Biographie
Tous les auteurs
Il est des oeuvres qui accompagnent notre quotidien. Situées au bord des rues, des routes, des chemins ou dans des lieux de rassemblement, communautaire, associatif, commercial, dans la campagne, les villages, les bourgs, les villes.
On ne les remarque pas toujours ou bien elles se font oublier. Peintes par des créateurs autodidactes, confirmés, ou professionnels, oeuvres collectives ou personnelles, elles rendent compte de la diversité et du dynamisme de l’art populaire à travers les époques.
Nombre de celles que vous découvrirez dans cet ouvrage n’existent plus, recouvertes, effacées, détruites. D’autres ont subi les outrages du temps et sont vouées à la disparition. Les photographies n’en sont que plus précieuses pour témoigner de cette forme de création demeurée méconnue.
Benjamin Rullier a grandi dans un petit village d’Anjou. Cet ouvrage regroupe des textes et photos prises entre 2013 et 2019 dans la maison de ses grands-parents afin de conserver une mémoire subjective du lieu et des personnes qui l’ont fait vivre. Chacun conservant en soi la nostalgie de son enfance, beaucoup se retrouveront dans ce petit livre à découvrir au hasard des pages.
• Quelle est la capacité totale du stade Raymond Kopa où évolue Angers SCO ?
• Célèbre pour ses colombages, combien d’étages compte la Maison d’Adam ?
• Quelle école militaire s’est installée à Angers en 1945 ?
• Comment se dit-on « au revoir » en patois de l’Anjou ?
• Comment s’appelle la liqueur à base de cerise produite en Anjou ?
Deux auteurs, deux regards.
Premier volume de la nouvelle collection des éditions du Petit Pavé : Plumatique
Quatre nouvelles
Ouvrage illustré de nombreuses aquarelles.
Voyage au fil des paysages mayennais, en longeant les chemins de halage, passan tles bourgs, les villages, les ville que la Mayenne traverse.
Les premières manifestations en 2011 des salariés de Technicolor qui luttaient pour le maintien de leur emploi faisaient écho de façon plus générale aux nombreux licenciements en France.
Nous assistions à Angers au phénomène national de désindustrialisation et étions les témoins locaux de la fin d’une grande industrie d’électronique implantée depuis 1956, dans laquelle des salariés, voisins, amis, parents y avaient quasiment fait toute leur carrière.