• Le soldat peintre

    Mahajanga, Madagascar, 1905… Le jeune Alfred est subjugué par ce port plein de vie et d’Histoire. Mais comprend- il que son père, militaire originaire de la Meuse,
    rentre en France pour toujours où il fondera un autre foyer avant de mourir lors de la Grande Guerre ? Ainsi débute l’incroyable destin de ce jeune métis. Mi-malgache mi-français, bâtard, noble, héros de plusieurs conflits armés, peintre, bricoleur et chasseur, Alfred a traversé l’entièreté du vingtième siècle, parcourant le monde de Tananarive à Marseille, de la Chine au Maroc, de Bretagne en Allemagne.

    20,00
  • La plume et l’entrelacs

    1250, près de Nantes : Marie, dans son atelier d’enluminure, attend le retour de Martin, son mari, parti avec les croisés du roi Louis IX trois ans plus tôt.
    Jehan de Ruhifiac, dans sa propre recherche de légitimité en tant que fauconnier et parrain d’orphelins, est amoureux de Marie.
    Le retour de Martin va plonger les deux héros dans une situation qu’ils n’avaient pas imaginée, où le rôle de l’église aura son importance.
    Entre recherche d’identité, questions sur la transmission et passions dévorantes, Marie et Jehan vont traverser bien des tourments pour se réaliser et avoir le courage d’aller au bout d’eux-mêmes.

    20,00
  • Mon père... ce héros aux Editions du Petit Pavé

    Mon père… ce héros

    Nous sommes le 8 janvier 1698, au petit matin frisquet. Les quelques passagers sont montés sur le pont pour assister aux manoeuvres de départ ; c’est toujours un spectacle.
    Le bateau s’écarte doucement du quai, s’oriente dans le canal, lève quelques voiles et se met à glisser avec de plus en plus d’assurance.
    Les docks défilent ; et le voilà bientôt libre ; il est dans l’Ijselmeer, sorte de grand lac salé ou de lagune, presque complètement entouré(e) de terres. Il hisse d’autres voiles et prend de la vitesse. Direction : nord.

    22,00
  • Lettre à Moïse aux Editions du Petit Pavé

    Lettre à Moïse

    Moïse préférait le soleil à la lune. Il se gardait de décrire les malheurs qui eurent Eperjes pour théâtre, épidémies de choléra, révoltes ruraliténes, frictions multiples contre les armées impériales. Jamais, il n’aurait confié à ses fils que, durant sa jeunesse, les rideaux de l’auberge se soulevaient dès qu’il se rendait en ville. Il débarquait dans la grande salle, les regards se tournaient vers l’intrus qui remarquait les mâchoires serrées, les regards hostiles, les sourires en coin. On appelait le maire, qui accourait, enquêtait, toisait le visiteur et l’invitait à passer chemin. La grande salle de l’auberge retombait en sommeil, l’incident était clos, les rideaux se baissaient.

    16,00
  • Zola

    Zola, l’amoureux

    « Je fais le tour du jardin, les murs de la maison m’appellent, je rentre à l’intérieur et grimpe l’escalier du grenier. Enfin j’ose, j’ouvre la fenêtre, les volets, le soleil inonde le parquet et laisse flotter une lumière rosée. Alexandrine est sortie la première, la poitrine imposante et le regard lointain, puis Jeanne, la jolie Jeanne à la chevelure miraculeuse et la peau parfumée. Tout sourire, il s’est précipité dehors avec son box 7 pour les photographier. »

    15,00
  • Viva Libertad – L'île du Grand Dehors aux Editions du Petit Pavé

    Viva Libertad – L’île du Grand Dehors

    Pour Louisa, sa fille, la saga continue aussi. Elle va revenir sur l’île belle, se remplumer auprès de Maria et Lucio, se ressourcer aux battements de cœur des flots. Elle va côtoyer Diégo, un ermite poète, puis s’embarquer vers l’île de Grand Dehors, à la lisière des icebergs.

    Île envoûtante, violente, où la nature tolère à peine l’homme.

    Île où les glaciers fondent pendant que l’orchestre continue de jouer.

    Île où les oiseaux battent le tempo de ces jours sans fin.

    Louisa va rencontrer Pétronella, une Mujeres Libre tendance glacial arctique, mais biberonnée au San Antonio… sur ce caillou brut et sauvage, dans les entrailles de cette île volcanique, elles vont vivre des aventures brûlantes et glacées.

    Viva Libertad ne pouvait que devenir une saga, de celle qui touche le cœur des Hommes…

    18,00
  • L'insolite grotte des korrigans aux Editions du Petit Pavé

    L’insolite grotte des Korrigans

    Il existe une Grotte des Korrigans sur la Côte  Sauvage, juste à la sortie du Pouliguen… Une grotte bien ordinaire où jamais personne n’a aperçu le moindre korrigan !
    Cependant, elle envoûte Renaud Lucas. Il y découvre, dans une sorte de transe, des pans entiers de l’histoire de sa presqu’île guérandaise, de plus de 6000 ans à nos jours – et même…
    Et même au-delà, dans un avenir quelque peu inquiétant !

    20,00
  • Le Balcon aux Editions du Petit Pavé

    Le Balcon

    « Le pinceau monte et redescend le long de ses mèches brunes, cachant difficilement son impatience. Il saisit au vol la pâte colorée, y en a-t-il trop, pas assez ? Et repart de plus belle autour d’elle, creusant, modelant frénétiquement ce visage farouche qu’il apprivoise. Il se retourne, revient à sa palette, les blancs semblent trop foncés pour son innocence, les noirs trop clairs pour son intelligence. Pour la première fois depuis des mois, il doute, émerveillé par cette femme qui ouvre les volets de son balcon vers un autre monde.  »

    20,00
  • Un mythe populaire angevin

    Un mythe populaire angevin, le braconnier Rouget

    Deux cents ans après sa naissance, Rouget le braconnier est devenu un mythe, dépassant le simple fait divers régional. En 1882, Ferdinand-Jacques Hervé-Bazin publie en feuilleton dans Le Petit Angevin “Rouget ou le braconnier d’Anjou”, inscrivant ainsi son histoire dans l’esprit des grands romans du XIXè siècle.

    Au fil des décennies, l’histoire de Rouget le braconnier se transmet de génération en génération, et inspire plusieurs auteurs (Dominique Lambert, Jules Davy, Louis Oury…) ou cinéaste (Gilles Cousin). Dans son village natal, il revit depuis 1971 par la pièce de théâtre écrite par Jules-Alphonse Davy en 1970, et jouée tous les ans à Daumeray devant une salle comble en hommage à la mémoire de ce mythe populaire angevin.

    22,00
  • Rencontres de grands chemins aux Editions du Petit Pavé

    Rencontres de grands chemins

    « Nous avons fait des promenades dans Paris, écumé les bouquinistes, discuté aux terrasses de café qu’il affectionnait ; parfois ses gamineries étaient contagieuses. Un jour il m’a dit :
    – Je vous attends devant la porte de la Santé, jeudi après votre cours ; pour une fois j’irai de mon propre chef et sans escorte dans cette rue ; on va inverser la situation.
    J’avais ri, l’idée était drôle, la provocation ne me déplaisait pas. Moi qui avais rêvé pendant tant d’années d’attendre Alain à sa sortie de prison et c’était un repris de justice qui me filait un rancard à ma sortie de taule…
    – Ils nous regardent attentivement avec leurs caméras, tu es fichée ! m’a-t-il glissé à l’oreille pour parfaire la scène, puisque nous étions filmés.
    Jeu, rêve, réalité ? Je ne savais plus très bien où j’en étais, qui j’étais. Pour lui, la revanche était évidente, pour moi, peut-être aussi… Arrivés au bout de la rue, il m’a lâchée et nous sommes redevenus un couple d’amis. »

    Un ouvrage choc où le passé refait surface sans complaisance pour les deux principaux personnages, Mireille et Alain, mais aussi pour le milieu carcéral et la Justice qui se devraient de réinsérer et achèvent de détruire…

    20,00
  • D'une famille

    D’une famille, l’autre

    Dans cet effort de l’imagination pour ressaisir et comprendre ce qu’a pu être la jeunesse inconnue de la mère morte resurgissent ici une époque, des lieux, des gens – ceux-là qui peuplaient encore les campagnes, les bourgs et les faubourgs des pays du Centre, et aussi les beaux quartiers parisiens, dans les années d’après-guerre, et qui ont progressivement disparu du paysage, gommés par la mort ou la modernité. Agriculteurs, valets de ferme, enfants de l’Assistance, bourgeois et petits-bourgeois de province et de la capitale… L’auteur évoque, à travers une foison de personnages, quelques permanences d’une société en constant renouvellement.

    14,00
  • Louis l'idéaliste aux Editions du Petit Pavé

    Louis l’idéaliste

    Tu n’as jamais rien fait comme les autres, Louis. Qu’on en juge : en 74 ans d’existence, tu auras été, en très résumé, enfant intelligent, jeune soldat enthousiaste, homme d’affaires raté, manifestant de l’Action française, cultivateur normand puis gentleman farmer breton, résistant convaincu, pacifiste militant et journaliste communiste. Mais, toujours, idéaliste sincère, rêveur actif, dont la vie s’est profondément enracinée dans l’histoire en train de se vivre. Presque obligé : tu avais 8 ans en 1900, 22 en 1914, 47 en 1939, 64 en 1956… Toute ta vie, tu as voulu un monde meilleur, tu l’as cherché… de droite à gauche et tu as agi pour tenter de le faire exister.

    25,00