Biographie
Jean-Jacques Karman, membre du Parti Communiste depuis 1963, élu au Conseil Général de la Seine-Saint-Denis puis à la mairie d’Aubervilliers, fondateur de la ...
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Jean-Jacques Karman, membre du Parti Communiste depuis 1963, élu au Conseil Général de la Seine-Saint-Denis puis à la mairie d’Aubervilliers, fondateur de la ...
Ne choisir que quarante-cinq femmes et hommes parmi celles et ceux qui donnèrent ses lettres de noblesse à l’Orléanais, devenu le Loiret, relève d’une sorte de défi surtout dès lors que leur renommée a très souvent dépassé les terres ligériennes.
Peu de départements français peuvent, comme la Sarthe, se vanter d’avoir assisté à la naissance de deux rois, un d’Angleterre, Henri II Plantagenêt, un Français, Jean II le Bon, voire un troisième, si on compte Philippe VI, premier des Valois, car le doute subsiste.
Combien d’autres comptent parmi leurs illustres habitants un prix Nobel, Paul d’Estournelles de Constant, un prix Goncourt, Roger Vercel, ou les fondateurs de la Pléiade comme Nicolas Denisot et Peletier du Mans ?
Colette Gaudry, née Groizeleau (1925-2010) a passé sa vie à La Roche, hameau de la commune de Cinq-Mars-la-Pile, connu par son manoir de la Roche-Musset.
Dans sa petite maison des Aulnaies, Colette décrit la vie laborieuse et met aussi en relief l’esprit des gens des bords de Loire dans les années cinquante.
Ce livre tente de faire surgir une histoire enfouie dans les mémoires. C’est celle de centaines de jeunes hommes de 20 ans qui ont pris en charge une partie du destin de leur village, de leur ville, de leur département au moment où tout espoir de liberté s’effaçait devant la dure réalité de l’occupation allemande.
Au début de l’année 1944, on comptait en Eure et Loir une bonne trentaine de groupes et de maquis autonomes de résistants plus ou moins affiliés aux grandes organisations du Conseil National de la Résistance telles les FTPF, Libération Nord ou l’OCM. Alors que certains entamaient le combat armé dès 1942, d’autres se structuraient pour être prêt le jour J et donner aux alliés un appui stratégique en désorganisant les forces de ravitaillement ennemies montant sur le front de Normandie.
Papy Joseph et Théo, son petit-fils, entreprennent le plus fantastique des voyages et vous invitent à les suivre sur les chemins de l’histoire de la Vendée. Ensemble, vous revivrez les grandes heures de l’histoire du département, de la Préhistoire à nos jours.
Vous tremblerez lors de l’attaque des Vikings, à St-Philbert-de-Grand-Lieu, pendant la prise des châteaux de Talmont, par le roi Louis VII, ou au siège de La Roche-sur-Yon, durant la guerre de Cent Ans. Vous marcherez sur les chemins de Compostelle avant de séjourner à l’abbaye de Maillezais, avec les bâtisseurs de la cathédrale. Vous chasserez à courre au château du Puy du Fou. Vous serez les témoins des combats des guerres de Vendée à Montaigu, Saint-Vincent-Sterlanges et à Luçon. Vous accompagnerez l’Empereur Napoléon Ier de Fontenay à Montaigu, après une halte à Napoléon-Vendée « sa ville ». Vous naviguerez avec Yves, jeune mousse de l’Île-d’Yeu, perdu en mer avec ses compagnons d’infortune… Avec Louis et Jacques Buton, vous serez les témoins d’un acte de résistance, lors d’un parachutage d’armes, à Aizenay, en 1943. Vous travaillerez chez Fleury Michon, avec Jean-Marie, pour terminer votre voyage à notre époque, au temps de la Vendée moderne.
Vous réaliserez ainsi le rêve de bien des hommes de partager un moment de la vie de leurs ancêtres, humbles ou célèbres, de comprendre leurs luttes, leurs souffrances, leurs échecs et leurs réussites, pour défendre leur vie et leurs convictions.
Accueillie avec ferveur jusque dans les campagnes tourangelles, la République proclamée le 4 septembre 1870 à Paris eut des répercussions directes sur la vie publique locale de cette région : Tours devient alors une seconde capitale très animée où Gambetta cherche à organiser la défense nationale contre l’envahisseur prussien. Devant l’incapacité des responsables civils et militaires hérités du IIe Empire, le « parti
démocrate » de la ville pousse à la résistance et adhère à la cause républicaine de la Commune de Paris tout en œuvrant pour la réconciliation durant la guerre civile.
De nos jours, le chemin de fer de proximité a disparu en Mayenne comme ailleurs.
Cependant des traces bien souvent ignorées de ce passé subsistent encore ici et là, comme les derniers témoins de ce qui était alors un élément important du développement économique, social et de loisir de nos campagnes.
Tout est présenté dans ce livre richement illustré de Pierre-Alain Menant, un passionné du monde ferroviaire et de la région de Mayenne.
"Le général Patton se méfiait beaucoup d’une petite ville au sud d’Angers avec ses quatre ponts : Les Ponts-de-Cé. Pendant la guerre, il y avait plusieurs centaines d’hommes et d’officiers allemands entre Mûrs-Erigné et les Ponts-de-Cé. Après le débarquement des Alliés en Normandie, ont eu lieu d’intenses bombardements dans cette zone, entre le 28 mai, la nuit de la Pentecôte, et le 30 août. A un moment, la zone fut coupée en deux : la partie nord était sous le contrôle allemand. Angers a été libérée le 10 août, mais Patton ne s’intéressait qu’à la rive droite, et aux Ponts-de-Cé les Américains ne franchissaient pas la Loire et ne poursuivaient pas les Allemands en direction de Mûrs-Erigné....
Dès le début de l’aérostation, ballons et montgolfières font rêver les gens, et la presse de l’époque reste friande des histoires de ces pionniers défiant les lois de la gravité.
Les revues et gazettes de l’époque, dont les titres restent familiers à nos oreilles encore aujourd’hui (Mercure de France, La Gazette de France, ou les différentes Gazettes de Hollande) sont les témoignages directs de ces premiers vols. Ces documents permettent de se faire une idée assez précise et juste de ce qui s’est réellement passé durant la période 1782-1785.
Le XVe siècle en Anjou trouve encore écho de nos jours dans la mémoire collective. Qui ne connaît pas ces grands personnages : le roi René, Jeanne de Laval, Yolande d’Aragon ?
Au centre de l’Histoire de France, l’Anjou est alors partie prenante de la Guerre de Cent Ans, qui cesse en 1453. De grands hommes et femmes d’Anjou vont participer à la Résistance face aux Français, comme Yolande d’Aragon, puis à la libération de la France auprès de Jeanne d’Arc (Gilles de Rais, Pierre de Brézé, ou René d’Anjou).
La guerre terminée, le pays se reconstruit peu à peu, et la renaissance angevine, menée par celui qu’on appellera le Bon Roi René, offre un nouveau dynamisme à la région.