’anuit’ j’ai voulu t’écrure
    et p’t’êt ben qu’pour moé l’départ s’ra pûs doux
    Si, avant d’parti’, mon p’tit gâs, j’peux m’dire
    Qu’tu liras mes vers à d’aut’s gâs d’Anjou.

    Ces vers d’Emile Joulain écrits en 1946 résonnent encore de nos jours. Plus de cent ans après la création des Rimiaux en parler d’Anjou par Marc Leclerc, nombreux poètes, écrivains, paysans, chanteurs ont usé du Patois angevin, que certains appellent « la langue des Rois ». Afin de leur rendre hommage et de faire perdurer la tradition de ces récitals, revues et recueils en patois, les éditions du Petit Pavé et Gérard Quentin ont sélectionné ici quelques textes des principaux patoisans du XXe siècle…

    18,00 
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  • Aubervilliers

    Aubervilliers

    Début du XXe siècle, aux portes de Paris, Aubervilliers se transforme en un vaste territoire d’usines, de fumées et de misère ouvrière. Une banlieue sacrifiée au progrès industriel, d’où vont surgir une solidarité et une humanité, mises en lumière par Léon Bonneff dans son fameux roman homonyme.
    À travers des enquêtes minutieuses, des scènes prises sur le vif et des témoignages bouleversants, Léon Bonneff révèle le quotidien de femmes et d’hommes condamnés à survivre entre ateliers dangereux, logements insalubres et rues boueuses. C’est toute une communauté laborieuse qu’il fait parler : ouvriers, journaliers, chiffonniers, enfants au travail… autant de vies invisibles qui composent la face cachée de la modernité.

    20,00 
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  • Jean le dernier des soldats - T3. Le sang du père

    Jean le dernier des soldats – T3. Le sang du père

    1292. Jean, après avoir mené la bataille de Chypre,
    part à la recherche de sa soeur oubliée. Voulant suivre les traces
    de leur père, ils seront à nouveau confrontés à leur ennemi Saladin.
    Accompagné de nouveaux amis, Jean va peu à peu percer
    les mystères de l’histoire des Templiers…

    13,00 
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  • Cultures et contes Amérindiens

    Cultures et contes Amérindiens

    Dans les cultures autochtones d’Amérique du Nord, l’explication du Monde et le rapportà la nature, aux animaux, au ciel, aux esprits, aux étoiles… se transmettent souvent àl’oral par les contes et légendes.
    Certains nous ont été transmis à travers des témoignages et livres modernes, mais aussi à travers la langue des signes amérindienne qui tombe peu à peu dans l’oubli.
    Vincent Rouard, après des années passées à étudier cette langue et les cultures amérindiennes nous présente ici son premier ouvrage sélectionnant les contes les plus marquants.

    14,50 
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  • Itinéraires de Natalie Le Mel

    Itinéraires de Natalie Le Mel

    Née à Brest en 1826, le parcours de Natalie Le Mel la conduira à Quimper avant de rejoindre Paris et d’inscrire son nom parmi les militantes communistes et féministes de l’époque.
    Pourtant, son nom vous dit sans doute peu de chose. Elle fait partie de ces obscures femmes militantes que l’histoire a balayées et qui méritaient mieux que cela.
    Brestoise de naissance, elle avait la détermination des battantes, l’empathie des généreuses. Toute sa vie, elle s’est battue aux côtés des plus démunis. Peu avant la Commune de Paris, elle anima la Marmite, un restaurant ouvrier, offrant des repas à bas prix. On comptera près de 8 000 ouvriers qui participeront à cette oeuvre, ancêtre des repas partagés. Première femme appartenant à la Première Internationale des Travailleurs, elle combattra aux côtés de ses consoeurs lors de la Commune de Paris. Elle sera transportée en Nouvelle-Calédonie avec Louise Michel. Après une vie consacrée aux autres, elle s’éteindra dans l’oubli en 1921 à Ivry-sur-Seine.

    20,00 
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  • Errances Japonaises

    Errances Japonaises

    Le Tanka désigne une forme de poésie courte d’origine japonaise, trouvant naissance avant le VIIe siècle dans une poésie orale, chantée ou récitée lors de cérémonies, de rituels de cour ou dans des échanges amoureux.
    Évoluant avec l’introduction de l’écriture chinoise kanji, le Tanka prend son véritable essor pendant la période Heian (794-1192). Il est considéré comme un ancêtre du haïku (vers légers) apparu seulement au XVIIe siècle. Un millénaire plus tard !
    Amoureux du Japon et passionné par cet art, Kinka nous propose ici à la fois une présentation de cette poésie et un recueil de ses Tankas. Chacun pourra ainsi découvrir l’histoire de cet art ancestral, comprendre comment il se construit et apprendre à en écrire.
    Mais il s’agit surtout d’une invitation à flâner à travers ces pages et ces instants de poésie, répartis en 12 chapitres illustrés par des photographies inédites.

    12,00 
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  • Contresens

    Contresens

    Contresens, de Jean-Jacques NUEL, est un copieux ensemble de courts textes délicieusement impertinents et insolites, parfois teintés d’une discrète mélancolie, mais plus souvent relevés d’humour noir, de comique de l’absurde, d’ironie à froid.
    Jean-Jacques NUEL est, sans illusions mais sans amertume, un maître tranquille du désabusement heureux distancié, tonique, et particulièrement roboratif.
    De surcroît, la langue – jamais un mot de trop – est ici d’une impeccable économie, et donc d’une parfaite élégance. Les proses ciselées de Contresens sont des « petits » chefs-d’oeuvre.
    J. H.

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  • 19 septembre 1356, la Bataille de Poitiers

    19 septembre 1356, la Bataille de Poitiers

    La guerre de Cent ans oppose de 1337 à 1453 le royaume de France à celui d’Angleterre et sera marquée par de nombreux conflits et batailles. Parmi les plus célèbres (Azincourt, Orléans…), celle qui oppose le 19 septembre 1356 Jean Le Bon, roi de France et Edouard le Prince Noir, prince de Galles et héritier d’Angleterre, sonne parfois comme une légende.
    Les Français sont en surnombre, connaissent le terrain, et sont menés par le Roi lui-même. Les Anglais devraient être facilement vaincus, mais des erreurs de stratégies, des hasards de routes et de géographie vont offrir l’une des plus belles victoires à l’Angleterre capturant une grande partie de la noblesse française dont le roi et son héritier.
    Cette défaite française entraînera l’affaiblissement de la couronne de France et le prolongement de la guerre pour plus de cent ans.
    Ce qu’on ignore parfois, c’est que cette bataille s’est déroulée aux portes de Poitiers, dans des conditions assez floues. Nombreux chroniqueurs de l’époque et historiens du XIXe siècle ont tenté de découvrir la vérité sur cette bataille légendaire.
    C’est l’histoire de ces recherches qui est présentée ici : Froissart qui, au XVIe siècle, localise la bataille à Beaumont-Maupertuis ; Villani à La Tricherie ; les notables poitevins qui, au XIXe siècle, remettent en cause cet emplacement ; le colonel Babinet qui, en 1883, place les combats au sud-est de la capitale à Nouaillé (devenu depuis en référence Nouaillé-Maupertuis)…
    Mais de nombreuses zones d’ombre demeurent encore : le jour de la bataille, la conduite d’un prisonnier à Châtellerault, mais aussi le dîner pris à Savigny-Lévescault ou Gizay dans un lieu méconnu, le mouvement des troupes anglaises le mardi 20…

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