Biographie
Dominique Sureau est né à Angers en 1956.
Professeur des écoles, passionné dhistoire locale, il écrit pour des revues.
Il nous confie ...
Tous les auteurs
Dominique Sureau est né à Angers en 1956.
Professeur des écoles, passionné dhistoire locale, il écrit pour des revues.
Il nous confie ...
Une revue dans la tradition des revues littéraires qui ont marqué leur époque, pour garder le "sens critique" et des "débats" sur la littérature, la philosophie, les idées.
Abonnement simple aux Délits d’encre - 40 € les 4 numéros, une parution par saison (frais de port inclus)
« Gavroche » Essai - Critique - Pensée
La Loire romantique de Balzac par Christian Robin
« Gribouille » Littérature - Découverte - Florilège
Les poètes de la Loire
De René-Guy Cadou à Emile Joulain
« Grognard » Archive - Témoignage - Relique
Déambulations autour des grandes crues de la Loire
« Gavroche » Essai - Critique - Pensée
Religion et pouvoir
de la nécessité, impérieuse, de redécouvrir Héraclite
« Gribouille » Littérature - Découverte - Florilège
Fanatisme et religion
Extrait du Dictionnaire philosophique de Voltaire
« Grognard » Archive - Témoignage - Relique
Archives de la Convention nationale
« Gavroche » Essai - Critique - Pensée
Nouvelles et contes : mode d’emploi
« Gribouille » Littérature - Découverte - Florilège
Nouvelles et contes venus d’ailleurs
« Grognard » Archive - Témoignage - Relique
Mon premier livre - de Jacqueline Janin
« Grognard » Archive - Témoignage - Relique
Claude Cailleau - Depuis 50 ans il écrit aux écrivains
« Gavroche » Essai - Critique - Pensée
Colette, André Gide, Stéphane Mallarmé,
Michel Tournier, Julien Gracq
par Claude Cailleau
« Gribouille » Littérature - Découverte - Florilège
Le Cahier de textes de Claude Cailleau
Petite anthologie verte de Baudelaire à René Dumont.
Ils mettront des masques pour sortir. Leurs enfants apprendront dans les livres ce qu’étaient les fleurs et les oiseaux, comme nous apprenons ce qu’étaient les diplodocus et les mammouths.
Voilà comment s’exprimait en 1972 Paul-Emile Victor dans un numéro du Courrier d’Utopie.
L’année 2020 devait être pour les éditions du Petit Pavé l’année des fêtes anniversaires de 25 ans de publication.
Devait ! car le machin-truc « Covid 19 » en a décidé autrement.
Le « Délits d’encre » de l’automne est donc pour nous l’occasion de célébrer ces 25 ans avec un numéro anniversaire ; un numéro à ne pas manquer, qui porte bien son titre : « Un 25e anniversaire au temps du coronavirus ».
Ce numéro fait découvrir les écrits des auteur(e)s reconnus (Daudet, Flaubert, Anatole France et même Sand et Zola) contre la Commune de Paris de 1871 et à l’opposé les écrits pour la Commune de Paris de 1871 des chansonniers, compositeur-poètes, les laissés pour compte de la culture officielle (Pottier, JB Clément, Bouvier, etc). Après cette lecture, vous ne lirez plus james un auteur(e) de la même façon.
Le mot négritude, selon les manuels, est apparu pour la première fois sous la plume d’Aimé Césaire dans les années 30, dans la revue « L’étudiant Noir », elle-même créée à Paris dans les années 30. La Négritude devient, dans les années 40, un courant littéraire et politique rassemblant des écrivains noirs francophones revendiquant l’identité noire et sa culture.
Ces écrivains et intellectuels noirs (Damas, Césaire, Senghor, Diop...) ont pour objectif de rendre la dignité aux peuples noirs après des années de frustration culturelle et politique. La Négritude avait comme double objectif de réhabiliter le « nègre » en valorisant son histoire, sa culture et participer ainsi à la construction de la civilisation universelle, ce qui est à l’opposé du communautarisme abondamment médiatisé de nos jours.
Consacrer un numéro de délit d’encre à « Damas et la Négritude » et donc au « Déni de l’Histoire Africaine » reste de nos jours un délit.
On peut définir la science-fiction comme le genre littéraire qui tient compte de l’être humain face aux avancées de la science, que ce soit dans la vie quotidienne comme dans sa vie sociale et économique.
De nos jours, la science fait des avancées de plus en plus rapidement. Elle n’a plus que quelques années de retard sur la littérature, contrairement à l’époque de Jules Verne où la science-fiction faisait rêver, aujourd’hui elle nous angoisse sur l’avenir de l’Homme et de la planète.